la fugitive du laboratoire

Chapitre HUIT

EXTÉRIEUR

Rosalia ouvrit difficilement les yeux, elle n'avait pas l'habitude d'autant de lumière mais quand ce fût le cas la première chose qu'elle vit est un plafond blanc et la première sensation qu'elle eu est un grand soulagement.

Elle pensait que les deux hommes, ou les deux montres, qui l'avaient retenue l'on finalement laisser partir puis elle pensa a une chose, "Madame Zotova doit être furieuse."

En effet, elle était persuadée être de nouveau dans l'endroit qu'elle nomme "l'hôpital", dans la salle où ont fait ses traitements mais quand elle tourne sa tête sur le côté elle fût surprise de ne voir aucun médecin, aucune machine qu'elle n'a déjà vue, elle ne reconnaît d'ailleurs pas la salle où elle est mais elle reconnue un des deux hommes qu'elle vit dans la pièce. 

Même si elle reconnaît Paul, elle ne chercha pas à savoir qui est l'homme a ses côtés, même si cet homme lui parait drôlement familier.

– Monsieur Paul, où sommes-nous ? Et où est Madame Zotova ? Demande-t-elle avec la voix légèrement enrouée.

– Tu ne te souviens pas ? Lui répond Paul.

Elle se souvient évidemment de tout mais elle ne lui répond pas. Elle se souvient être partie de l'organisation avec l'aide de Paul, d'avoir vu beaucoup d'arbres mais également d'être tombé sur un petit groupe de personne qu'elle soupçonne être capable de se transformer en monstre, comme on lui en a déjà parler.

Ces même homme l'ont ensuite enchaîné sur une chaise et l'ont interrogé sur quelque chose dont elle ignorait avant d'être frappée, et parfois même entaillé avec une lame.

Une toute autre personne aurait été furieuse contre Paul pour l'avoir envoyé dans un monde aussi dangereux, toute seule, mais pas Rosalia. Elle ne lui en voulait pas le moins du monde.

Elle lui en était même reconnaissante car grâce à lui elle a pu voir ce qu'elle pense être "le monde" mais elle est loin de s'imaginer a quoi peut bien ressembler le monde.

Néanmoins, en voyant Paul et l'autre homme la regarder elle finit par hocher la tête, signe qu'elle se souvient bel et bien de ce qu'il s'est passé depuis qu'elle est partie de l'organisation.

– Ce jours là je t'ai promis de te montrer a quoi pouvait ressembler le monde extérieur, et Aaron va pouvoir m'aider a tenir cette promesse.

Après la dernière partie de sa phrase il tourne son regard vers son alpha tout en le désignant de la main.

– Alors... Nous ne sommes pas à l'hôpital ? Demande t-elle en continuant de regarder Paul mais ce n'est pas lui qui lui répond.

– Nous ne somme pas... A l'hôpital. D'ailleurs tu n'y retourneras plus, pas après se qu'il te font subir. 

– Laisse moi faire Aaron s'il te plait. 

ROSALIA 

Je ne comprend pas se qu'ils se passe entre eux deux mais je ne dis rien, je les laisser se regarder dans les yeux sans qu'ils ne dises quelques chose. 

– Monsieur Paul, pourquoi je ne peux pas retourner a l'hôpital ? Je vous suis reconnaissante de m'avoir aidé mais maintenant que j'ai vue le monde je devrais rentrer pour pouvoir guérir, d'autant plus que Madame Zotova dois être furieuse que je sois partie. 

Après ma phrase, ou plutôt ma demande les deux visage des deux hommes se sont tourné vers moi. 

– Tu pense vraiment avoir vue le monde ?