Moi : fini ce que tu à commencer El Nahïl..Le lendemain..
Je sens des caresses au creux de mes reins ainsi que sur ma joue droite, les yeux toujours fermer je secoue doucement la tête avant de la reposer sur l'oreiller.
Je sens des lèvres caresser le lobe de mon oreille, un frisson instantané me parcours le corps. J'ouvre délicatement les yeux, mes yeux s'ouvre et tombe directement dans deux pupilles noir, les siennes..
Quelques secondes s'écoule pendant les quels nous nous fixons l'un l'autre un sourire au lèvre.
Ça bouche s'ouvre et mes yeux s'abaisse sur c'est lèvre, sa voix roque résonne dans la pièce.
Lui : t'as bien dormi, princesse?
Au vue du sourire qui trône sur ces lèvres je sais dors et déjà qu'il n'attend pas de réponse. Mes yeux croise le réveil qui est sur la commode il est actuellement 15h45 ça fait seulement sept heure et quarante-cinq minutes que je suis endormi.
Il faut dire qu'il n'a pas su s'arrêter, je tiens à avouez que quand je dit « lui »je me met également dans le lot.
Je ricane doucement avant de me coller à son torse.
En collant nos corps je me rend compte que nos peau entre en collision. Je ne suis pas habiller ..et lui non plus d'ailleurs.
Son sourire s'élargit pendant que mes joues prenne la couleur du fruit que certaines personnes considère comme un légume. Bien évidemment je ne vise personne.
Ça tête se loge dans mon coup, et c'est lèvres y laisse leur trace. Il y dépose des baisser fiévreux.
Nous nous mettons à parler, rigoler, se taquiner, se battre pendant de longue minutes.
Ce petit moment passer avec lui me réchauffe le coeur. Une matinée si on peut appeler sa « matinée » comme des gens normaux.
Il se retrouve rapidement au dessus de moi, il maintient mes deux mains au dessus de ma tête, il les maintient d'une seule main.Je me met à rigoler exexisivement fort quand il se met à me chatouiller.
Moi : STOP STOP ARRÊTE S'IL TE PLAÎT-
Je ne peut m'empêcher de rigoler, je suis extrêmement sensible au chatouille.
Moi : YOUNES ! ARRÊTE !
Je me met à gesticuler dans tout les sens pour qu'il me lache. Lui maintient un sourire qui fait brûler mon cœur au premier degré.
Mon téléphone ce met à sonner, ce qui nous sors de notre bulle. Je ne sais comment j'ai fais, mais je parviens à m'échapper de son emprise, je sors du lit un draps autour du corps.
Je rigole toujours autant pendant que lui, s'allonge tout en me regardant.
Appel entrain d'Imen :
Je n'arrive pas à m'arrêter de rigoler, mais je me concentre pour essayer de me calmer.
Imen : bonjour ma ptite star comment tu vas?
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Pardonnez l'impardonnable? [tome 2]
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