The Devil's revenge

pourquoi nous ?

Manon est mon amie la plus sincère, celle sur qui je peux compter, elle me fait rire et me montre à quel point la vie n’est pas si déprimante que ce que j’en pense, elle est mon rayon de soleil et je l’aime beaucoup. Mais quand il est 7h du matin et que je me suis endormi très tard la veille, venir chez Ector me réveiller sans trop de tact je l’apprécie beaucoup moins. 

- Aller lève toi blanche-neige c’est l’heure ! Me hurle la blonde en tirant les rideaux. Je pousse un grognement en toute réponse en me cachant directement sous la couette me protégeant ainsi de la lumière qui me menace. Après quelque seconde dans cette situation désagréable je décide de me jeter à l'eau en soulevant la couette sans oublier de râler bien sûr. 

- Arrête ce cinéma mademoiselle je te rappelle qu’il faut bien s'entraîner pour ce soir, de plus c’est toi qui a voulu nous accompagner. Me rappelle ma copine en me jetant mon sac. Je l’attrape somnolent encore pour me diriger ensuite vers la salle de bain. Je prends une bonne douche chaude pour me réveiller avant de sortir pour enfiler mes vêtements et commencer à me préparer. Je m‘attache les cheveux en queud de cheval comme à mon habitude et me maquille légèrement puis je sort de la pièce complètement prête. 

– Ah bah enfin ! 

- C'est bon abuse pas ! Je conteste en sortant à son bras. Jusqu'à la salle principale où Ector et Mathys sont la en sirotant un café sur le canapé. 

- Vous avez un plan pour ce soir ? Je demande en arrachant la tasse des mains de Word. Il me lace un regard noir mais je ni prète pas attantion m’asseyant près de lui. 

- On a pas de plan le seul plan que j’ai c’est d’appeler tout le monde si ça dégénère. M’informe le blond touchant ses sourcils l’air en colère. 

- Génial on va tous crever. dis-je en prenant une gorgée de ma boisson chaude. 

– Merci Bella pour ton optimisme. 

– Je suis juste réaliste Mathys. 

Le concerné lève les épaules et maintenant toute notre attention est portée sur notre grand chef. 

– On doit seulement être prudent, pas d'inquiétude. Nous assure celui-ci en sortant de la pièce les mains dans les poches. J’attend bien quelque minute pour être sur qu’il est partie puis je déclare : 

- On va tous crever. 

– Olalala ! Crie mon ami en se levant pour faire les cent pas. 

- Bon on se calme là ! Ordonne la blonde brutalement. Je sens mon corps rater un battement en l’attendant énervé. Sa jambe commence à trembler mais elle ne perd pas son sang froid et continue sur sa lancée. 

– On va la battre croyez moi cette salope ne vas plus jamais détruire nos vies ! 

- OUAIS ! La je préfère ! S’exclame Mathys plein d'espoir dans les yeux. Je sais qu’on peut la battre. Juste je suis stressé à cause des lettres. Que veut-elle dire ? Et si elle le savait. Si Monica savait tout. J’écarquille les yeux et subitement j’attrape mon sac et quitte la pièce sans prêter attention à Manon qui me questionne de tous les côtés. Je roule jusqu'à chez moi ou je grappe les escaliers à toute vitesse vers ma chambre. Quand j’y arrive j’attrape les lettres éparpillées sur mon bureau. Je les mets tout sur mon lit en essayant de comprendre. Je les analyse encore et encore en les retournant mais rien. J’ai toujours étais très forte en énigme mais la impossible. J’ai réussi après une heure à les mettre dans l’ordre. J’ai reussi a trouvé grâce au marquage à l’arrière qui font les chiffres roman quand on les inverse et les retourne. J'analyse bien chaque lettre sur la feuille j’ai l'impression qu' il ont mis des lettres au hasard mais arrive quand même à se comprendre. Je sors mon livre sur les enquêtes ou dedans il y a un chapitre pour décoder les codes. A l’époque j’avais trouvé ce chapitre absurde parce que je ne comprenais que la moitié malgré que ce chapitre était ensuite expliqué. Je relis la lettre et remarque qu’il y a quelque mots en morse. Je les note sur une feuille. Et après de longues heures de recherche avec plusieurs appels manqués de Manon j'ai réussi à déchiffrer la première lettre en entier. Les main moites le cœur serré je commence a la lire à voix haute cela vient de la main de Collos.