Chapitre 21

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Izabella Johnson



« La mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure. »




Il est là, devant moi. Ses yeux sont rouges et ses cheveux on poussés. Il ne s'attendait pas à me voir débarquer ici, comme une fleur. Je ne sais toujours pas si cela était une bonne idées de venir chez lui sans même le prévenir de ma visite.

_ Rentre, reste pas sur le bas de la porte. Me dit-il avec une voix cassée et triste.

Je rentre dans son habitacle sans rien dire, je vois Marley arrivé en courant vers moi et Mya qui est logée dans mes bras. Il n'a pas mal changé, tout comme Harrison. Ce dernier me relooke tout en passant à coté de moi.

_ Pourquoi t'es partis ? Lui demande-je cash.

_ Tu veux quelque chose à boire?

_ Essaye pas d'esquiver ma question Harrison, j'avais besoin de toi plus que tout, j'ai vécu les pires semaines de ma vie ces derniers jours.

_ C'était pour toi, je voulais pas te faire plus de tord que ça. Je ne suis pas la personne qu'il te faut Izabella, tu mérite mieux.

_ Sauf que c'est toi que je veux et pas un autre qui serait mieux pour moi, tu es la perfection pour moi Harri, on a eu la preuve il y a quelques mois.

_ Sauf qu'il n'est plus là, on ne l'a jamais vus c'est comme si il n'avait jamais existé.

Ses mots sont plus que violents, je pleurs devant lui et lui me laisse pleurée comme une personne sans valeurs.

_ Bien-sur qu'il à existé, je portés la vie pour nous deux, on allez avoir un enfant Harrison, un enfant. Dis-je en pleurant de plus belle.

_ Tu vois je suis mauvais pour toi, je ne sais que te faire pleurés, je suis un monstre pour toi.

_ Entre nous deux le monstre c'est moi. Je remonte ma robe pour lui faire voir mes cuisses scarifiées.

_ Je reviens, mets toi dans le sofa Iza.

Il part vers sa salle de bain et revient avec du désinfectant et des pansements.

Du désinfectant et des pansements.

Cela me rappelle la première fois qu'il l'a fait, il était doux et attentionné ce jour là.





Nous nous sommes endormit à deux dans le sofa, nous avons beaucoup parlaient et je ne sais pas ou en n'est notre nous. Enfin si il existe toujours, mais malheureusement je ne pense pas.

Je sens quelque chose bougé derrière moi je devine rapidement que c'est le locataire de cet appartement. Je me tourne vers lui, il me fixe et embrasse mes lèvres. Elle en est là notre relation.

_ Bonjour toi. Me dit-il d'une petite voix.

En guise de réponse je me blottis dans ses bras tout en lui embrassant son torse nu.

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