un sentiment étrange

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- tu vas bien, il ne t'as rien fait j'espère ? Me demande Valentino en me serrant dans ces bras, je lui rend son étreinte et le rassure que je vais bien.
- je suis désolé de t'avoir laissé, si je n'arrivais pas à temps... je le coupe je ne voulais pas qu'il se sente coupable. Il me prit la main puis ouvre la porte. Je ne savait pas pourquoi il faisait ça sa me fait une sensation étrange. Non Elaina, reprend toi ma fille...
1 semaine après
Cela fait une semaine que je suis mariée à Valentino. Je me suis habitué à ces crises et tortures, il y a encore hier ou il m'a traité de menteuse donc je l'ai giflé en retour.(il ne m'a pas embrassé bien sûr.) Je me suis enfermé dans la chambre et réfléchissait à comment m'occuper de lui. Je veux l'écraser. J'en avais marre de réfléchir alors je suis allée prendre une douche, puis mets une robe de nuit. Il fait trop calme ici. Je voulais voir ce qu'il fessait alors je quitte la chambre pour le voir quand j'ai failli donner un coup de pied à quelqu'un. Valentino, merde. J'allais refermer la porte quand sa voix retentit.
- Elaina... Vas- t'en. Mais la curiosité prend le dessus alors je m'installe à côté de lui et le regarde dans les yeux.
- oui.
- je... fait chier... désolé. Avant même de savoir ce qui se passait il me prit par la nuque puis m'embrassa violemment. Il introduit sa langue dans ma bouche ce qui me fait gémir, et il grogne en retour. Arrête toi je ne pouvais pas m'arrêter c'était si bon. Il me saisit par la taille pour me tirer plus près mais cette fois je l'arrête.
- arrête, ne fais pas ça, dit-je en me levant, il se leva à son tour puis me soulève il entre dans la chambre puis ferme la porte avec son pied. Et merde que faire. Il me jeta au lit et avant même que je puisse cligné des yeux il était au dessus de moi. Il prit une corde et m'attacha les poignets avec. Il enlève ma robe de nuit et arrache mes sous-vêtements. Non il ne va pas... si ?
- je t'ai dit de ne pas me provoquer, cette fois- ci tu vas gémir de plaisir printsessa. Il m'embrassa à nouveau et je l'entendit défaire sa ceinture et enlever son pantalon. Il retire sa chemise et se concentra à mon cou.
- S'IL TE PLAÎT ARRÊTE.
- oh non, tu vas devoir attendre. J'essaie de tirer sur la corde mais rien à faire. Il descendis plus bas et prit mon sein gauche dans sa bouche.
- NON ARRÊTE, JE T'EN PRIE ARRÊTE, criais-je avec espoir.
- ne t'en fais pas tu vas adorer. Après ça il s'enfonça en moi d'un coup, je crie ou plutôt gémi de douleur. Il m'a violé.

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