Hospital 911

Prologue

*Bip Bip Bip Bip Bip Bip Bip Bip*

La sonnerie de mon réveil me tirait de mon sommeil, les rayons du soleil illuminaient déjà bien la pièce. Il doit être environ six heure du matin et aujourd'hui commence mon premier jours d'internat au St Georges Hospital, un grand hôpital universitaire où ma grand mère y à fait toute sa carrière, il était donc très important pour elle de me voir rentrer dans ce prestigieux hôpital.

Je vous avoue que ça me fait un peux peur à moi de descendre d'un chirurgien aussi connue que ma grand mère qui est personne d'autre que LA Anne-Christine Hale, chirurgien général récompenser six fois du prix Harper Avery. Et si je ne suis pas à la hauteur et que je me plante totalement, que penserons les gens de moi, et ma grand mère, que dira-t-elle ? Vous pouvez pas imaginez à qu'elle point avec une personne comme elle dans la famille, la moindre erreur peut être horrible à porter. Enfin bon assez parler je vais être en retard et ce serai vraiment mal partie pour moi.

Je m'habilla du premier truc qui me passait sous la main, de toute façon j'aillais me changer arriver à l'hôpital alors pourquoi faire sophistiquer ? Et je me mis un peu de mascara sur les cils histoire de quand même faire bonne impression pour mon premier jours.

A peine le flacon de mon mascara refermé j'entendis le garçon de chambre hurler "Service de chambre, votre petit déjeuner est là ouvrez s'il vous plais." Je m'empressa d'aller lui ouvrir, pris mon plateau tel une morfale, le remercia et lui ferma la porte au nez sans qu'il est le temps de prononcer un seul mot. Le petit déjeuner, ou le repas que j'attend le plus dans la journée.

J'étais entrain de déguster mon pain avec de la confiture de fraise, quand la porte de ma chambre s'ouvrit d'un coup et me fis lâcher ma tartine par surprise. Qui ose donc me déranger pendant ce moment tant attendu depuis la fin du petit déjeuner de la veille ? Ma grand mère, j'aurais du m'en douter, elle ne pouvais pas s'empêcher de venir voir "son amour de futur chirurgien prodige" comme elle m'appelle depuis mes six ans environs. Enfin bon je serait elle je serais pas si confiante parce que quand même elle est moi on est des vrais contraire. Tout nous oppose, sauf bien sur la chirurgie et notre lien du sang mais sinon on est complètement différente.

Comme d'habitude elle me fis une remarque sur ma tenu et sur le fait que je ne fait pas assez attention à moi et me répète une énième fois combien elle est fière de moi et combien elle espère que je lui rendrais un magnifique hommage en réussissant ma carrière de chirurgien au SGH aussi bien qu'elle. Elle m'embrassa et me serra un peu trop fort à mon goût dans ses bras et s'en alla.

Je me laissa tomber dans mon fauteuil, respira un bon coup, et fini mon café tout en regardant la télévision.

Je regarda l'heure sur l'horloge dans le coin de la pièce, elle indiquait sept heure.

Je suis suis en retard.

Comme je le pensais, je suis vraiment mal partie, ça crains.