BLACK MASK : L'homme Corbeau

1 - 1 CHAPITRE UN

Bonsoir les amis ! ^_^

Voici le tout premier chapitre de BLACK MASK, j'espère vraiment que ça vous plaira ! Je suis si heureux de ce lancement !

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Séoul, Corée du Sud

Park Jimin

- Putain, sale gosse tu vas faire ce que je t'ordonne ! Et tu as intérêt à le faire correctement ! Venait, de dire la voix méchante de mon père.

- Tu ne peux pas simplement envoyer quelqu'un d'autre à ma place ? Avais-je dit, la voix basse. Quelqu'un qui a plus d'expérience que moi.

Il s'approcha rapidement de moi et m'attrapa l'arrière de la nuque, en empoignant fortement mes cheveux.

- Écoute moi bien Jimin, tu feras ce que je te dis est-ce que c'est bien clair !  Avait-il dit, brutalement en tirant encore plus fort sur mes cheveux.

Ma seule réponse était de retenir mes larmes de couler.

- Il me semble d'avoir rien entendu ! Hyun es-tu devenu un sourd muet ? EST CE QUE C'EST CLAIR ?! Avait-il, hurlé cette fois.

- Oui... Oui très bien père... Oh désolé je voulais dire Maitre. Fis-je, en me rattrapant.

- Heureusement pour toi, sale gosse de merde ! Cracha t-il.

Un sourire mauvais venait d'étirer ses lèvres, sa prise sur moi était une chose qui lui plaisait bien.

Ça, me dominer et me faire souffrir étaient ses jeux favoris. Après avoir entendu ma réponse, très clairement cette fois-ci, il relâcha brutalement mes cheveux.

- Qu... Quand dois-je partir pour le Japon ? Soufflais-je, les yeux baissés.

- Dans quelque jours, prépare donc t'es affaires !

- Et qui va s'occuper du Club pendant mon absence ?

- Seo-Yeon, va s'en occuper ! Me dit-il, froidement. Maintenant dégage de ma vue, sale gosse !

Sans sourciller je me dirigeait donc vers la sortie de mon bureau, mais avant que je ne puisse franchir le seuil de la porte, sa voix me brusqua totalement.

-  Écoute moi bien Jimin, peu importe ce que tu devras faire une fois arrivée là-bas  ! Si tu vas te battre, tuer ou même encore te faire enculer par des hommes tu le feras !

- Pour récupérer ce qu'il me faut, tu iras jusqu'à donner ton Cul pour te faire baiser peu importe combien ils seront. J'espère avoir été clair !

- Bien pè... Maitre... Avais-je, simplement répondu avant de quitter la pièce.

- Saleté de gosse, tu me casse les couilles avec t'es airs de chien battu ! Venait-il, de dire derrière la porte.

Une fois dans ma chambre, enfin si on peut appeler ça chambre, c'était une pièce semblable à un débarras. Mais, elle m'avait été attribuer.

Pourquoi ?

Bien qu'ici, ça soit une grande villa, les chambres étaient réservées aux invités. Surtout les plus prestigieuse. Père, enfin le Maitre m'avait interdit de m'installer  confortablement dans l'une d'entre elle.

Pour lui, je n'étais pas : " Un Prince "

Si je voulais resté ici, dans cette villa ça devrait se mérité, m'avait-il toujours dit. Et pour jouir de ce confort je devais travailler.

Je travaillais donc ici, au sein même de la villa. Comme un homme à tout faire, presque toute la semaine. Les autres jours, je m'occupais du Club.

Aucun moment de répit, voilà pourquoi j'étais maigre. Mes tâches étaient variés, je faisais l'entretien de la villa, de la piscine ou du jardin et aussi la cuisine.

En bref, vous l'avez compris je suis : Un homme à tout faire dans cette villa.

Pour couronner le tout, je n'avais droit à aucun salaire mais en contre partie, j'étais logé et nourri dans cette chambre que vous connaissez déjà.

Mes journées commençaient à six heures trente du matin et elles s'achevaient aux alentours de vingt-deux-heure. Une fois le repas du soir finit, et toute la vaisselle nettoyer et bien rangée.

Le Maitre, comme il voulait que je l'appelle, détestait que je le contredise ou que je ne fasse pas correctement ce qu'il m'ordonne de faire. Et lorsque ça se produisait, il me battait jusqu'à ce que je retienne la leçon.

Et que l'envie de lui désobéir ne me traverse plus l'esprit.

Je faisais donc de mon mieux d'aller à l'encontre de ses désirs. C'était mieux pour moi, après tout, c'était ma vie et je le méritait clairement alors il valait mieux l'accepter, personnes ne peut échapper à son destin.

Même si on le contourne, il finit toujours par nous rattraper.