Chapitre 7 :

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Ma faute, c'était ma faute, ma faute si les deux jeunes gens étaient morts. La culpabilité me rongeait, comme un poison, pourtant je ne pouvais me résoudre à ne pas me croire coupable, comme me le suggérais Aiko. Qui les avaient appelés ? Qui ? Moi, c'était moi. Moi, qui avais trouvé incroyable de pouvoir parler aux animaux, je considérais maintenant cela comme une malédiction. Comme pour appuyer mes propos silencieux, l'arbre au-dessus de moi se mit à secouer ses épaisses branches, recouvertes de feuilles vertes, projetant sur le sol une forme pas très accueillante, qui donnait l'impression d'être une main, recourbée, comme pour attraper tous ce qui osait s'aventuraient dans la forêt. C'est pourtant ce que je fis, accompagner de mon livre.

***

Quand je rentrai ce soir, l'appartement était désert, mes parents étaient encore allé boire un verre...ce qui n'était pas pour me déplaire, car l'appartement était tous à moi, comme les deux dernière semaines d'ailleurs. Ce que je fis en premier, fut d'appeler Aiko. Quand j'eus raccroché, en omettant à Aiko mon escapade dans la forêt des trois, (il aurait piqué une crise). Car la forêt des trois était entourer d'une légende, on disait que trois maléfique sorcières, capable d'invoquer les pouvoirs du diable y avaient vécu, on disait qu'elle était maudite, que les feuilles de la forêt étaient en vérité, des griffes qui protéger leur repaire, ses ruisseau, des filets du sang de leur ennemie, les animaux qui abritaient au centre de cette fort étaient, apparemment, des créature ressemblant a des plantes, avec une main d'argent a l'arrière de la tête, on disait aussi qu'elles pouvaient cracher des jets d'acides, si brulant, qu'ils vous désintégraient. Je ne croyais pas à cette légende, et puis même si elles étaient vraies, les sorcières seraient mortes depuis longtemps, non ?

***

A minuit et demi, j'entendis la porte grincer sur ses gonds, aussi silencieuse qu'un éléphant marchant sur un tapis de feuilles mortes. Mes parents ne faisaient aucun effort, jamais, pour rentrer silencieusement et me permettre de dormir tranquille. Car à cette heure, j'étais censé dormir, sauf que je ne dormais pas, je lisais, à plat ventre sur mon lit, les jambes levées et croiser en l'air, je lisais. J'étais perdu dans mon univers, quand la porte de ma chambre s'ouvrit, brusquement. Alors ça pour le coup c'était vraiment bizarre : mes parents ne vérifiaient jamais si je dormais. Mais, au seuil de la porte, ce n'était pas mes parents. heureusement mes deux bibliothèques touchaient le plafond et, une minuscule entrée, que j'avais créé, était cachée par un papier peint de la même couleur que ma chambre, ainsi il fallait savoir où etait l'entrée, ou on ne pouvait entrer. Personnes ne connaissait la chambre que je m'étais construite appart moi et Aiko, évidemment. Trois hommes entrèrent, le premier, certainement le chef avait les cheveux mi- longs bruns lui arrivant aux épaules. Il avait aussi des yeux marron avec des sourcils très fin, son visage était barré d'une cicatrice qui le traverser de part en part. Le deuxième était plus jeune, à peine 17 ans, il avait les cheveux blonds et court ainsi que des yeux gris-noir, magnifique. Quand au troisième, il était courbé, certainement sous le poids des âges, et il abordait la même tunique, noir, que ses compagnons. Sur leurs capes ressortait un symbole : un œil renfermant une griffe blanche, sur les ténèbres des capes. Mais, le plus inquiétant dans toute cette histoire, c'était les poignards qu'ils tenaient tous dans les mains. Puis discrètement, ils avancèrent vers le lit ou j'étais censé dormir et l'encerclèrent. Puis le plus jeune fit un geste de mains aux deux autres, comme un signal. Apparament, ça l'étais. Car, dès que le geste fut achever, les deux autres, dans un ensemble parfait, plantèrent leur couteau dans mon lit, dévorer par les mites, comme je l'avais espérer les sachets de jus explosèrent et rependirent, sur mes draps jaunis, du jus de framboise, les tachant de rouge. Les assassins, pensant m'avoir tué, partirent aussi discrètement qu'ils étaient venus (enfin non, ils ne firent pas plus d'effort avec la porte qu'à leurs arriver), je regardais toute la scène par une minuscule fente entre la bibliothèque te le mur. Quand j'eu la confirmation qu'ils étaient parti, je me laissais retomber sur mon lit. Un frisson glacé me descendit le long de mon dos et de la sueur perla à mon front. Ses hommes m'aurait tué, si j'avais étais dans ce lit, mais pourquoi ? Pourquoi vouloir me tuer ? Sur ordre de qui ? Mes parents, étaient-ils mêler à tout ça ? Je restais, toute la nuit, dans mon lit, sur le dos, à tourner et retourner ses questions dans ma tête. Je ne dormis pas de la nuit, la peur me garda éveiller.

Le passageWhere stories live. Discover now