Tu es ma faiblesse

5.

Faites attention au point de vue mes chers lecteurs, pour l'instant c'est du point de vue de notre chère Caroline.

Points de vue = PDV.

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Ces yeux bleus me transpercèrent, il m'aida a me relever.

-Sa va, toi ?

-Oui oui.

Je réalisa que je venais de tomber mon téléphone...

-Non, merde !

-Quoi, qui a-t il ? il me paraissait inquiet.

-Ahah, rien je viens juste de me rendre compte que j'avais fais tomber mon portable, mon frère était au bout du fil.

-Je te rachèterai un portable.

-Oh, non, mon frère et comment dire aisé, donc il m'en donnera un autre.

-Et tu t'appelles comment, ma douce ?

-Oh, non ne me dis pas que tu m'as appelé ma douce.

J'étais plier.

-Je suis content que sa te fasse autant rire mais sa ne répond a ma question.me dit-il un peu froidement.

-Caroline, Caroline Forbes.

-Bien, moi Niklaus Mikaelson, et pour toi ma douce, sa sera Klaus.

Il avait insisté sur le "ma douce", mais j'étais hypnotisé par son regard, puis je repris mes esprits.

-Tu as bien dis Mikaelson ?

-Oui, pour-

-Klaus, peux-tu venir s'il te plait, j'ai besoin de te parler, c'est urgent mon frère.

Un jeune homme me regarda et me fit un signe de la tète pour me dire bonjour, je n'avais pas remarqué son arrivé.

-Je finis de parler, mon frère ça pourra attendre.

Son frère se tut et nous regarda, anxieux. Klaus me voyant regarder son frère avec insistance.

-Voici mon frère, Elidjah, mon petit frère dans toutes sa splendeur, il est très noble et protecteur mais aussi prétentieux.

J'entendis rire son frère.

-Ma douce, tu m'as dis que tu t'appelais Forbes, n'est-ce pas ?

-Oui, pourquoi ?

-Je connais bien ta famille, elle est la famille fondatrice de Mystic Falls.

-Exact, mais com-

-Klaus !

-Elidjah j'ai dis que sa pouvait attendre !

En disant cette phrase ces yeux était plein de méchanceté.

-Mon frère c'est a propos de notre père.

Klaus regarda son frère avec tellement d'inquiétude, on aurait dit qu'il allait mourir en sachant que son père était là.

-J'arrive.

Il se retourna vers moi.

-Caroline je suis navré, je dois y aller mais tiens.

Il men tendit une fleur, une rose, bleu clair, comme ces yeux.

-Comme ça tu ne m'oublieras pas, ma douce.

-Je t'oublierais jamais.

Il m'embrassa...

Sur la joue.

Je resta figer et le temps que je me retourne, il s'était déjà envoler. Il commençait a pleuvoir des cordes ! C'est pas vrai ! J'enleva mes escarpins et courra vers la voiture. Cette rose sentit tellement bon. Je roulait quand je vis l'homme dans le bar, Mikael ! Il arriva vers moi a une vitesse fulgurante. Je n'avais pas peur, il me regarda droit dans les yeux.

-Tu n'as pas peur sage petite, je t'ai vus parler a mon batard de fils, Klaus, mais, regarde moi, tu n'as jamais rencontré Klaus, tu l'as juste vus une seconde car vous vous êtes croisés, quand toi, tu sortais , et lui quand il rentrait dans le Rousseau.

Et il disparut et comme si de rien était je continua mon chemin.

PDV Klaus :

Cette fille, Caroline, j'ai rêvé d'elle, sauf que dans mon rêve on s'embrassait, finalement j'aurais préférée, c'est la première depuis Vivianne que je parlais aussi comment dire "gentiment", c'est sa non, finalement cet adjectif ne fait pas parti du tout de mon vocabulaire, c'est définitif !

-Klaus, tu m'écoute.

-Rebekah, ma chère petite sœur chérie, cesse de parler un peu.

-Klaus, si tu aurais un peu écouté notre sœur, elle t'aurais dis qu'elle avait des nouvelles de notre cher père qui veut nous tuer. Et après tu dis a cette fille que c'est moi qui est prétentieux ?

-Quelle fille, Klaus ?

-La fille que je viens juste d'hypnotisée pour qu'elle oubli ton chère frère, Rebekah. Caroline Forbes, elle appartient a une des familles fondatrices, et je lui ai dit d'oublier votre batard de frère.

Je sentais la colère arrivait, non pas Caroline, pas MA Caroline, ces cheveux blonds et ces yeux perçants me regardant me faisant frissonner comme personne a par elle ne l'avait jamais fais, sa faisait plus de 1 000 ans que je l'attendais et il lui fait m'oublier. NON !

-Klaus, non, il n'en vaut pas le coup, partons, viens Rebekah.

-Allez y partez avec ce batard mes enfants, mais sa fin est proche ne l'oubliait pas, quand ce batard mourra tous ceux qui se sont dressé sur mon chemin mourront aussi.

Non, père, c'est moi qui vous tuerait en premier, je vous le promet.

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Bonne rentrée pour ceux qui en reprit aujourd'hui et aussi pour ceux qui vont rentrer demain, moi je rentre demain.

J'ai des choses vous dire, par rapport a cette rose, ahah un peu de patience, cette fleur n'est pas comme les autres.

J'espère que ce chapitre vous a plu.

Bisous.

Océane.