Chapitre 24

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MISÉRABLE VIE

Je le vois d'ici, le désire t'envahis__

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Je le vois d'ici, le désire t'envahis
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Bonne lecture à vous

Bientôt 24 ans sur le compteur, je m'approche de plus en plus de la trentaine ça me fait vraiment peur j'ai des ridules qui se forment misère.

Je me réveille avec la lumière du matin qui passe à travers les rideaux de la chambre.

Je jette un coup d'œil à mon téléphone puis me lève.
J'ai encore quelques affaires à ranger dans cette maison, hier j'ai été au ikea et j'ai acheté plein de décoration, j'étais tellement dans l'euphorie que j'ai commandé un nouveau salon je trouve que celui d'ici fait trop vieillot.

Par contre je sais pas comment je vais faire pour monter les meubles.. je trouverai bien une solution.

En me rendant à la cuisine pour préparer mon petit déjeuner, j'entends un bruit venant de l'entrée. Ça ressemble pas à Ambre de venir sans prévenir.

Je m'approche, et je tombe nez à nez avec Souheil. Il est là, planté devant la porte. Il avait escalader le portail d'entré, je pourrais grave appeler la police.

Moi : Je peux porter plainte tu sais

La porte d'entré est assez spéciale, elle est transparente pour savoir qui est devant. Et grâce au calme on entend tout.

Souheil : J'ai escaladé, je suis le Roméo des temps modernes

Moi : Y avait pas écrit Juliette sur la sonnette

Souheil : -souffle- Tu pourrai m'ouvrir je suis fatigué là

Moi : Qui t'a demander de faire le chimpanzé ?

Souheil : S'il te plaît

J'ouvre la porte et lui tourne le dos aussitôt, j'ai un petit déjeuner à préparer moi.

Comme d'habitude je prépare mes œufs et mon petit smoothie mais la présence de Souheil me dérange fortement dans la cuisine.

Moi : Tu peux aller un peu plus loin ?

Souheil : Une semaine qu'on s'est pas parler et c'est comme ça que tu m'accueille ?

Moi : Tu mériterai bien pire, tu peux t'estimer heureux

Il dit rien et s'installe dans le salon.
Quelques minutes après je le rejoins et mange à mon aise.

Moi : T'es venu ici pour quoi en faite ?

Souheil : Pour voir comment t'allais

Moi : Mais encore ?

Il me regarde avec un air désespéré un peu.

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