La chute (Chapitre final).

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3 semaines après je pris le large pour ma nouvelle vie. J'étais bien arrivé et la vie y était facile. Je travaillais dure là-bas et je faisais gagner beaucoup de profits à l'entreprise jusqu'à ce que une seule nouvelle vienne briser ma vie de rêve.

Je louai un appartement au centre ville, je vivais la belle vie mais l'appel de Madame Laurcia brisa ce rêve.

— « Bonjour Jason, j'espère que tu vas bien.» dit-elle

— « Oui et vous ?  » lui Repondis-je.

—  « Non, je savais que tu aimes baiser mais pas jusqu'à ce point. Comment tu as fait pour baiser mes trois filles et de surcroît tu as enceinté la cadette !! » dit-elle en me criant dessus.

— « Andrea est enceinte ? Comment cela peut être possible ?  » dis-je essayant de trouver une échappatoire.

— « Bah oui, tu aurais dû utiliser une capote quand tu la baisais. Reviens vite au pays si non tu risque de le regretter.  » dit elle en me proferant des menaces.

Elle raccrocha sans entendre ma réponse. J'étais confus et je ne savais pas quoi faire. Pour moi, c'était une mince affaire mais je ne savais pas cette histoire était le début de ma chute.

Je rangeai mes affaires pour rentrer au pays écouter ce que Madame Laurcia avait à me dire.

Une fois arrivée au pays, je me rendai directement chez elle mais elle était assise au salon avec la femme du PDG. Elle voulait cacher l'histoire à cette femme mais elle était très perspicace et avait déjà deviné ce qui se passait. Je n'avais pas signalé mon retour au pays à l'entreprise donc madame Eleanor chargé des affaires externes de l'entreprise était très étonnée de me voir là.

Avec madame Laurcia, on avait trouvé un accord mais pour une première fois, j'ai reçu l'appel du PDG lui-même qui me demanda de passer au grand bureau.

Je dormis chez madame Laurcia cette nuit là vu qu'on avait fini de discuter très tard quant à son mari, il n'était jamais présent à cause de son travail.

Le lendemain, je passai au bureau pour voir le PDG, tous étaient étonnés de me voir et m'acclamerent. L'entreprise "LAD Corp" était construite sur une immense immeuble dont le dernier étage était le celui où se trouvait le bureau PDG, nous on travaillait au deuxième étage.

Depuis que j'étais dans cette entreprise, je n'avais jamais montré jusqu'au 15e étage le dernier. Je pris l'ascenseur pour y monter et une fois arrivée au dernier bureau, je vis une femme proche de l'ascenseur et un bureau au fond marqué PDG sur la porte .

Je me présentai auprès de la femme qui semblait me connaître et elle lança un coup de fil puis me dit d'aller dans le bureau.

Je frappai à la porte puis j'entrai. En entrant dans le bureau, je vis un homme noir debout près d'une étagère qui contenait des documents en tenant une tasse de café. Il était dans la soixantaine mais encore dans la rigueur, il dégageait une aura imposante et une silhouette intimidante. Il était grand et baraque tel un mur imprenable que mon souffle fut coupé car je tremblais de peur.

À côté de lui se trouvait sa femme tout aussi élégante assise sur le siège du bureau principal entrain de vérifier des dossiers . Le PDG me demanda me m'asseoir sur le canapé des invités puis m'offra du café.

Il ôta sa veste pour rester en chemise puis venu s'asseoir vers moi.

— « Alors c'est toi le jeune prodige de notre entreprise, j'avais hâte de te rencontrer surtout que ma femme parle beaucoup de toi en ce moment. Tu m'as l'air plutôt bien bâti comme homme, assez grand, musclé et bel homme. Pas étonnant que tu baises toutes femmes de cette entreprise.  » Dit-il en ricanant.

Mais moi je n'adherai pas à sa blague car j'avais peur et des  sueurs froides commencèrent à couler sur mon visage.

— « Bref, tu as encore dans la fleur de l'âge, je te comprends. En plus de baiser la petite Daniella et Laurcia, tu t'es encore permis de baiser ma femme. Décidément, tu ne manques pas de courage. Dit gamin, tu me prends pour un con ?  » me dit il en me fixant droit dans les yeux.

— « Non monsieur» lui répondis sèchement car j'avais trop peur d'ajouter autre chose.

Madame Eleanor me lança aussi un regard tueur car elle aussi dans la merde.

— « Bref, là non plus n'est pas mon problème, ma femme est une pute de première aussi. Mais je déteste les hommes qui touchent aux mineurs. Vois-tu ma mère m'as eu à 16 ans et d'après elle, j'avais gâché sa vie et elle ne m'a  jamais aimé. Même après avoir réussi ma vie, elle ne m'a jamais aimé comme une mère, tout ce qu'elle voulait c'est mon argent et rien d'autre. Donc  rien que  d'avoir enceinté la fille de Laurcia, je te licencie de mon entreprise.» me dit il aussi sérieux que jamais.

Je regardai madame Eleanor avec haine et dégoût que j'avais envie de l'entrangler sur place.

— « Ne garde pas Eleanor avec ce regard tueur Jeremy. Et oui, je connais ton passé après tout Eleanor est la sœur de Céline. Je sais tout ce qui se passe ici, tout ce qui se déroule entre mes employés et  j'ai des yeux partout. Regarde sur le bureau, il y a un lettre de démission et une note de démission. Signe les avant de partir.  » me dit il en se levant du canapé pour repartir vers l'étagère des documents.

Je me levai et parti au bureau pour signer la lettre de démission. En m'appretant à signer la note, Mr Dolce m'interpella.

— « Eh gamin, lis la note avant de signer.  » dit il avec rigueur.

En lisant la note et les clauses de ma démission, j'étais bouleversé et je n'arrivais pas à y croire. Ma chute était peut être un autre pas vers mon ascension.

Je sorti du bureau déçu. Je retournai tout de suite dans ma précédente ville et j'étais Jeremy. Une fois arrivée sur les lieux j'allai directement me livrer à la police pour mon précédent crime et en m'enferma directement.

Un mois passa puis venu le jour de mon jugement, tous mes proches étaient là, la femme du PDG esquisa un sourire en me voyant c'est alors que je compris qu'elle était derrière ma chute.

On me condamna à 7 ans d'emprisonnement ferme sans remise de peine. Avant de partir pour la prison, je leguai la moitié de mes biens à Jeremial qui pleurait à grosses gouttes et l'autre moitié à Andrea car elle attendait mon enfant.

Mon emprisonnement était une libération pour tout le monde car ils avaient promis de m'attendre jusqu'à mon retour.

Mais quelque chose de surprenant se passa en prison. Deux semaines après mon emprisonnement, je me retrouvai dans un bateau en route pour une autre ville. Grâce à des gens que je ne connaissais pas, je me retrouvai dans un hôtel de luxe où m'attendait le PDG.

— « Salut Jason.» Me salua t'il.

— « Bonjour monsieur.» lui répondis je tout réconnaissant.

— « Je vois que t'as compris les clauses de notre accord. Bien je t'explique. Je suis un ami de ton père et c'est grâce à lui que je suis encore en vie. Il m'a demandé un service et je ne pouvais rien lui refuser. Écoute moi gamin a partir de maintenant, tu vas reprendre l'entreprise familiale. Ton père t'as assez laisser vivre ta vie et maintenant c'est à lui de te prendre en charge. Je t'ai préparé des affaires et de l'argent. Tu dois mettre un trait sur ton passé pour l'instant et c'est seulement dans 7 ans que tu pourras revenir dans ce pays.  » m'expliqua t'il longuement.

— « Je vois, papa se montre enfin après m'avoir laissé vivre tout seul depuis mes 17 ans mais d'accord. Je vais suivre son plan. Et pour la prison ?  » dis je.

— « T'inquiète, c'est déjà réglé. Officiellement tu es en prison. Maintenant part et Adieu gamin. Au faite c'est moi qui t'avais nommé Directeur Régional pour essayer de t'éloigner de ton passé  dommage que tu avais déjà fait le con » me dit il en souriant.

C'est alors que j'avais compris que sa femme était une vraie salope.

Je pris le large pour pour un nouveau pays pour une nouvelle vie. La Luxure m'a amené au sommet mais m'a aussi fait chuter. Le sexe non controlé est la pire des malédiction. Quand le plaisir prime sur la raison, tout devient sombre et on tombe dans un puit sans fin.

F.I.N

Luxure Tome IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant