Tp et V se connaissent depuis de nombreuses années. V est-ce qu'on appelle un papillon, il va d'une fille à l'autre sans jamais s'attacher. Ce qui n'est pas le cas de Tp qui voie V au-delà des apparences. Un jour, V confiera son traumatisme à Tp, et...
Tp : Tu peux me dire pourquoi tu as autant insisté pour qu'on mange à la maison ? Enfin... Chez toi.
V : À la maison ? Oui, oui à la maison. Et je voulais qu'on ne soit que tous les deux.
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V : Ça ne te dérange pas si je te laisse faire les ramens ? Il faut que j'aille aux toilettes.
Tp : Non, non du tout, prend ton temps, je vais faire la viande en même temps.
V : Je te remercie, tu es un amour !
V me regarde partir et au moment où je passe la porte de la cuisine, il court à l'étage. Il se précipite dans sa chambre et sort discrètement sa valise du fond de l'armoire.
V : Il ne faut pas que j'oublie ma brosse à dent.
Il charge le reste de ses affaires puis redescend prudemment. Il s'apprête à maître les valises dehors, mais panique en croyant que j'arrive et s'assied vite sur le canapé, laissant la valise dans l'entrée.
V : Hein ? Ce n'était pas elle... ? Bon, j'y vais !
Il se relève du canapé et court dans l'entrée. Quelques secondes après, j'arrive dans le salon et dépose les assiettes sur la table.
Tp : V, c'est prêt ! V tu m'entends ?
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Tp : Qu'est-ce qu'il fait ?
La porte d'entrée s'ouvre, me surprenant.
Tp :V ? Qu'est-ce que tu faisais dehors ?
V: Moi ? Oh... euh... bah j'ai cru que ça avait toqué, alors je suis sorti voir.
Tp : D'accord... Tu viens manger tant que c'est chaud ?
