Chapitre 37

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qlq semaine se sont ecoulé, je suis devenue une ssf (sans stage fixe) j avais eu pls proposition mais je n arrivais pas a me decidé du coup je bossais un peu partout pour m aidez a faire mon choix, et puis one ne faisais pas grand chose juste des petit trucs comme des patrouilles netoyé les rues et les buissons, franchement c etait le pire stage d etudiant de tout ma vie, franchement on bosse toute la journée on est mm pas credité, je resemblait plus a leur boniche qu a autre chose entre faire le menage dans les agences et faire du café pour tout le monde je ne vois pas en quoi ce satage vas m aidez a devenir une héroïne ...

....je suis actuellement dans le dortoir plus precisement dans ma chambre, c est mon jour de repos si je peux appelé ca comme ca, puis bakugo entre et s affale sur le lit.

tp: alors et ton stage?

bakugo: la ferme ne me parle pas de ce putain de stage a la con, "dit il en commencant a manipulé son tel"

tp: ah ok

un blanc genant c est instalé entre nous 

bakugo: tu t es trouvé un stage finalement?

tp: je croyais que tu ne voulais pas en parlé?

bakugo: repond juste

tp: bof c est tres ennuyeux,

bakugo: bas viens dans le mien

tp: jamais de la vie 

bakugo: bah pk? "tourne enfin la tete vers moi"

tp: la derniere fois que je suis resté avec toi dans un truc serieux je me suis fais recalé

bakugo: mais t as finalement eu ton permis provisoir

tp: en retard je te signale 

bakugo: allez je m ennuis chez moi

tp: c est tellement pas mon probleme debrouille toi

il ne repliqua pas et s approcha de moi, puis commenca a me regardé dans les yeux

tp: tu crois vraiment que ca vas marché?

bakugo: non pas du tout 

il mis sa main sous mon débardeur 

tp: recule "souris"

 bakugo: j ai pas envie "souris de plus belle"

il remonta sa main jusqua atteindre ma poitrine 

bakugo: oh madame n a pas mis de soutif 

tp: parce que t aurais preféré que j en mette?

bakugo: non au contraire j aime ca "souleve mon debardeur pour revele ma poitrine"

puis il s abaissa vers moi effluerent mes levres puis les embrassants dans un baiser sauvage, audacieux me faisant poussé de legé gemissement, pendant que sa langue se debatait avec la mienne, sa mais droite emprisonna mon sein jouant avec ce dernier tandis que sa main gauche empoigna mon fessiers puis glissa vers ma partie sensiible qui etais deja hydraté, il y enserra 2 puis 3 doigts me faissant gemir plis fort

bakugo: doucement on pourrais nous entendre "dit il contre mes levres avant de descendre sa tete vers mon cou" 

tp: la faute a qui?

il commenca pompé vigureusement en moi pendant un bon moment puis se retira, me faisant grogné de fustration. Il se leva puis s' eloigna pour se netoyé les mains puis recommencer a manipulé son tel.

Moi, aimé et puis quoi encore ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant