Politique sous tension

Gabriel & Adélya

Tout d'abord, désolé du retard, j'étais pas mal occupé avec les marchés de Noël, est mon état de santé, mais j'espère vous allez aimé !

Vous allez adoré Adélya dans le prochain chapitre, je vous en conjure !
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PS : Accroché vous, vous n'êtes pas prêt..
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Cela faisaient maintenant plus de vingt quatre heures que Gabriel était à l'hôpital, les médecins avait était très clair, il voulait garder Gabriel trois jours en observations pour voir si sont état aller s'amélioré, bien évidemment que Jordan avait essayer de négocier pour qu'il rentre chez lui, pour vous dire, il avait même certifié avoir un diplôme en médecine bac plus cinq. 

Ce à quoi l'infirmière lui avait gentiment répondu "Oh mais bien sur Monsieur Bardella, est moi je suis la reine d'Angleterre".

Bon-, Bardella avait soufflé du nez évidemment mais ca ma fait légèrement rire.. En même temps, qui ne rigolerai pas ? Voir le gigolo du Rassemblement National se battre négocia ment pour que le Premier Ministre du camps adverse rentre chez lui en certifiant qu'il à un diplôme en médecine bac plus cinq pour s'occuper de lui ? La réponse et clair mes cher compatriotes.

Personne, bien évidemment.

Si même Marine Le Pen avait ris a cette situation, il était évident qu'elle ne semblait pas vouloir arrêter sont protéger pour le moment. "Un sketch, moi je vous le dit" m'avait elle soufflait a l'oreille, ma parole ! Si on m'aurait dit que la mère le Pen se moquerai de la façon dont sont protéger aller se comporter face a l'état du Premier Ministre j'aurais ris à chaude larmes !

-Mais si je vous dit que j'ai un diplôme en médecine bac plus cinq !

-Monsieur Bardella, vous avez besoins de repos aller donc vous assoupir dans un coin de la salle..

"Et c'est repartie pour un tour.." avait soufflé la mère Le Pen qui est assise a mes cotés, je me disais il y a quelques minutes de ça que Jordan finirait par lâcher l'affaire est venir se reposé au bout d'un moment, mais non décidément, il avait décidé de casser les pied a tout le monde, y comprit à cette pauvre jeune femme est le personnel en lui même ! 

-Il se passe quoi ici !

Je me redressâmes d'un coup sur mon siège, et lenca un regard a Marine qui elle, devenait toute pâlotte, je ne compris pas tout de suite, est fronça les sourcils, est c'est en me retournant  que j'aperçue un jeune homme qui avait a peine la trentaine, les trait de sont visage tirait, les yeux d'un brun claire est une lueur de brun noisette nacre illuminé par le néon du couloir de l'hôpital, les cheveux châtain rasé sur les cotés, les cheveux négligemment tiré vers l'avant, une coupe casquette conclus t-il.

- Adrien, mon vielle amie !

Avait lancé Bardella, ce que je vis sur le visage de Marine n'indiquer rien de bon, mais que voulez-vous ? "Tu le connait ?" lui avait-je demander.

Mais elle ne m'avait répondu qu'un simple hochement de tête, en ajoutant simplement "Quel petit con, celui-ci !" ce qui m'avait fait légèrement sur sauter, je n'aimerai pas être ce type, pour mettre en colère Marine Le Pen il fallait y aller.. Oh mais atten- 

-Mais quel enculé, merde !

Marine tourna la tête vers moi, surprise non par mon langage, mais par la fait que je connaisse cette sale vermine.

-Tu le connais ?

J'admet qu'il m'avait fallut plusieurs minutes pour reconnaitre ce connard, mais quand même comment ne pas le reconnaitre ?