Camren story

Chapitre 13

10:00 

Je me réveilla, tapota le côté droit du lit mais il n'y avait personne, je me rappela que Camila m'avait laissé hier soir après sa crise de jalousie, je soupira un coup et me leva. Je descendit les escaliers doucement, quand mon portable sonna, la photo de Dinah s'afficha, je m'empressa de décrocher : 

- «Allô ?»

- «Oui Lauren, dépêche toi de venir !»

- «Il se passe quoi ?»

- «Tu verras ça après, rejoins nous au centre commercial et vite !»

Je n'eus pas le temps de répondre qu'elle avait déjà raccroché, j'alla m'habiller à vitesse grand v, prit une pomme et je prit la route. J'étais très stressé, je roulais assez vite mais je faisais attention quand même. Après 10 minutes de route j'étais enfin arrivé, je les vit, Camila était au sol, la lèvre en sang, à moitié sonné. Je courra vers elle, affolé, je m'accroupis à côté d'elle, enleva les gouttes de sang qui coulait avec mon pouce. Elle était consciente mais juste un peu sonné. Je la prit dans mes bras et l'emmena jusque dans la voiture, je l'allongea sur la banquette arrière, Dinah nous rejoint et on prit la route. On arriva enfin chez Camila, je la reprit dans mes bras et l'emmena dans sa chambre pour l'allonger sur son lit, je prit du désinfectant et lui soigna sa blessure, elle me regardait sans rien dire. Je retourna dans la salle de bain afin d'y reposer les affaires, et lui demanda si elle voulait quelque chose à boire, elle acquiesça avec un mouvement de tête et un léger sourire, je descendu les escaliers et remonta quelques minutes après avec un verre d'eau à la main. Je m'assis à côté de Camila, qui était elle aussi assise à présent et lui tendis le verre d'eau. Une fois le verre finit je lui prit la main et caressa le dos de celle ci avec mon pouce. 

- «Il s'est passé quoi ?» lui demandait-je inquiète. 

- «C'est Austin...tu sais le mec du self...»

- «Quoi ? Mais pourquoi ? Il t'a fait quoi ?»

- «Il m'a prit par les cheveux, et m'a cogné la tête contre une vitrine d'un des magasins...je ne pouvait rien faire, j'étais en infériorité, et Dinah n'a pas eu le temps d'interagir, ça a été beaucoup trop vite...» quelques larmes commençaient à s'échapper de ses yeux, mais je les retins avec mon pouce. 

- «J'irais lui régler quelques comptes à celui là.»

Je l'embrassa tendrement, je l'allongea et je me mis à califourchon sur elle, sans pour cela briser le baiser. Je commençais à mordre la lèvre de Camila quand elle poussa un petit cri de douleur. 

- «J'ai mal Lauren...» me dit-elle. 

- «T'inquiète bébé, je vais te soulager.» lui répondit-je un avec un petit sourire pervers sur les lèvres. 

Elle me répondit avec ce même sourire. Je la relava pour enlevé son t-shirt, et ma main frôla son épaule, un frisson lui parcouru son corps, je pouvais sentir que ça lui plaisait. Je pouvais donc continuer. Je la plaqua avec assez de douceur pour ne pas lui faire mal contre le mur, je lui embrassa le cou tout en la rapprochant de moi en plaquant mes mains sur ses hanches. Elle enleva mon t-shirt à son tour puis remonta ma colonne vertébrale en détachant mon soutien-gorge pour terminer dans mes cheveux. Je poussa un petit gloussement, ce qui la fit sourire. Je descendis le long de son corps et lui faisant quelques suçons par-ci par là, je pressa ses seins après avoir retiré son haut de sous-vêtement. Arrivé à sa son jean je lui embrassa le nombril puis lentement lui baissa son pantalon pour qu'il finisse sa course au sol. Je passa ma main sur sa culotte tout en fixant Camila des yeux , elle gémis mon nom,ce qui me rendis folle. Je remonta pour l'embrasser et passa ma main à l'intérieur de sa culotte pour frotter son clitoris qui commencer à être bien mouillé.Elle me donna de léger coups de bassin pour me faire comprendre que je pouvais aller plus loin, j'entra alors deux doigts en elle et commença à faire quelques aller- retour. 

- « Va plus vite chérie, tu veux me tuée !» Me dit-elle Camila et me griffant le dos.

Je ne me mis pas longtemps avant d'accéléré le rythme de mes vas et viens et à la faire jouir de plaisir. On s'embrassa longuement puis prirent une bonne douche pour nous glissées au fond des draps.