𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟖

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༻ E L A Y N A ༺

Chapitre 8

Elayna

Je me réveil avec beaucoup de difficultés, mon corps me fait mal, me brûle. Je fais face a une douleur irritante dans tout mon corps mais surtout dans mon ventre.
Lorsque j'arrive enfin à ouvrir mes paupières qui sont que trop lourdes j'aperçois Leone. Il est installé sur un fauteuil en face du lit dans lequel je suis allongée. Il est habillé de la même sorte qu'avant que je m'évanouisse. Alors j'en déduis qu'on doit être le même jour.
Il est entrain de dormir. Il a l'air d'être fatigué. La seule chose que je peut faire est de l'admirer.

Je suis incapable de tourner ma tête tellement elle me fait mal, alors j'admire ces tatouages que je détail plus intensément que toute à l'heure avant que je sombre.

Ils sont très détaillés. Un tatouage qui attire mon intention. Une rose rouge fanée entourée de ronces et d'épines. L'une des ronces est planté dans l'une des pétales de la rose, une goute de sang s'en échappe.

Comme si la rose était une personne qui est mutilé par une vie dure et qui en souffre. Est-ce qu'il cherche à se représenter ou à représenter quelqu'un ?

Pourquoi il s'obstine a s'occuper de moi alors que nous n'avons qu'un rêve en commun, c'est de tuer l'autre ?

Il bouge légèrement avant de délicatement ouvrir ces paupières dévoilant ces iris foncées.

J'y suis. Je vois enfin à travers lui.

Lorsque j'analyse ces tatouages, ils reviennent la plus part du temps au même point.

Lui.

Un lui, rempli de souffrance, de regrets, un lui rejeté. Je lis à travers l'encre encrée sur son corps qui parcours de nombreuses cicatrices étrangement.. fascinantes. Il se cache derrière un masque de mercenaire sans coeur pour ne plus penser à ce qu'il a pu vivre. Je vois clair dans son jeu, parce que je fais pareil.

Ces iris sombres se posent sur moi, elles sont froides et même temps d'être brûlantes.

— Pourquoi ? Je lâche malgré la douleur que me fait ressentir ma gorge. C'est le premier truc que j'ai à lui dire.

Il me regarde incompréhensif, comme s'il ne comprenait pas ma parole.

Leone :

Parce que sa me tue.

Parce que sa me démange de ressentir cette attirance pour toi.

— Parce que je ne suis pas la cause de ton évanouissement, alors je me devais de m'occuper de toi. Je l'ai dis et je le redis une dernière fois pour que sa rentre dans ton petit cerveau, Je dis en me levant du fauteuil dans lequel je dormais quelques minutes plus tôt. Je refuse de te laisser mourrir ou que quelqu'un te blesse tant que ce n'est pas moi qui m'en charge. Tu es mon ennemi et je ne te laisserai pas mourrir alors que putain.. qu'est-ce que j'ai envie de te tuer..

L'unique problème est mon attirance pour cette fille que je dois tuer qui complique la chose.

Elle ne réplique pas mais après un long blanc pesant elle parle enfin.

— Qu'est-ce qu'il met arriver ? Tout allait bien et d'un coup..

— Tu as été empoisonnée.

Je lis sur son visage de l'incompréhension.

— Mais, je n'ai pas pu être empoisonnée puisque j'ai juste ingéré un beagle juste avant de venir et personne, personne ne l'a touché. Et ? Et tu dis que ce n'est pas toi qui as essayer de me tuer ?

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 01 ⏰

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