L'amour, douce et tendre, réchauffe nos jours,
Mais l'homme oublie, dans ses rêves et ses détours,
Que la vie n'est qu'un chemin, éphémère illusion,
Dont le but final est la mort, douce conclusion.La mort, pourtant gentille dans son silence,
Accueille chaque âme sans résistance.
Elle n'est pas cruelle, mais juste apaisée,
Offrant le repos à ceux qui l'ont méprisée.La vie est un rêve, un éclat fugace,
Un mirage fragile qu’on embrasse.
Mais au bout du voyage, la mort nous attend,
Douce réalité, patiente, sans tourment.Et si l'amour est doux, la mort n'est pas sévère,
Elle est la fin paisible d'une lumière passagère.
La vie trompe, et la mort délivre,
Ce qu'on craignait n'était qu'un autre livre.Ne dit on pas que l'enfer c'est sur terre ,
Que notre vie est un enfer , mais , pourtant nous adorons la vie plus et méprisant la mortVivons alors, sans crainte du sort,
Car dans ses bras, la mort est gentil réconfort.La mort est si gentille et fragile, malgré mes appels,
Mainte et mainte fois, elle m'a ignoré.
Sachant que de la vie je n'avais pas assez,
Je voudrais la remercier de ne pas m’avoir évincé.Son ignorance m'a rendu ma raison,
Moi qui étais devenu comme un hérisson,
Blessant toute main qui caressait ma peau.Ô mort, toi qui es injustement méprisée,
Alors que tu nous accueilles sans méchanceté,
Je te rends hommage, toi, mon professeur,
Toi qui m’as appris à voir la vie avec douceur.
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Les chroniques d'une suicidaire
PuisiÉcrits dans les périodes les plus sombres de ma vie "les chroniques d'une suicidaire" est un ensemble de textes, de poèmes et de citations