Couper les ponts

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Lynn :

J'arriva au casier de ma sœur. Bonnie et Elena sont déjà là en train de le décorer.

Lynn : salut, les filles. Désolée pour le retard. J'ai été retenue.
Bonnie : ne t'en fais pas. On vient d'arriver.
Elena : Bonnie, tu me passes les ballons ?

Bonnie lui passa les ballons.

Elena : merci.
Bonnie : qu'est-ce qui t'a retenue ?
Lynn : j'ai passé ma soirée à boire avec Stella et Théa. Et vous ?
Bonnie : je travaillais sur de nouveaux sorts.
Elena : j'étais à la gym avec Alaric.

Bonnie me montra la pancarte qu'elle a faite pour l'anniversaire de ma sœur.

Lynn : elle va kiffé.
Elena : j'ai quelque chose à te dire, Bonnie.

Elena mit la pancarte contre le casier de Caroline.

Elena : ça ne va pas te plaire.
Bonnie : qu'y a-t-il ?
Elena : Jeremy va quitter la ville quelque temps. Il restera chez des amis à Denver jusqu'à ce que ça se calme.
Bonnie : Jeremy ne te laisserait jamais seule face à Klaus.
Elena : je sais. J'ai demandé à Damon de l'envoûter.
Bonnie : quoi ?
Lynn : t'énerve pas.
Elena : je sais, Bonnie, mais il n'est lus en sécurité ici. Il sera plus heureux s'il part. Je te dis tout ça parce que je sais que vous n'avez pas tout réglé entre vous. Je me suis dit que tu voudrais lui dire au revoir.

Bonnie regarda Jeremy qui était plus loin dans le couloir.

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Théa :

J'émergea de mon sommeil à cause de quelque chose qui soulevait et abaissait ma main. Je sentis un souffle sur mon crâne. J'ouvris les yeux et tomba sur le torse nu de Klaus. Il s'est encore faufilé dans min lit. Je le regarda dormir. Il a l'air si innocent quand il dort.
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Je regardai les corps d'Adrien et de Rebekah. Un verre de sang à la main.

Théa : faites de beaux rêves, tous les deux.

Mindy arriva.

Théa : peux-tu les conduire à sa chambre ?
Mindy : bien sûr, Mlle.
Théa : appelle-moi Théa.
Mindy : mais Mr m'a dit de vous appelez comme ça.

Mindy poussa le cercueil de Rebekah et d'Adrien pour les emmener dans la chambre de Rebekah. J'entendis Stefan.

Théa : je suis surprise de te voir encore ici. Klaus t'as donné ta liberté, tu pouvais partir n'importe où.
Stefan : je vis ici, Théa.
Théa : si tu veux jouer à ce petit jeu, Klaus était là avant nous.
Stefan : je n'aime pas tes amis hybrides. Ils infestent la ville comme des puces. Je veux qu'ils s'en aillent.
Théa : Klaus aime les avoir auprès de lui. Je suis blessée, j'espérais quand tu serais libre, vous reprendrez là où vous en étiez avec Klaus. Mais te voici, buvant de la verveine comme tous les autres. Dommage pour votre amitié. Il m'en a dit beaucoup de bien en plus.

Je me réservit un verre et le bu.

Stefan : Un ami ne prive pas un ami de son livre arbitre, Théa.
Théa : oui, je te l'accorde, c'était un peu extrême. Il s'emporte parfois. Demande à ses frères et sœur. À ce sujet, n'est-il pas tant que tu lui les rendes ?
Stefan : Théa, qu'il se débarrasse de ses hybrides ou je le ferai moi-même.
Théa : si tu continues à me menacer, je serai obligé de répliquer et tu me connais, je gagne toujours. Klaus va devoir tuer des gens, ce sera un bain de sang.
Stefan : fais ce que tu veux, peu m'importe ou peut-être que ça m'importe, peut-être que ça m'importe tellement que je lâcherai le précieux petit copain de Lynn dans l'Arctique.
Théa : fais ça et Damon le rejoindra.
Stefan : essaie, tu verras si je mens.

Les quatre destinsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant