Laboratoire [En Cours]

Chapitre 3

Pourquoi personne ne l'aidait ?
Le garçon, riait et 1018 était terrifiée.

Tellement de questions se bousculaient dans sa tête.
Le garçon prit une fourchette sur une des tables à côté de lui, et la brandit dans sa direction.

-Tu vas pleurer ? Tu as peur ? Il leva la fourchette et lança son bras pour poignarder 1018.

Elle avança ses mains devant son visage essayant de se protéger, elle sentit des picotements étranges sur ses doigts.

Quand la fourchette entra en contact avec ses mains, un énorme champs de protection en jaillit, entourant la jeune fille dans une bulle verte transparente.

Le choc, fit reculer le garçon et la fourchette se cassa en mille morceaux au contact du champ de protection. Il avait les yeux écarquillés de stupeur et recula légèrement.

Tout les autres enfants les regardaient maintenant à moitié impressionnés et terrifiés. Tout ses regards pesait sur le dos de 1018 comme une masse. Elle voulut se cacher quelques part, mais il n'y avait aucune issue à part la grande porte.

La coquille de protection s'atténuant petit à petit.

Soudainement, la porte principale s'ouvrit dans un claquement qui résonna dans l'énorme pièce. Un silence lourd s'installa, et le garçon s'enfuit, quand il vu qui entra.
C'était le docteur Phaéton.

-Viens ici, TOUT DE SUITE ! Fit il en hurlant.

Il s'adressait bien sûr à 1018, mais elle ne put se relever, elle était pétrifiée.

Phaéton s'approcha rapidement d'elle avec un air menaçant. Il la prit violemment par le bras, et la traîna dans les couloirs.

-Arretez ! Vous me faites mal, gémi 1018.

Il n'écoutait pas et continuer maintenant dans les couloirs à la traîner par le bras, il la serrais tellement fort qu'elle crue qu'il allait lui briser ses os. Il l'emmena dans le laboratoire et la lâcha violemment par terre, et la jeune fille s'écroula.

-COMMENT A TU FAIT ÇA ?! COMMENT ! Cria le docteur.

1018 tremblait, elle n'avait pas tremblé aussi fort depuis longtemps.

-REPOND MOI ! JE NE T'AI PAS FABRIQUÉ COMME ÇA, le docteur Phaéton renversa une des tables remplie d'instruments de chirurgie.
-Je... Je ne sais pas, répondit la jeune fille alarmée de peur.

Le visage de colère de Phaéton ne semblait pas se calmer en entendant cette réponse. Il resta quelques secondes immobile dos à 1018. Puis, il prit un scalpel par terre. Il se dirigea vers 1018, et le bloquant sous sa gorge.

-Ecoute, ce que tu as fait est incroyable, c'est un espèce de pouvoir que tu as là... ALORS DIS MOI, il enfonça le scalpel légèrement plus pour faire parler la jeune fille.

1018 sentit ses doigts picoter à nouveau. Cela se déclenchait quand elle se sentait en danger ?

Elle avança sa main sur Phaéton, mes picotements devinrent intenses.
Une boule d'énergie verte, sortie de sa main et amena le docteur Phaéton s'écraser contre une vitre, et la vitre se brisa dans un bruit insupportable.

1018 regarda ses mains, comment était ce possible ?

Elle regarda Phaéton, il semblait sonné par l'impact. Soudain, une idée jaillit de l'esprit de 1018, c'était enfin le moment, la brèche qu'elle avait attendu depuis toujours pour s'échapper de cet enfer.

Elle sortie discrètement dans le couloir. 1018 savais que le laboratoire possédait un ascenseur, elle devait le trouver.

Ce que 1018 avait oublié était que une multitude de gardes surveillaient les couloirs. Un des nombreux la vue.

-Quelqu'un s'échappe ! Sonnez l'alarme ! Le garde devant lui appuya sur un gros bouton sur le mur et une alarme sonna.

Le tintement de l'alarme était aiguë et répétitif. 1018 avait envie de se boucher les oreilles, mais tout les gardes se ruèrent déjà sur elle. Elle couru en sens inverse, elle tournait sans savoir où elle allait, elle avait trop peur qu'il l'envoie avec le docteur Phaéton, qui serait encore plus en colère à son réveil.

A un virage, elle vu au bout du couloir, un ascenseur. Elle se précipita dedans, et appuya instantanément sur le bouton. 1018 crue s'être débarrassée des gardes en voyant les portes se fermées.

Mais deux mains jaillirent et rouvrit les portes métalliques. Il avança son bras dans l'ascenseur et attrapa celui de 1018. Elle se débattait mais île tenais bon. À nouveau, les picotements arrivèrent.

1018 connaissait maintenant, un peu ce que cela signifiait. Une grosse boule d'énergie verte, vint frapper de plein fouet le garde, la jeune fille se dépêcha de refermer les portes.

Elle sentit son cœur rebondir, quand l'ascenseur monta.
Elle regarda a nouveau ses mains, cela faisait des années qu'elle était dans ce laboratoire et elle n'avait jamais réussie à s'échapper. A quoi ressemblait l'extérieur ?

L'ascenseur s'arrêta et rouvrit ses portes grises. Elle atterrit dans une espèce d'entrepôt, des personnes conduisait des machines pour transporter des cartons. Le bruit de l'ascenseur alerta un des transporteurs.

-Eh ! Vous êtes qui ? Demanda une personne dans une machine.

1018 paniqua et s'enfuit, l'entrepôt avait une énorme ouverture sur l'extérieur.

Elle se précipita devant, le transporteur couru à sa poursuite avec quelques de ses collègues.

Encore une course poursuite, 1018 en avait marre de courir.

La jeune fille sortie, la lumière fit un grand flash dans ses yeux, elle avait toujours eu de la lumière de lampe, mais celle du soleil lui picota les yeux. Quand elle les ouvrit, elle put voir une allée en gravier, autour de celle ci une immense forêt.

L'endroit parfait pour se cacher.

1018 regarda autour d'elle, les arbres n'avait plus beaucoup de feuilles et l'air était frais, elle avait envie de s'assoir et de regarder pendant des heures le ciel et les nuages qui lui semblaient infini.

Les cris de ses poursuivants la fit reprendre ses esprits, et elle se dirigea vers la forêt.
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Cela faisait quelques minutes qu'elle courait dans la forêt, les transporteurs l'avaient suivie au début, mais il avait abandonnés au bout d'un moment.

1018 se retourna et ne vit même plus l'énorme entrepôt.
Elle devait être au plein milieu de cette immense forêt.

Elle se cala contre un arbre et se laissa glisser par terre. Elle regarda autour d'elle une nouvelle fois. L'herbe était agréable et plusieurs fleurs étaient parsemées de partout.

1018 n'avait vu ceci que dans des photos que Aloa lui avait montrer.

Mais maintenant la jeune fille était seule, sans personne pour l'aider ni d'endroits pour se réfugier.

Elle commença à pleurer, ses larmes roulant sur ses joues rouges.
1018 entendit un craquement de brindilles puis quelques secondes après, une voix.

-Pourquoi êtes vous ici, vous êtes qui ?