mon mariage inattendu.

chapitre 25.

Salam aleykoum.

Je me réveille en sursaut je regarde l'heure, j'avais complètement oublié de préparer le dîner je pars me débrouiller dans la salle de bain.

Je sors de ma chambre, je descends rapidement les escaliers j'entends des chuchotements je sais que c'est n'est pas zerrin puisqu'il rentre qu'à 20h aujourd'hui.

Je suis les chuchotements qui me mènent dans la cuisine je vois hafisa qui parle doucement comme si elle avait peur qu'on l'entend.

Je me cache de façon qu'elle ne puisse pas me voir je ne suis pas du genre à écouter derrière les portes mais elle m'aspire pas confiance derrière son masque de sainte ni touche se cache une crapule je le sens vraiment je prends mon téléphone pour l'enregistrer.

Hafisa: tu penses vraiment que je vais partir lui demander s'ils ont une fois eu des rapports sexuels mais tu réfléchis par quoi je ne suis pas sa copine.

J'espère vraiment qu'elle ne parle pas de moi là j'aurai vraiment aimé savoir ce que son interlocuteur lui dit.

Hafisa: sérieusement moussa, j'ai pas brûlé ma maison pour sortir de celle-ci s'il y'a quelqu'un qui foutra le camp de cette maison ça sera uniquement elle.

Je pose ma main devant ma bouche pour ne pas parler je me contente juste de continuer d'enregistré ses dire.

Hafisa: je le sais mieux que quiconque si elle tombe enceinte de nassim je vais perdre toute la place que j'avais dans sa vie donc je me contenterai de ne pas laisser cela arriver.

Je ferme les yeux interloqué par son méchanceté et c'est qui ce moussa elle nous montre juste ce qu'elle veut qu'on voit d'elle elle est vraiment comme la vermine cette femme.

Hafisa: tu es fou? comment vais-je dire à lui et sa famille que je suis enceinte sachant que je les ai fait croire que je suis stérile ils ne sont au courant que de l'un des avortements que j'ai fait.

J'interromps l'enregistrement avant de rentrer subitement dans la cuisine elle raccroche en panique et me lance un regard rempli de peur, peur que je puisse l'entendre.

Moi:  salam, clame-je naturellement.

Elle me regarde comme si elle essayait de m'étudier mais je garde toujours ce sourire hypocrite j'aime pas l'hypocrisie.

Mais vue qu'elle me prend pour une niaise je vais alors bien jouer ce rôle après tout un imbécile ne comprend que par l'imbécilité.

Moi: je sais que tu ne m'aimes mais tu pourrais au moins répondre à mes salutations.

Elle croise les bras sur sa poitrine, elle souffle tout en me devisageant.

Hafisa: tes vêtements te brûlent.

Je la regarde pour voir si elle est sérieuse  je vois qu'elle l'est bien.

Moi: mes short te dérange-t-il.

Hafisa: pas seulement les short mais aussi la connasse qui ce tient devant moi.

Moi: si je te dérange autant reste dans ta chambre non mieux ferme les yeux quand je me présente devant ton visage de sainte.

Je trace ma route, je pars dans le frigo je sors tout ce dont j'ai besoin pour préparer à manger.

Je commence ma préparation alors qu'elle est toujours plantée là en train de me regarder cette femme me tape vraiment sur les systèmes.