Luxure, troisième péché capital

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Je lançai un sourire narquois à la fille et je lui fit un clin d'œil, tout en sortant de la maison avec Divine. Jeremial se jetta sur moi tout souriant et sa mère avait l'esprit apaisé . Et dans un élan de fin je leur ai dit "Bon mariage" puis on s'en alla.

Mais quelque chose se profilait à l'horizon.

Ma semaine de repos pris fin et je retournai au boulot, Daniella était un peu deçu de mon absence et était fâchée en même temps qu'elle me donna une tonne de corvée pour palier mon absence. Je me tuais à la tâche assis sur mon siège quand subitement, une voix derrière moi me murmura :

—«Vous travaillez dure, beaucoup trop dure Mr Bam's. Voulez vous un petit massage ?  »

J'avais eu des frissons d'un coup et en me retournant, c'était la sœur de Jordan qui était derrière moi.

— « Toi ici? Mais que fais-tu là ?  » lui demandais-je étonné.

— « Moi ? Mais je travaille ici, j'y suis depuis 5 jours. Daniella nous a parlé de toi Mr le meilleur employé . Je m'appelle Silvia Ambroise mais toi tu peux m'appeler comme tu veux  » Dit-elle en me laissant des regards charmeurs.

— « Tu veux bien arrêter, je suis pris par le travail comme tu peux le voir alors tu ferais mieux d'aller t'occuper de tes affaires aulieu de me distraire » dis-je un peu remonté parce que j'avais des tonnes de dossiers à traiter.

Elle était derrière la cabine de mon bureau. Dans notre département, chaque employé travaillait dans une cabine ouverte d'en haut faisant office de bureau et la mienne était tout au fond de la salle. Silvia était derrière la cabine puis passa devant et entra à l'intérieur.

Elle portait une robe moulante qui couvrait  à peine ses cuisses et qui laissait paraître ses formes. Elle avait une taille de miss, un joli cul, des jolis seins tous ronds et debouts, pointés comme des révolvers. Elle mesurait environ 1m70, une teinte brune et des lèvres aussi roses que des fleurs.

Elle était rentré dans ma cabine puis s'accroupit, écartant grandement ses jambes tout en m'offrant une belle vue sur son entrejambe. J'étais surpris en voyant cela assis devant mon ordinateur, j'étais surpris de voir qu'elle ne portait rien en bas et comme tout homme qui se respecte, ma queue commençait à vibrer.

Elle avait une chatte rasée toute rose qui dégoulinait d'elle-même. Elle rentra au dessous du siège où j'étais assis, ouvrit ma braquette, sorti ma queue de mon pantalon puis me dit sensuellement :

— « Je crois que je ne vais plus te masser mais plutôt te soulager autrement.»
J'allais répondre pour lui montrer mon refus mais ma queue était plus sincère que moi, elle se mire droit debout au garde à vous.

Silvia plaça ma queue vers sa bouche puis chuchota en me regardant :

— « Bonne appétit »
Elle avala et commença à sucer ma queue. Elle mit sa salive puis resserra ses lèvres sur ma queue et elle se mire à faire des mouvements de va-et-vient. La sensation était folle, elle savait y faire que je gémissais en retenant ma voix après tout, j'étais au boulot.

Il fallut moins de 5min avant de me faire jouir. Après tout, elle était capable d'engloutir ma queue en totalité et l'intérieur de sa bouche avait la même texture qu'une chatte.

Elle avala mon sperme puis se leva. Elle tourna mon siège de l'autre côté du bureau laissant un peu d'espace puis elle monta sur moi.

J'étais étonné de ce qu'elle s'apprêtait à faire mais j'étais tout autant excité que ma queue reprit vie encore plus debout que jamais. Silvia remonta sa robe jusqu'à ses hanches puis se leva de quelques centimètres pour enfoncer ma queue en elle et elle l'enfonça dans sa chatte mouillée en toute totalité jusqu'à mes testicules.

Ses jambes commencèrent à trembler et en la regardant de face, elle pleurait. Elle avait mis ses mains sur sa bouche pour éviter de crier puis elle commença à bouger lentement sur ma queue tout en retenant ses gémissements. Petit à petit, elle commença à s'adapter à ma queue car elle montait et descendait sur ma queue plus facilement.

Sa chatte m'avalait et ses entrailles se resseraient sur ma queue, c'était si chaude et serrée à l'intérieur que j'avais l'impression que ma queue allait fondre. Je commençai aussi à bouger puis je plaçai Silvia en position de L'offrande sur le siège.

J'enfonçai ma queue au plus fond de sa chatte, ce qui la faisait jouir et tourner la tête, c'était magique. Un moment donné je finis par jouir en elle. C'était du sperme et du sang qui retombaient sur mon pantalon. Après cela, elle se leva et sorti de mon bureau en courant tout en redescendant sa robe. Elle était partie sans rien me dire mais j'étais paumé.

Ce jour là, j'avais fini la moitié du boulot qu'on m'avait confié puis je rentrai chez moi.

Le lendemain au bureau, toutes les filles me regardaient bizarrement.

— « Que ce qui se passe encore cette fois ?  » me suis-je dit au fond de moi.

À suivre....

Luxure Tome IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant