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activités du samedi soir

ACTIVITÉS DU SAMEDI SOIR
carlos sainz x you

C'était un samedi soir relaxant. Carlos préparait le dîner et vous regardiez votre émission de télévision préférée. Vous avez demandé plusieurs fois à Carlos s'il voulait vous aider à préparer le repas, mais il a insisté pour le faire.

Rien ne vous excitait plus que lorsque Carlos cuisinait.

Une idée te vient à l'esprit. Tu tournes un peu ton corps pour que tout soit exposé dans la cuisine où il travaillait. Tu soulèves tes hanches pour faire descendre ton pantalon de survêtement jusqu'à tes chevilles, révélant ainsi les sous-vêtements en dentelle rouge que tu portais en dessous, tout en gardant les yeux fixés sur Carlos qui était toujours concentré sur la préparation du repas, mais tout ce que tu voulais qu'il mange pour le dîner, c'était toi.

Carlos a levé les yeux une seconde en haussant les sourcils et a interrompu ses mouvements. Vous avez alors lentement fait glisser votre culotte en dentelle et écarté les jambes, révélant ainsi tout ce qu'elles contenaient. Tu as vu ses yeux s'écarquiller et sa mâchoire se décrocher légèrement lorsque tu as lentement fait glisser tes doigts sur tes plis et que tu as commencé à les faire entrer et sortir.

Tu rejettes la tête en arrière, les yeux bien fermés, et tu gémis légèrement, recourbant tes doigts pour atteindre le point parfait.

Carlos a commencé à devenir plus dur en te voyant prendre ton pied sur tes propres doigts, il a atteint sa longueur durcie et a commencé à pomper, en essayant de suivre la vitesse de tes doigts.

Tu étais tellement prise dans le bonheur de tes doigts que tu n'as pas réalisé ce que Carlos faisait jusqu'à ce que tu l'entendes commencer à respirer bruyamment. La légèreté de son geste vous fait gémir encore plus.

"Carlos..." tu halètes, l'entendre se faire plaisir ne fait qu'accélérer le mouvement de tes doigts, l'orgasme monte en toi jusqu'à ce qu'il s'effondre et que tu t'écroules.

Encore sous le coup de l'orgasme, tu n'as pas entendu Carlos se diriger vers l'entraîneur jusqu'à ce que tu sentes sa main sur ta taille, avec du désespoir dans ses yeux, il n'a pas eu besoin de dire un seul mot, tu savais juste qu'il voulait être en toi.

Vous l'embrassez fougueusement tandis qu'il grimpe sur vous, baissant son pantalon et son caleçon jusqu'à ce que vous voyiez sa longueur durcie. Tu as l'eau à la bouche.

Il s'aligne sur ton ouverture et, sans hésitation, se jette dans ton corps. Sa bite te remplit, la sensation de brûlure est si bonne que tu enfonces tes ongles dans son dos, ce qui le fait sauter un peu plus loin en toi. Il te laisse le temps de t'habituer à sa longueur avant de commencer à se retirer lentement de toi, puis de s'enfoncer à nouveau dans ton corps.

Il commence à prendre un rythme, accélérant la cadence de ses poussées. Le bruit de la peau qui se heurte à la peau et vos gémissements remplissent le salon. Sa bite vous remplit si bien que vous sentez votre deuxième orgasme monter en vous. Il sait que tu es proche de l'orgasme parce qu'il sent que tu te resserres autour de lui et qu'il te pousse plus fort et plus vite.

Il expire, "en même temps... ne lâche pas tout de suite". Vous acquiescez et tenez encore un peu pour quelques poussées supplémentaires jusqu'à ce que vous le sentiez tressaillir à l'intérieur de vous. Vous lâchez tous les deux, l'orgasme vous faisant fondre alors qu'il arrête sa poussée et que sa semence chaude vous remplit.

Vous restez tous les deux dans cette position, reprenant votre souffle, lorsqu'il se retire de vous et se dirige vers la salle de bains pour prendre une serviette chaude et vous nettoyer.

"Tu as faim ? demande-t-il.

Vous ricanez, "tout à fait".