Chapitre 53

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Pour une fois depuis longtemps, je ne suis pas réveiller par Niall qui me demande d'aller lui chercher quelques choses mais par les oiseaux du mois d'Avril qui n'arrêtent pas de chanter. Un mois est passé et je trouve que le temps passe de plus en plus vite. Aujourd'hui est la dernière fois que Niall à sa visite chez le médecin. Pendant tout le mois de Mars il à eu une rééducation de la main droite et plus les jours passaient plus son état s'améliorer. Lui et moi ne nous sommes pas lâcher depuis l'accident. Bien évidemment, il à profiter de son accident pour ne pas bouger du canapé et pour se faire servir tel un roi tout ce qu'il voulait et lorsque je lui refusais il remettais l'accident sur le tapis. Et bien-sûr, ne voulant plus parler de ce jour qu'il prend aujourd'hui à la rigolade, je me pliais à ses désirs. 

"Niall, dépêche toi, tu v'as être en retard." Dis-je en ramassant ses vêtement parterre. 

"Je suis obligé d'y aller ?" 

"C'est ta dernière visite." 

"C'est bon j'arrive à la bouger complètement ma main maintenant." 

"Niall." 

"C'est bon ok, mais hors de question que tu viennes avec moi."

"Et pourquoi dont ?" Je hausse les sourcils, la panière à linge soutenue sous mon bras.

"J'ai vue comment il te matais ce vieux pervers dégueulasse et je me suis peut-être péter les phalanges de la main mais à l'heure d'aujourd'hui, si je veux lui casser la gueule, j'y arriverais." 

Je rigole en secouant la tête, il est de bonne humeur aujourd'hui. A vrai dire, plus je suis avec lui, plus il s'améliore. C'est lorsque je dois partir qu'il devient un vrai fardeau. 

"Hors de question, je viens."

Il souffle et se lève. J'ai accompagné Niall à tout ses rendez-vous médicaux et heureusement que j'été là car si on l'écoutait il n'aurait même pas pris d'y aller assurant à tout le monde que ces exercices ne servent à rien. Niall est le genre de mec insupportable et impatient. A la salle d'attente il marronne en s'affalant sur la chaise, les bras croisés. Lorsque des enfants en bas âges entrent, ses nerfs augmentent surtout lorsqu'un bébé se met à pleurer. Il m'assure en chuchotant ne jamais vouloir d'enfant rien que pour leurs cries perçant. Heureusement pour tout le monde, le docteur Miller arrive peu de temps après appelant le nom de famille de Niall. Quand nous entrons, le docteur nous fait asseoir. Cet homme aux cheveux gris me sourit de toutes ses dents qui sont à la rigueur étonnamment blanche. On voit les gens qui ont une bonne mutuel.  

"Bien, Niall, comment allez vous ?" Dit-il, les yeux braqués sur sa feuille. "Je vois sur le document que c'est la dernière fois que nous nous voyons."

"Dieu merci." Chuchote Niall. Je lui donne un coup de coude. "Ouai." Reprend Niall un peu plus poliment. 

"Comment va votre main ? Avez vous fait les exercices que je vous ai conseillez de faire ?" Dit-il.

Niall hoche la tête. Le téléphone de Mr. Miller sonne, il marmonne quelques "mh" ou "oui je vois." en nous lançant quelques regard. Niall me tient la main lorsque les yeux de cet homme se pose un peu trop longtemps sur moi, je détourne le regard.  

"Veuillez m'excusez quelques instant." Dit-il avant de se lever. 

Une fois la porte fermé, Niall se retourne vers moi, les mains jointe l'une contre l'autre.

"On peut partir ?" Me demande t-il d'un regard suppliant. "C'est bon, je les aient fait ses exercices de merde ! Ma main va mieux ! La preuve je t'ai fait jouir avec hier soir." 

J'écarquille les yeux face à sa phrase. "Niall !" Dis-je. Je deviens rouge. "Il n'a pas besoin de le savoir ça !" 

"Je t'ai fait jouir n'est-ce pas ?" Dit-il en me regardant dans les yeux, les sourcils fronçaient. Je sais qu'il cherche à me déstabiliser. 

"Oui!" Dis-je en lui coupant presque la parole. 

Juste lorsqu'il allait répondre, la porte s'ouvre et Mr. Miller apparaît. Il se rassoit, s'excuse de sa petite absence et pose beaucoup de question à Niall sur l'état de sa main et sur sa progression. Il lui à fait faire des exercices et je voyais les yeux de Niall me cherchait lorsqu'il lui à touché un point sensible. Je me suis précipité vers lui, le réconfortant comme je pouvais. Même si il veut faire celui qui est fort et courageux, je sais qu'il à peur. Lorsqu'il à eu cet accident il m'a avoué certaines choses et je devrais remercier le médecin pour lui avoir administrer un médicament anesthésiant lui faisant dire des choses que jamais je n'aurai crus entendre de sa bouche. Sans ça, je pense qu'il n'aurait jamais eu le cran de m'avoir avouer qu'il est vulnérable sans moi. Il m'a clairement dit avoir eu peur ce jour là. Peur de me perdre. Peur de me laisser seul ou à un autre que lui. Quand il à eu cet accident, le chirurgien nous à dit qu'il avait eu beaucoup de chance d'avoir survécu. Pendant quatre jours, il n'a pas arrêter de dire mon prénom. Après ma première visite, j'ai décidé de venir tout les jours et de rester avec lui.  Depuis, il n'arrête pas de m'appeler lorsque je suis loin de lui. J'ai droit à des messages et à des appels toutes les heures et même lorsque je suis en sa compagnie et que j'ai le malheur de m'éloigner ne serait-ce que de quelques mètres de lui, il m'appel, faisant semblant d'avoir besoin de moi alors que je sais très bien qu'il m'appel car il à peur que je parte. Mais j'ai beau lui répéter cent fois par jours, voir plus, je ne partirais jamais. Je l'aime et je ne me vois pas vivre sans lui. 

"Au fait, c'est quand ton prochain repas avec les gens important ?"

"Avec mes parents ?" 

"Oui."

"Samedi."

"La dernière fois tu n'y es pas aller, tu peux pas faire pareil ?"

Je rigole, voyant clair à son jeu.

"Si je n'y suis pas aller c'était pour rester avec toi mais maintenant que tu v'as mieux, je suis obligé d'y aller. J'ai promis à mon père."

"Bon, j'aurai essayer. Pas bêtise hein ?"

"Ce n'est pas mon genre de faire des bêtises, tu le sais non ?" 

"On sait jamais." Dit-il. 
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Je suis désoler désoler désoler, ce chapitre est nul mais genre, vraiment. Je me rattraperais la prochaine fois, promis.



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