Chapitre 1

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"C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître."                    Albert Einstein

POV Obscurité :

Il était déjà tard quand... Quand l'horloge à sonner minuit. Il était déjà tard quand la mort a pris la seule fleur du jardin, il était déjà tard quand... Quand la vie m'a dit stop aux amitiés, et par malheur quand j'ai su que l'amour ne faisait que de souffrir.

J'étais dehors, sous à peine deux degrés, le ciel était noir, les étoiles ne se voyais peu signe d'un mauvais temps le lendemain. La rentrée est demain. Je commence mes études de psychologie j'ai hâte. Apprendre de nouvelle chose. Apprendre sur qui compter réellement. Mais pour le moment... Je baisse le regard vers l'homme à mes pieds. J'ai beau avoir 15 ans mais la nuit je suis aussi obscur que le jour. Aussi froide que le feu et malgré tout aussi sèche que le coton sur lequel vous vous démaquillez.

Je braque mon arme vers sa tête et m'accroupis.

-J'espère que tu as prié espèce d'agresseur sexuel ! Lui dis-je.

-Me ... me ... tuez pas... je vous en... supplie... Me supplie t-il.

Je rigole. D'un rire glacial, je tire. En pleins dans sa tête. Sa tête qui explose. Mon sourire s'élargit, je me lève et donne un coup de pied dans ses côte. Un agresseur en moins. Heureusement que mon arme est muni d'un silencieux.

-Fais chier. Je vais devoir lui creuser le ventre pour le foutre dans l'eau.

J'attache une pierre assez grosse a son pied je range mon arme a feu. Sors mon poignard et commence a ouvrir son ventre, le sang dégoulinant me fait ni chaud ni froid. J'écarte les deux extrémité de sa peau. Je plonge la main comme si c'était un sac surprise ou un sac d'argent. Je vide entièrement son ventre, son foie, sa vésicule biliaire. Je regarde l'intérieur et plonge la main dans son estomac. Je suis au bord de la mer ça va être vite fait.

Je tire d'un coup sur son estomac, son colon, son intestin grêle. Je jette tout dans la mer et le regarde. Je prend les morceaux de cervelle et les jette dans la mer. Je me lève et le pousse sans aucun regret. Le plouf m'assure qu'il ne remontera pas. Je me lave les mains dans l'océan. Puis je marche vers la voiture. Cet homme à agressé une dizaine d'enfants, maintenant il ne fera plus de mal. Je prend le karcher et m'assure que rien ne se voit. Je sors la canne à pêche et je pêches ans aucun problème un poisson. Je le fou a terre et l'ouvre. Laissant le sang dégouliner au sol. Je ne m'y attarde pas. Me relève sort une rose noir, une vraie et la pose sur le poisson, prend le karcher et la canne a pêche et les mets dans la voiture.

Je roule longuement jusqu'à une forêt. Je m'y arrête et descend. Qu'est ce que je ferai de la voiture ? Aussi simple que cela ! Je sors le bidon d'essence du coffre est asperge la voiture. Je trace une ligne jusqu'à à peut prêt 3m après la voiture. Je balance le bidon contre la voiture allume une tige et la pose au sol. Je cours comme si ma vie en dépendait. J'attend un gros bruits d'explosion. Sa sens le feu. Je m'éloigne assez vite.

Je marche le long du chemin et rejoins ma maison a une vingtaine de minutes après. Je passe par la fenêtre. J'ai réussie a la laisser entrouverte. Je rentre dans ma chambre et prend des vêtement.

Je me change, aucune trace de sang sur le noir ses parfait. Je mets mes vêtements au sale, je me mets en pyjama et vais me coucher. Demain go la fac. Monsac et prêt et pour le coup j'y vais avec mon alibi. Mon amie Charna. Elle m'aide pour les meurtres. Me donne toutes les informations et j'attaque ou par moment on attaque. Une amie depuis que l'on a quoi... 4 ans ! On est contre les crimes et vue que personne ne s'en soucis bah nous on rend justice sois même. Je stresse malgré tout! Nouveau établissement, nouveau professeurs et surtout nouveau alibi. On doit avoir l'air d'être des jeunes filles de 20 ans !!

Tueuse la nuit, étudiante le jour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant