Mes fanfictions

Phoenix Wright

_/!\_ HARD! Je suis sur le point de violer une saga de jeux vidéos qui me tient tellement à cœur que j'en ai faillis pleurer :,{ Mon dieu qu'ai je fait?! °.O Je m'en veux un peu (beaucoup) de faire subir à Phoenix et Hunter cette histoire yaoi hard... J'espère qu'ils ne m'en voudront pas trop mais je ne me voile pas la face. Si un procès est ouvert pour cette histoire je plaiderai coupable, Phoenix tu pourra refuser de me défendre et Hunter je vois déjà d'ici ta colère. Vous pourrez tous les deux crier "objection!" mais je reconnaîtrai ma culpabilité, bonne lecture les enfants :-* <3

Ca faisait même pas une heure que Phoenix était là que j'avais déjà envie de lui sauter dessus. Depuis plusieurs semaines je me sentais excité juste en le voyant, je rêvai de coucher avec lui. Mais je ne pouvais que m'imaginer lui faire des choses si jouissives que je parvenais difficilement à me contrôler au cabinet d'avocat. Je lui servis un verre de vin et pris un toast; nous nous étions rapproché et nous étions en train de boire pour nous détendre de sa dernière affaire particulièrement éprouvante.

Je sentis mes joues devenir rouges, je ne savais pas si il le faisait de manière consciente mais ça m'excitait: il montait et descendait de manière significative ses doigts sur la longueur du pied de son verre. Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer autre chose entre ses doigts, je le voyais en train de me caresser ce qui commençait à réagir entre mes jambes.

Je lui saisis sa cravate et le souleva un peu de sa chaise, je posai mon genoux entre ses jambes et l'appuyai contre sa virilité pendant que fermais mes lèvres sur les siennes. Je le tenais si fermement qu'il ne put même pas se débattre. Je passai alors ma langue sur ses lèvres et avançai un peu mon genoux contre lui. Il saisit mon bras avec ses deux mains et tenta de me faire lâcher sa cravate, je me relevai et tira un peu plus dessus de sorte à se qu'il se mette sur la pointe des pieds. Je ressentais l'envie soudaine de le prendre. Je le tirai jusque sur le canapé et me jetai sur lui lorsqu'il fut plus ou moins assit. J'écrasai ses mains sous mes jambes et lui mordit la lèvre tandis que mes mains caressai sauvagement son torse. Il cria de surprise avant de laisser échapper des plaintes de plaisir et de douleur. Il essaya de libérer ses mains mais ma prise était plus forte, il tourna la tête et j'en profitai pour lui faire un suçon vif dans le cou pour qu'il fasse encore ce bruit qui m'excitait. Je descendis mes mains vers sa ceinture, il gigotait tellement qu'il réussit à libérer une main qu'il plaça devant se qui m'intéressait. Il respirait bruyamment et avait les pommettes bien rouges. En représailles je lui mordis le téton à travers la chemise et il poussa encore un gémissement, je commençai à lui relever sa chemise mais il bougeait de trop et il finit par réussir à se retourner. Je lui enfonçai la tête dans les coussins et effleurai ses fesses.

- Hun...Hunter... at-attends!

Je recommençai à lui soulever sa chemise, il se tourna une nouvelle fois et me poussa violemment. Je tombai sur le sol et me pris la table basse dans les côtes. Je grimaçai de douleur et le regardai en fronçant les sourcils de colère. Il se releva et haleta, l'état dans lequel je l'avais mis m'attirait encore plus vers lui. La cravate à moitié dénoué, la chemise froissé et sortis du pantalon remonté au dessus du nombril, le visage en feu et le corps tremblant. Je passai ma main sur mes côtes endolories et grognai, il m'avait vraiment fait mal ce crétin! Je m'appuyai sur la table et commençai à me relever, je faillis retomber sur le sol avec ce qu'il fit. Il déboutonna sa chemise et la fit glisser sur le canapé, il retira sa cravate qu'il enroula autour de mon cou avant de se frotter contre moi. Je le poussai une nouvelle fois sur le canapé, il ouvrit les jambes une fois installé. Qu'est ce que je devais comprendre? Est ce qu'il voulait vraiment que je lui fasse ça? De toute façon c'était trop tard, j'allais le prendre peu importe s'il refusait au dernier moment. J'étais à présent trop excité pour tout arrêter. Je me mis à califourchon sur son genoux et jouai avec sa cravate. Il se caressa le torse du bout de ses doigts, je ne savais pas si c'était pour me provoquer ou me stimuler, les deux possibilité firent leur effets dans ma tête. Il glissa ses doigts entre ses jambes et commença ensuite à remonter le long de ma cuisse. Tout mon corps fut parcourut par des frissons de plaisirs et de désir. Il passa sa main sous mon gilet noir et voulu remonter plus haut. Je lui saisis le poignet et le plaquai contre le mur derrière, je passai ma langue sur ses lèvres ce qui le fit pencher la tête. Nous basculâmes et nous retrouvâmes allongés, je commençai à défaire les boutons de mon veston et de ma chemise et il voulut m'aider. Je devais avouer qu'à une main s'était difficile pour moi mais je trouvais ça plus sensuel. Je repoussai son aide et lui donnais des coups de bassins assez prononcés. Il se tortillait et tentait de me ralentir en plaçant sa main sur ma partie à moitié dure et en la repoussant. Sa défense ne servit qu'à m'inciter à continuer encore car je voulais qu'il me la touche vraiment et j'adorais ce contact. Quand je réussis à tout défaire je lui lâchai le poignet juste le temps de retirer mes vêtements. Il se redressa immédiatement pour s'empresser de mordiller mon téton et enlever ma chemise et mon veston. Je le laissai faire et il réussit même à me faire gémir. Il releva la tête et passa sensuellement sa langue sur ses lèvres souriante de satisfaction. J'attrapai son poignet et y nouai fermement sa cravate, son sourire satisfait disparut à l'inverse de mon sourire vicieux. C'était moi qui dominait et non le contraire, c'est lui qui allait prendre. Je tordis ses bras vers l'arrière et lui attachai son second poignet dans son dos et le collai contre les coussins. Il commença à protester mais je le fis taire en retirant sa ceinture et son pantalon, je me penchai sur lui et cherchai ses zones sensibles. Je savais que j'en avais trouvé une lorsqu'il soulevait un peu son torse et que sa tête se tournait. Il gémissait avec une voix grave qui me donnait des frissons exquis. Le voir aussi impuissant me donnait des idées si perverses que je devais me retenir de le prendre sauvagement sur le canapé. Je posai mes lèvres sur son téton que je pinçai, en même temps je lui fis un suçon et taquinai son bout de téton avec ma langue. Son bassin se colla contre moi pour nous pousser vers le haut et il gémissait à n'en plus finir. Lorsqu'il fut bien marqué je remontai avec ma langue jusqu'à son cou que je mordillai et tirai pendant que je frottai ma cuisse contre son membre dressé. Ses jambes s'enroulèrent autour de mon bassin et me serrèrent fortement. Je croisai son regard perdu dans le désir.