𝑨dar Torrento est un grand fanatique des motos. Il participe régulièrement à des courses de rues interdites, lui créant une forte réputation. Indépendant et libre, Adar est un beau jeune homme qui malgré son caractère fougueux attire la convoitise...
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- Adar, trésor, tu es sûr de ne pas vouloir rester quelque temps avec nous ? Tu pourras retourner chez toi dès que tu seras remis sur pied, mais en attendant tu peux reprendre tes forces avec nous. ProposaGizelle au volant, la mère des jumeaux en train de conduire tandis que les quatre amis étaient assis autant que passagers, après être sorti de l'hôpital et avoir signé la totalité des documents pour quitter le bâtiment quelques jours après le réveil d'Adar et les derniers examens sur son état. Ta moto est dans un sale état... Je peux toujours demandé à ce qu'ils te la ramènent et-
- Non, laissez. L'interrompit Adar. Je n'ai pas envie de revoir cette moto, honnêtement. Elle peut aller à la casse... Tant pis pour les pièces détachées. Je veux plus rienconserverde ce merdieret de ce qu'il s'est passé.
Adar repensa plutôt à la moto que Corpius lui avait offerte. La Kawasaki dont l'accident avait provoqué son retour. Et, à l'inverse de celle du premier accident qui l'avait transporté dans le corps d'un autre à son réveil, Adar regrettait réellement la bécane que Corpius lui avait offerte... Il espérait sincèrement que rien n'était arrivé de trop grave à cette dernière. Peut-être alors que Corpius à pu la récupérer si-
Adar humidifia ses lèvres.
Argh. Corpius... Corpius, Corpius, Corpius...
- Mec ? Ça va ? On dirait que tu as vu un fantôme.
Ce n'était pas loin de ce qu'il se demandait, en réalité.
Adar restait toujours aussi perplexe à ce qui était arrivé à Tom Lior, maintenant qu'il avait récupéré son corps d'origine. S'était-il réveillé, lui aussi, de son côté ? Et parmi toutes ces questions, le châtain ne parvenait toujours pas à noyer l'inquiétude qui le pourchassait en imaginant la réaction de Corpius face à son second accident. Il ne voulait même pas s'imaginer ses traits froids paniquer, ni penser à rien de ce qui avait pu se produire pour qu'il puisse revenir à lui en ayant endommageait sans aucun doute le corps de Tom.
- Prends tes affaires et viens chez nous. Ordonna Gizelle en tournant le volant sèchement, faisant sursauter les quatre garçons.
- Ouow...
Bien... Voilà qu'Adar n'avait plus vraiment le choix.
- OUAIS ! DA-DAR AVEC NOUS !
- Hey ! Et moi !? S'indigna Din.
- Toi on te voit déjà tous les jours.
- Toi, et ton vieux crâne là.
- Bon, oubliez. Je suis très bien solo finalement.