AZZAM , la trame secrète

Chapitre 10: Jeu de piège

COUCOU J'ESPÈRE QUE VOUS ALLEZ BIEN.

Bonne lecture 📖 .

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AZZAM

Je cherche désespérément des réponses à ces questions qui tourmentent mon esprit.

Pourquoi elle, celle qui n'avais rien à se reprocher ? Qui était sûr d'elle , serait-elle impliquée dans une telle trahison ?

Mon cœur se serre d'angoisse alors que je m'approche du lit de mon frère, Amir, étendu pâle et immobile. Je me tourne vers le médecin, cherchant un signe d'espoir dans ses yeux fatigués.

— Comment est son état ? Ma voix résonne dans la pièce, chargée d'appréhension et d'espoir fragile.

Ça fait deux jours que ce con n'est pas réveil bon sang réveil toi Amir.

Le médecin détourne le regard, hésitant avant de répondre.

— Sa condition est un peu grave, Votre Majesté. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir, mais il est difficile de prédire quoi que ce soit, le poison était trop fort.

Je ne sais pas comment en démêler les fils complexes de la vérité.
Je ne peux pas accepter le faite qu'elle soit une traîtresse mais comment expliquer son lien avec la famille Al Hayanne?.

Avec un lourd poids sur le cœur, je m'éloigne du lit de mon frère, déterminé à découvrir la vérité derrière cette conspiration insidieuse. Mon esprit tourne sans relâche, cherchant des réponses dans les ombres mystérieuses qui entourent cette affaire troublante.

Je m'adresse à Ahmed.

— Ahmed, convoquez immédiatement les tuteurs de cette femme sur le champs. J'ai besoin de les interroger sur leur implication dans cette affaire.

—Bien compris, Votre Majesté. Je vais m'en charger immédiatement., et je suis désolé pour ce qui se passe, je ne savais pas que cette fille allait nous créé des problèmes, je n'aurai jamais dû l'envoyer ici.

— je n'ai pas besoin des excuses maintenant fais juste ce que j'ai dis.

Ahmed, s'inclinant respectueusement et part.

*

Je fixe ma coupe de vin, la faisant tourner doucement dans ma main, examinant chaque détail de la liqueur rouge qui y repose. J'y cherche des réponses, ou peut-être simplement un moment de répit dans ce tourbillon incessant qu'est ma vie.... Tout cela s'estompe quand je me perds dans les arômes de ce vin.

Et puis, Célia entre. Je serre la mâchoire, sentant immédiatement la tension monter en moi. Je ne l'ai pas invitée ici, je ne lui ai jamais donné ce droit. Le simple fait qu'elle se sente libre de franchir le seuil de mes appartements m'irrite. Elle s'approche, le regard implorant, comme si elle espérait encore pouvoir m'atteindre.

— Que fais-tu ici ?.

Ma voix est basse, mais il n'y a aucune douceur dedans. Je ne quitte pas le vin des yeux, mes doigts crispés sur le pied de la coupe.

Elle avance encore, tendant la main vers moi, et je sens mon irritation se transformer en une rage froide.

— Si tu me touches, je te coupe la main.

Ma voix est tranchante, sarcastique. Je n'ai pas besoin de crier pour que le message passe. Elle se fige, retirant sa main comme si elle venait de s'approcher d'une flamme.