Mounira: <Mère célibataire, aurais-je droit à l'amour?>

une journée normale

Moi: c'est aussi de ma faute j'aurais jamais dû monté dans leur voiture et parler à ces mecs, car c'est ce que mes parents mon apprise mais j'ai... Laisse tomber.

Firdaws: oui t'a raison changeons de sujet.

....

Nous sommes aller au glacier, pour prendre une glace.

Firdaws : demain tu part quelques part?

Moi: non je reste chez moi. Mais je crois que la semaine prochaine je commencerai à chercher du travail.

Firdaws : oui c'est vrai, le bébé doit avoir une meilleur vie. Et moi en tant que sa tante je n'y manquerais pas!

Moi: merci.

Firdaws : demain c'est férié, il y'a tout le monde à la maison, viens comme ça on se fait un ciné maison.

Moi: Ah non je veux pas déranger.

Firdaws : t'es mon amie maintenant donc non tu dérange pas.

....

Dans la peau de firdaws.

19h07

Appel

Habib le bg.

Moi: al..

Habib: t'es bête ou quoi? Tu sors sans me prévenir. Et t'es toujours pas rentrer wesh.

Moi: désolée mon gros bébé, j'suis avec mounira, on s'ennuyait donc nous avons décidé de se faire une promenade. Désolé Habibi.

Habib : *souffle de soulagement* j'ai eu peur, j'ai essayé de t'appeler mais tu décrochait pas. Et rentrer, sinon Nabil va attrapé froid wesh.

Moi: oui oui à tout.

Fin d'appel.

Moi: Habib nous demande de rentrer car il se fait tard, faut pas que Nabil attrape froid.

Mounira : oui rentrons. Nabil commence à fermer les yeux.

Moi: ta envoyé sa ventoline ?? Fait vite.

Elle stressais , ses mains tremblait.

Elle sors sa ventoline de son sac et me la passe, je lui fait deux pompes dans la bouche avant de lui remettre.

Moi : stress pas.

Mounira: mais... Il n'arrivais pas à respirer.. Je..tous t'es de ma faute... Je

Moi: rien n'est de ta faute ma puce.

Mounira : tu as l'air d'être habitué ?

Moi: oui mon cousin est asthmatique.

Nous prenons le chemin du retour.

Mounira : t'as un cousin ?

Moi: oui, le fils du frère jumeaux de mon défunt père.

Mounira : ton père était jumeaux ?

Moi: oui. Quand il a été mise au courant de la mort de mon père il a piquer une crise et s'en ai t'aller aussi.

Mounira : mon Dieu.

Moi: mon cousin est aussi un portugais-marocain comme le père de Nabil.

Mounira : wow., quel coïncidence.

Nous arrive devant le quartier résidentiel et nous voyons habibi.

Habib : wesh depuis quelques minutes je vous attend.