Chapitre 42

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PDV Niall

Elle n'est plus vierge. Elle m'a annoncer ça d'un ton passif. Quelqu'un l'a déjà toucher. Quelqu'un s'est déjà emparer de son corps. Je ne serais jamais celui qui la touchera pour la première fois. Sa peau nue à était vue par un autre homme que moi. Les doigts d'un autre ont parcourue ce corps. Elle n'est pas mienne et ne le sera jamais. Quelqu'un l'a eu pour lui tout seul et cet homme, ce n'est pas moi. Un sentiment étrange s'installe en moi mais je n'ai aucune idée de pourquoi est-ce que cette révélation joue à l'intérieur de ma poitrine. Elle est tout de même gênée et à l'air honteuse de m'annoncer ça. Ma réaction n'aide en rien à la réconforter. Pourtant, je devrai lui dire que ça ne me pose aucun problème, que ça ne me fait rien de savoir qu'elle n'est plus vierge. Je devrai lui dire que je l'accepterai quoi qu'il arrive même si je sais qu'elle me cache des choses. Mais je ne bouge pas, aucun mot n'arrive à sortir de ma bouche. Je veux lui dire tout ces mots réconfortant mais en le lui disant je lui mentirais autant à elle qu'à moi même. Je suis tout de même soulagé qu'elle met fait part de cette dur vérité. Je sais qu'elle à des secrets et qu'elle me les cachent mais après tout, je lui cache aussi des choses. Chacun à ses secrets.

"Niall ?" Elle à beau me parler, je ne l'écoute pas.

Mon esprit part dans de la paranoïa et je me fais des films. Il faut que je lui demande qui est l'homme qui à enlever sa pureté et qui que soit ce fils de pute, je le retrouverai et je lui ferai comprendre qu'il ne fallait en aucun cas toucher à son corps. Ce n'est pas de la jalousie, c'est un autre sentiment. Je n'aime pas quand on touche à mes affaires et je déteste savoir que quelqu'un soit passer avant moi.

"Qui s'est ?"

"Niall, je n'ai pas envie de parler de ça s'il te plaît. Crois moi. Fais moi confiance." Je lis de la détresse dans ses yeux, elle me supplie presque à genoux.

Je ne cherche pas plus longtemps à savoir mais un jour ou l'autre elle sera obliger de me dire de quoi elle à peur. Je vois bien à son visage, à ses yeux qu'elle est effrayer et si je n'étais pas aussi fatiguer que j'en ai l'air je l'obligerais à tout m'expliquer. Elle se plante devant moi et me regarde droit dans les yeux.

"Ne me rejette pas, s'il te plaît..." Elle me sourit tristement.

Je hoche la tête et l'enlace posant sa tête contre mon torse.Allongés tout les deux depuis plus d'une heure sur mon lit. Elle me parle en caressant doucement ma peau, me donnant les frissons.

"C'était bien les soirées FaceTime qu'ont faisaient en France." Me dit-elle.

"C'est vrai." Je n'ose pas vraiment lui dire le fond de ma pensée par peur de la choquée mais elle doit être habituer à mes mots vulgaires. "On devrait baiser par webcam un jour." Elle s'étrangle et manque de peu de s'étouffer avec sa salive.

Je glousse alors qu'elle tente de retrouver ses esprits. "Je plaisante." Dis-je.

Je suis loin de plaisanter.


Elle me regarde, le sourire aux lèvres qui s'efface petit à petit. Sa poitrine se soulève rapidement m'indiquant que sa respiration s'est accélérée, mon regard parcours son corps vêtue de ses vêtements. Elle est beaucoup trop habiller à mon goût. Elle continue de me fixer quand ses lèvres s'écrasent sur les miennes et je ne contrôle plus rien. Quand elle se dégage de ma bouche elle fait craquer ses doigts comme étant notre signe que l'un à envie de l'autre. Je me rappel bien avoir fixer cette tradition entre nous, c'était le soir d'Halloween mais j'ai autre chose en tête que de me rappeler les détails de ce jour là. La seule chose que je puisse me rappeler sont ses lèvres pulpeuses autour de mon sexe. Je souris et fais à mon tour, craquer mes doigts, lui répondant à son geste. Elle s'enfonce un peu plus dans le matelas, se mettant complètement allonger. Avec son index elle m'indique de m'approcher d'elle. Elle se mord les lèvres pendant que je me place entre ses jambes qui s'enroulent autour de ma taille.

D'un coup brusque j'enlève mon tee-shirt et elle fait de même, sans gêne. Mes lèvres se posent tout autour de son cou et de ses seins. Lorsque mon souffle chaud arrive contre son nombril, j'aperçois des millions de frissons s'emparer de son corps. Mon doigt dessine des cercles contre son nombril et je la regarde en posant ma main sur le bouton de son jeans. D'un regard, je l'interroge, voir si elle m'autorise à continuer jusqu'au bout de mon idée. Avec la plus grande des surprises, elle hoche la tête et d'un geste de doigts, je déboutonne son jeans et l'enlève avant de le balancer parterre. Elle tique de ce geste mais je la fait taire en l'embrassant, la dernière chose que je voudrai c'est de me couper dans mon élan tout ça parce qu'elle à besoin d'aller plier correctement son jeans. Je l'embrasse d'abord sur ses lèvres puis sur son nez pour enfin revenir là où je m'étais arrêter. Son soutien-gorge part aussi vite que sa culotte et je dois remercier ces années d'expérience à baiser des tas de meufs donnant leurs corps aussi facilement les unes que les autres. Je remercie cette expérience qui me sert à dégager ce soutien-gorge à une vitesse affolante. Ma langue joue contre son sexe, faisant des cercles et tout autre forme, je la sens bouger sous moi, se tortillant contre ma langue. Son dos s'arque alors que ses mains agrippent fermement les draps. Sa respiration est forte. Je me relève avant de la faire jouir et descend mon pantalon et mon caleçon en même temps. Je bande déjà. Elle se relève et m'attrape à pleine main. Elle commence ses vas-et-vient mais je la stop en lui prenant ses poignets, l'arrêtant dans ses mouvements. Elle se rallonge délicatement et je me met dessus elle, je tend mon bras vers la table de nuit et ouvre le tiroir pour en extraire une capote. Je l'interroge une fois de plus et elle continue tout de même à hocher la tête. J'enfile le préservatif autour de mon sexe et commence à la pénétrer doucement. Elle grimace un peu, le temps que son intimité s'adapte à ma bite et j'entre en elle, tout d'abord légèrement. Petit à petit, mon pénis entre en profondeur. Elle à peut-être coucher avec quelqu'un d'autre avant moi mais elle est vraiment étroite. Signe qu'elle n'à pas du le faire beaucoup de fois avec ce type.

"Putain Lyna, tu es si... Étroite." Elle est si chaude, si mouillé que j'en perd mes moyens.

Je bouge un peu plus vite. Ses yeux sont clos et sa bouche est entre-ouverte. Je m'allonge contre elle, retenant tout de même mon poids et continuant à entrer et sortir en elle. Ses doigts m'attrapent les épaules et vont vers mon dos où ses ongles se plantent dans ma chaire, elle me griffe. La sensation aurait pût être désagréable si je ne serais pas en train de lui faire l'amour. J'accélère la cadence alors qu'elle est toujours accrocher à moi, je pose ma tête à côter de son oreille et lui murmure des mots salaces qui la stimuleront. Elle jette sa tête en arrière alors que j'atteins l'orgasme. Ses jambes tremblent, elle est proche de l'orgasme elle aussi. Elle gémit mon prénom encore et encore et je me perd en elle, versant ma semence dans le préservatif. Je me retire doucement d'elle et m'allonge à ses côter. Je couvre son corps nue à l'aide de la couette. Ses frissons refont surface mais je sais qu'ils sont là qu'à cause de ce froid. Elle met sa tête contre ma poitrine pendant que sa main cherche la mienne pour y entremêler nos doigts ensemble. Je l'aperçois sourire en silence.

"Je ne te poserais qu'une seule question à ce sujet mais réponds moi en toute franchise." Dis-je.

Elle relève sa tête et me fait signe de continuer, le sourire aux lèvres. "Comment il s'appelle ?"

Je n'ai pas besoin d'ajouter de détails à ma question que son sourire s'estompe. Elle à compris de quoi je voulais parler. Elle baisse les yeux et souffle comme si je l'a faisait chier. Elle me connait, elle sait que je ne lâcherais pas l'affaire. Je veux savoir qui est ce trou du cul.

"C'est Max." Dit-elle aussi froide que possible.

Max, le Max qui était son ancien petit-ami. Évidemment, j'aurai dû le deviner, je le savais. Je savais que c'était cet enculé mais je n'ai jamais voulu voir la vérité en face. Je dois me contrôler mais j'ai lâcher sa main et serrer mes poings. J'ai l'impression que je vais exploser. Lyna le remarque et embrasse mon épaule. Elle reprend ma main dans la sienne et de son autre main, elle me caresse le biceps. Son toucher me calme en un rien de temps. Sa peau contrôle ma colère et je sens mon cœur s'affoler mais pas pour la chose à laquelle je pense. Il n'y à que elle qui puisse me calmer. Et ça, rien qu'avec son toucher.Quelques minutes après un interminable silence, son téléphone sonne, elle se lève et son corps nue me donne envie de recommencer encore et encore. Elle se rhabille en décrochant.

**

Le lendemain, après qu'elle met appeler une quarantaine de fois, j'éteins mon téléphone une bonne fois pour toute. Assis dans la voiture, j'attend que l'auto que j'espère voir depuis plus d'une heure arrive enfin. Je lui ai pourtant promis que je ne ferais rien qui puisse lui faire du mal. Je lui ai promis que je ne ferais plus de connerie mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas me laisser vivre avec ça. Alors que je me suis mis à compter les minutes, la voiture noire stationne enfin devant cette immense baraque pourtant familier. J'y passé la plus part de mon temps en soirée avant qu'elle n'arrive et qu'elle ne chamboule tout. Je sors de la voiture et attend que la porte s'ouvre sous mes violent coups contre ce bois. Je ne peux plus faire marche arrière. En fait, si je le peux mais je n'en ai pas envie. Tant pis pour la promesse que j'ai voulus tenir auprès de Lyna. Tant pis si ça l'énerve ou l'attriste.

"Niall ?" Ses cheveux n'ont pas vraiment changer depuis la dernière fois que je l'ai vue. Ils sont toujours aussi noir qu'avant. Ses yeux marrons sont perçant et me dévisage.

"Max."

Dark heartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant