Chapitre 25

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MISÉRABLE VIE

Je m'en bas les couilles d'être une star, tant que je suis une étoile dans les yeux de ma mère —

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Je m'en bas les couilles d'être une star, tant que je suis une étoile dans les yeux de ma mère

Bonne lecture à vous

Souheil ne prend même pas le temps de m'expliquer plus que ça, qu'il est déjà en train de remettre ses chaussures.
Je reste choquée quelques secondes avant de sauter du lit et attraper mes affaires.

Moi : Je viens avec toi

Souheil : Non reste ici

Moi : Je suis prête dans 2 minutes

Il me regarde un instant avec air déconnecté et finit par hocher la tête.

On sort de l'appartement dans un silence glacial. Je monte dans la voiture avec lui et on file à l'hôpital. Le trajet paraît énorme long, je le vois serrer le volant à cause du stress.

Arrivés à l'hôpital Souheil se précipite à l'accueil et demande où se trouve sa mère. Moi je reste en retrait, le laissant gérer la situation.

Après avoir pris les informations, on se dirige ensemble vers la salle d'attente où Zeyd est déjà là, en nous voyant il se lève et tsheek Souheil.

Zeyd : Elle est en soins intensifs, les médecins disent que c'est grave

On sent la panique dans la voix dans Zeyd.

Souheil : Il s'est passé quoi ?

Zeyd : Je suis rentré à la maison et je l'ai trouvé à terre

Souheil : Combien de fois on doit te dire que ça la rend malade de te savoir dehors la nuit ? Tu fais exprès

Zeyd : -fronce les sourcils- T'insinue que c'est ma faute ?

Souheil : J'insinue que t'as 30 ballets mais que t'agis comme un gamin de 15 piges avec yemma

Souheil souffle longuement puis se laisse tomber sur une chaise, la tête entre les mains. Je m'assois à côté de lui ma main sur son dos.

Les minutes passent comme des heures. Puis, finalement, un médecin sort de la salle et vient vers nous.

Médecin : Monsieur Souheil ?

Souheil se lève de sa chaise et lui serre la main.

Souheil : C'est moi

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