DALEBA

C H A P I T R E 04

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CHAPITRE 04

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DALEBA

Je suis réveillé par de l'agitation et des aboiement venant d'en bas.

Ne comprenant pas ce qui se passe. J'enfile mais pantoufles, uniquement vêtue d'un pyjama en soie rouge et de mon bonnet en satin.

Arrivé dans les escaliers je vois des gens prendre mon canapé, manquant d'écrasé Lily qui réussit à esquiver les pieds des ouvriers maladroit.

Je descend rapidement et la prend dans mes bras pour calmer son stress.

Pendant que les fauteuils sont emmené dehors, un deux se dirige vers la télévision.

—Attendez attendez, qu'est ce que vous faites ? Qu'est-ce qui se passe ?

—Le propriétaire nous a demandé de retirer certains meubles, il a dit que la télé ne lui serait plus utile.

—Je suis le propriétaire, je n'ai jamais rien demandé de tout ça, mais qu'est ce qu'il vous prend ?

—Tu es le propriétaire ?

Je sursaute quand une voix grave résonne dans mon dos.

Mon cœur bat la chamade et le choc ne quitte pas sur mon visage. J'ai du mal à trouver les mots.

—Je-..

Son regard perçant me couple le souffle, son visage est toujours aussi impassible. Il a beau être à quelques mètres de moi, ça présence semble me brûler la peau.

—Tu as finis par prendre tes aises donc, ça tombe mal.

—Qu-Qu'est ce que vous faites ici...? Ma voix tremble au fur à mesure que je réalise ce qu'il se passe.

—J'emménage, je viens prendre ce qui est à moi, un problème avec ça ?

—V-Vous n'avez pas le droit de faire ça..

—Quand tu apprendras à parler de manière audible on aura peut être une discussion, pour l'instant estime toi heureuse que je ne te mette pas à l'apporte sur le champs. Profite du reste des jours qu'il te reste ici.

Lily devient agressive et s'agite dans mes bras tout en aboyant contre lui.

Il la dévisage, un rictus mesquin se dessine sur ses lèvres et il fait signe au déménageur :

—Emmenez le chien également.

Il disparaît comme il est apparu et mon cœur tombe plus bas qu'il ne l'était déjà.

Un des travailleurs s'approche de moi pour me prendre Lily mais elle n'hésite pas à lui mordre les doigts.

Ma respiration s'accélère malgré moi et j'ai l'impression d'avoir un poids qui m'écrase la poitrine.