L'amour c'est si compliqué

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Je me fais brusquement réveiller par mademoiselle Pige, ma prof d’histoire géo. Je me relève en sursaut sur ma chaise en m'excusant rouge de gêne. Je n'ai pas l’habitude de m'endormir en cours mais mon week-end à étais endurant. J’attrape un stylo somnolent en essayant tant bien que mal de rattraper mon cours.

– Désolé j’aurais dû te réveiller avant mais tu es tellement mignonne en dormant que je n'ai pas pu résister. S'excuse Steve près de moi en me glissant ses notes contre notre table pour deux. Je lui réponds un sourire en notant les dernières dates sur mon bilan. Quand la fin des cours se fait retentire grâce à la sonnerie je ne pense qu'à une seule chose : manger. Je range rapidement mes affaires pour ne pas traîner et me dirige vers la sortie quand je me fait arrêter par Steve. Il faut qu’il fasse vite sinon c’est lui que je vais manger. Je me pose contre des casiers devant la salle de classe en écoutant ce qu'il à, a me dire toujours autant fatigué. 

- Sa te dit de venir chez moi après les cours, ont pourrais travailler sur le contrôle de demain. Me propose-il un sourire au lèvre. C’est vrai que j’aurais bien besoin d’aide pour ce contrôle. J’allais accepter quand la carrure imposante d'Ector se fait remarquer derrière mon ami et il n’a pas l'air de bonne humeur. Je fronce les sourcils alors perplexes, Steve se retourne pour faire fasse au blond. 

– Je vais te tuer, peut-être la tu la laisseras tranquille. Grince Ector entre ses dents. J'écarquille les yeux de stupeur. Steve à l'ère détendue à mon étonnement, il a même un sourire en coin. 

– Ector laisse la ok ? Elle ne t'appartient pas ! S'empresse de répondre Steve en fronçant les sourcils. Ector quant à lui, fou de rage, attrape Steve par son col et le plaque brutalement contre les casier. Je pousse un petit cri de peur en plaquant mes mains sur ma bouche quand Ector commence à le frapper. Steve essaye de se défendre mais en vain. J'essaye de les séparer en criant à Ector d'arrêter. Merci mon dieu des gens se sont approché pour m’aider à sortir Ector de mon ami à temps. Je vois la fureur dans les yeux du blond en reculant pour partir en trombe des couloirs sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit. Il fait une crise. Steve est alors transporté à l’infirmerie et moi je reste planté là sans pouvoir comprendre ce qui lui à pris. 

– Bella ! J’ai appris ce qui sait passer ses fous ! crie Manon en parlant avec ses mains.

- Je ne comprends pas pourquoi il à réagi comme ça, Steve ne faisait que me parler. Soupire-je exaspérer. Ma copine lève ses épaule, l'air de dire j’en sais rien moi puis m’attrape le bras pour me traîner jusqu'à la cafétéria. Arriver la bas l’histoire m'a fait perdre l'appétit alors je prend qu’un petit plat que je n’arrive même pas à finir. Tout le reste de l'après-midi, Steve ne revient pas en cours et mon angoisse grossit de plus en plus. Quand les cours se terminent je n’attend personne et sort rapidement jusqu'à ma voiture. Je roule jusqu'à la base ou je monte au deuxième étage la ou est la maison d’Ector. J’entre sans toqué et ‘arpente les pièces discrètement. Personne. Je sors mon portable de ma poche et l’appelle une fois, deux fois, trois fois… rien, aucune réponse. Je pose alors mon sac sur son canapé et part dans sa chambre que je connais trop bien. Je passe ma main contre les livres de sa bibliothèque en sortant quelques livres des fois pour les feuilleter. Un livre en auteur se démarque des autres, il a la tranche rouge brillante orné de dorures. Je me mets sur la pointe des pieds pour l’attraper et m’assois sur le lit d’Ector pour le lire. Je le feuillette mais rien d'alarmant jusqu' à la fin ou je remarque comme une autre couche sur la quatrième de couverture. Je passe ma main et sent quelque chose de froid et doux. Je sort l’objet de la cachette et remarque que sait une enveloppe. Dessus il y a marqué mon nom de famille et il y a aussi un serpent est dessiné sur celle-ci. Je m'empresse de l'ouvrir pour en découvrir de nombreuse l’être vieilli. Je remarque que chaque lettre est soit envoyée à mon nom soit au nom d’Ector. Au même moment j’entend des pas se diriger vers la pièce ou je me trouve. Je plis rapidement les lètre et les mets immédiatement dans ma poche de jean en rangeant le livre a sa place. Ector entre dans la pièce, claquant la porte derrière lui, me faisant sursauter. 

The Devil's revengeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant