Un seul faux pas....(Alastor X reader)

*de sérieux problème (?)*

Pov y/n

Quelques heures avant, dans la nuit

Je rigole.

Cela fait bientôt 10 minutes.... Que je rigole. Étonnamment, cette situation m'indiffèrais. Elle m'amusais. Même si je voulais me convaincre du contraire. C'était ma réalité.
Je devais avoir un sérieux problème pour qu'une telle situation me plaise. Mais je ne pouvais rien y faire.

J'aimerais que cela dure plus longtemps.

Dans le présent

J'ouvre la porte. Je m'avance. J'entre. Mais je ne bouge pas.

-Avez-vous un problème, très chère ? Me demanda-t-il.

-Non...? Je n'en ai pas. Je lui souris. Pouvez-vous rester dehors ? Je ne voudrais pas que vos vêtements si...magnifiques se salissent.

Il me regarde. Je le regarde. Je sens qu'il se méfis de moi.

-Bien évidemment. Je vous attendrais dehors.

En disant cela, il me souris encore une fois. De toute ses dents. Des frissons me parcoururent le corps. Encore une fois. Je souris et rigole.

-Ne vous inquiétez pas. Je ne m'enfuirais pas. Je ne veut pas à ce point mourir. Lui souris-je.

-Haha. Je ne m'inquiete pas. En effet. Entrez donc.

Je lui souris. Il me retourna le geste. Et puis, je pensa. Je pensa que cela faisait bientôt une dizaine de minutes que j'étais là, devant la porte grande ouverte. Mais je n'entendais rien. Aucun bruit. Pas même un ronflement.
Je marcha alors jusqu'à la cuisine. Rien. Le salon. Rien. La chambre. Rien.

Enfin, j'atteignis la salle de bains. La porte était entrouverte, la lumière allumé, et une odeur nauséabonde qui s'en dégageais.

J'entre, et je vis l'horreur. Mon "père" allongé, par terre, entouré de bouteille de bière, et..... de sang...

Je tombe. Je sens des larmes couler sur mes joues. Et je commence a rigoler.

Je me relève. Je sors et je vais dans ma chambre afin de prendre mes affaires.  J'étais dévasté (?). Je ne pouvais plus penser clairement. C'était rapide. Mais ça m'a affecté.

Je me suis assises sur mon "lit" et je repensais à toute ces choses horribles qu'il m'avait infliger. Depuis mon enfance.

J'avais ce genre de pensée. Ce genre de penser qui disait "bien fait" et en même temps "le pauvre".

Mais je l'ai aient vite balayés et sorties de ma tête. Je me suis donc levé et suis partis rejoindre M.Evans

En passant, j'ai vus un briquet et une boîte de cigarette posée sur le canapé. Alors je m'assis et en fuma une. Le goût etait degeu, comme toujours.

En la fumant, je repensas a ce corps, vu l'odeur, il n'était mort que depuis quelques heures. Je le savais car j'avais assez eu l'occasion d'expérimenter, à mes heures perdus.

Et puis je me leva, jettas le cigarette par terre. Elle était encore allumé.

-Avez-vous terminé, très chère ? Me demanda-t-il lorsque je suis arrivé.

-Oui oui. Nous pouvons y aller. Dis-je en rigolant.

Il me regarda avec insistance, comme pour dire "qu'y a t'il de si drôle ?"
Et en effet, j'avais juste.

-Qu'y à t'il de si drôle ? Je ne comprends pas.  Dit-il en souriant. Encore.

-Rien. Dis-je en ricane. Je me disais simplement qu'il faudrait que je lise plus les journaux ces prochains jour. On ne sait jamais.

-si cela vous fais plaisir. Dit-il en souriant. Bien! Rentrons. Je mangerai bien une bonne Jambalaya de la recette de ma mère.

Je rigole, et nous nous mettons sur la route. Un bonne odeur de viande brûlé et de feu de bois flottant dans l'air.

Chapitre très cours, je l'assume.
J'ai changé un peu ma manière d'écrire, si vous l'avez remarqué, tant mieux, j'espère qu'elle vous a plus. Et sinon, tant mieux!
Bonne journée/soirée
🐸💚