Prologue

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Chaque jour les larme devient un congrès, pour moi mes pourtant...

J'allais en cours tranquillement, quand on me bouscule qui me fit tomber contre les casiers du lycée.


Le garçons se retourne vers moi, cheveux brun des lunette noir il était costaux.

------ Désolé prochaine fois je ferait attention.

Je vais dans la salle de cours comme par hasard je le vois,  assise la prof me point du doigt j'étais assise à coté de lui.


Super pendant tout le long du cours, n'arrete pas de parler de se retourne. Pendant qu'il ce balançait j'ai pousser la table par devant il est tombé tout le monde à rigoler j'ai pris mes affaire est je suis partie dans tout les cas, la prof se foutait que je part dans les cours elle est deja habitué.

Il pleuvait de ouf à New York,  j'étais entrain de marcher quand je le vois au loin il me lançe sont gilet noir que je prends. Sans hésiter je souris puis je continue, ma route je sais que s'allait pas m'aider mais bon je préfère largement en avoir en plus il était grands.


Je continue à marchais arrivé a l'appart j'ai vu Papa dormir sur le canapé il était tranquillement, entrain de dormir je les mis une couverture la table était remplie, de papier il travaillé beaucoup j'aurais aimé l'aider mais je, sais pas comment m'y prendre.


Le lendemain je retourne en cours avec un manteaux, je lui rend ce que il ma donné hier il le prend en souriant.

J'étais dans  les escalier en écrivant dans mon journal, tout ce qui me passe part la tete je me sentais vraiment bien en écrivant ma vie des petite livre.

C'étais un passe temps, de écrire je continuer à écrit quand Maila me prend mon journal j'étais avec mes écouteurs je me lève alors que je essayait de le prendre elle me donner des feinte elle commencer à lire mes histoire devant tout le monde je me sentais tellement humilier.

Alors par le coup de la colère, je lui mes un coup pied qui fait saigner le  nez parfait de Maila.

Elle se relève puis elle me pousse, fort que je me cogné fort contre le casier je perdait du sang sur la tete mes yeux se ferme petite à petite à petite.


Quand j'ai sentie quelq'un me prendre par les hanche.













LES LARMES DE LA TRISTESSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant