Pour l'amour de Granger (dramione)

9. Blaise et Ginny réunis pour un même avis.

PDV Drago.

Elle m'a encore défoncé le nez putain, mais combien de fois je vais me laisser frapper, j'aurais dû l'attaquer magiquement, elle n'avait pas sa baguette.

J'avais le nez qui pisser le sang. Je recroise Blaise qui descendait manger avec Pansy qui n'avait rien eu après l'attaque. Blaise lui parler encore, c'était à ne plus rien comprendre.

En me voyant Pansy prit une autre direction, c'était une bonne chose de me fuir, je n'étais pas d'humeur ou du moins plus depuis 10 minutes.

- Drago dit moi que ce n'est pas Hermione qui t'a fait sortir le sang qui recouvre le sol...

- Ferme là et viens avec moi.

Je l'entraînais jusqu'aux toilettes, pour me soigner.

- Merde, mais mec, tu t'es encore bien fait défoncé je te connaissais plus fort que ça.

- Ce n'est pas moi et je frappe pas en retour les faibles.

- Mais c'est qui ? me demanda Blaise surprit par mes propos.

- La sang de bour..

- Okay j'ai compris, mais arrête de l'appeler comme ça.

- J'ai le nez pété, Blaise ! Par Merlin elle le mérite.

- Elle ne mérite rien face à ta connerie, abrutie va.dit en rigolant mon meilleur ami qui atténuait la gravité.

- Blaise, tu ne dois pas te rendre compte de ce que tu as dit !

- Si j'ai très bien conscience de ma parole et je te le redis, tu es un abruti fini.

- Okay heu, c'est une blague parce que ce n'est pas drôle, tu viens en l'espace de 30 secondes de me traiter deux fois d'abrutie. dis-je en m'écartant du miroir.

- Nan ce n'est pas une blague. Je sais que t'a envie d'elle...

- Arrête de dire des conneries là c'est toi l'abrutie et ...

- Ferme ! la putain toi et ta fierté démesurés, vous allez bien m'écouter.  Tu vas arrêter de la traiter ainsi, c'est une personne normale avec des sentiments et d'émotions comme toi-même. Si tu t'en fous, même si tu la hais, tu la traites normalement, tu peux te cacher la face autant de temps que tu le souhaite, mais moi, tu ne la fais pas. Je sais qu'il y a quelque chose, je ne sais pas quoi précisément, mais je le saurais et si c'est ce à quoi je pense planque toi vas-t'en loin parce que là, ça ne sera pas le nez que je te péter. Tu n'avises pas de la laisser où de lui faire du mal, je te surveille.

Je n'eus même pas le temps de lancer une réplique cinglante qu'il était déjà parti. Tout en réfléchissant à son beau discours, je m'appliquais à me remettre le nez en place. Une fois terminé, je décidais de sécher les cours de la journée étant donné la mauvaise matinée qui s'était déroulée.

Je marchais sans but précis, je ne croisais personne et puis même si j'étais tombé sur un élève, je ne l'aurais même pas regardé sous peine de se prendre un regard des plus noir.

je me posai finalement au pied d'un grand chêne, mais j'entendis des pas qui se rapprocher de lui. je ne daignai même pas tourner la tête afin de savoir qui était l'inconnu.

- Je peux te tenir compagnie ?

- Que veux-tu Parkinson...

- J'ai un prénom Drago comme tout le monde.

- Tu ne mérites d'avoir ni prénom, ni nom, tu as déjà de la chance d'être en vie n'en demande pas trop.

- Tu as parlé à Granger. me dit-elle