Perrie ?
Qu'est-ce qu'elle faisait là ?
"C'est toi qui a manigancé ça ?" Parla Eleanor avant que je ne puisse le faire. Sa voix tremblait et était mélangée à une émotion cru, et je me tournai pour la voir retirer ses cheveux et dévoiler ses yeux brun froids et sans vie, qui étaient pourtant pétillants habituellement. Et elle lança un regard à glacer le sang à Perrie. "Tu nous as trahi ! Tu as dit où Gemma vivait, espèce de salope !"
Je n'avais jamais vu Eleanor si énervée auparavant. Et c'était en fait assez effrayant, surtout quand elle se jeta en avant, les bras tendus, mettant tout le poids de son corps contre la cage dans une vaine tentative d'atteindre Perrie. Elle criait "Tu nous as trahi" encore et encore, son corps était atteint d'une sorte de dépression nerveuse, je ne pouvais pas lui en vouloir.
"Je ne vous ai pas trahi ! Eh bien, je ne le voulais pas !" Perrie sanglotait maintenant, s'éloignant de la cage pour maintenir une distance entre nous. "I-Il m'a obligé. Dès que je fus libre, il m'a kidnappée. Il... Il m'a torturé, El. Je n'avais pas d'autre choix que de lui dire où était la maison de Gemma."
Je ne pouvais pas ressentir de la colère envers Perrie.
Parce que j'avais fait la même chose, excepté que c'était pour Harry.
Etait-ce ce qu'il avait ressenti ?
"Ils vont mourir !" Eleanor cria fortement, d'une façon inhumaine. "L-Louis va mourir à cause de toi !" Elle se brisa, son corps s'écroula et elle se laissa pleurer. Elle tomba dans le van, ramenant ses genoux à sa poitrine en ayant quelques spasmes incontrôlables.
Ils vont mourir.
Non.
"Perrie, tu dois faire quelque chose." Dis-je de manière frénétique, sentant les larmes monter. Oh, j'aurais tellement voulu m'écrouler en position fœtale et rejoindre Eleanor, mais je ne le pouvais pas. Je ne pouvais pas abandonner maintenant.
"Je ne peux rien faire." Dit rapidement Perrie, hystériquement, continuant à sangloter. "Si... si je fais quoi que ce soit, il va me faire du mal. Tu n'as aucune idée de ce que j'ai dû traverser."
Et c'est à ce moment-là que j'ai en fait vu son visage. Je pouvais voir la décoloration de sa peau sur la sa joue pâle, entourant son œil de noir. Son visage était meurtri. Je n'avais jamais vu un visage aussi meurtri avant. Je me sentis un peu nauséeuse en voyant ça. Je ne voulais même pas penser à quoi le reste de son corps pouvait ressembler.
"Et il nous retrouvera." Pleura Perrie. "Si... si je prends ce van, il le saura. Il le saure, Claire. Il sait toujours tout."
Maintenant Perrie sanglotait bruyamment, rejoignant Eleanor, et je me sentis obligée de couvrir mes yeux. Je devais me concentrer, mais je ne savais pas comment j'allais être capable de faire ça avec elles qui pleuraient de cette façon ? Cependant, mes mains étaient toujours liées derrière mon dos, et j'étais incapable de bouger mes bras. Je regardais de nouveau par la vitre, me focalisant sur la porte d'entrée.
Est-ce qu'Harry était mort ?
Les larmes commençaient déjà à brouiller ma vue, non, Harry ne pouvait pas mourir. Il ne le pouvait pas.
S'il l'était...
Je l'avais déjà imaginé mort une fois, et je ne voulais pas repenser à ça.
"Harry !" Je criais fortement, ma voix surplombant celles d'Eleanor et Perrie. La mélancolie était lacée à ma voix, c'était ma dernière chance de faire quoi que ce soit. Je me redressais sur mes genoux, plus de larmes brûlant mes yeux, et criais encore, "HARRY !"
"Arrête," me dit Perrie, "i-il ne peut pas t'entendre."
Mais je l'ignorais, et je continuais à crier. Je fixais ardemment la fenêtre, espérant voir la posture ferme et grande d'Harry courir vers nous et nous sauver.
Mais il n'était pas là, et je ne pouvais pas savoir ce qu'il se passait. Et c'était une véritable torture.
Mon esprit se mit à imaginer Harry se faire couper la tête par ce petit et fin couteau, de voir ses profonds yeux émeraude rouler vers l'arrière de sa tête et se vider de leur vie. Son corps tomber et frapper le sol, son cœur ne battant désormais plus dans sa poitrine.
Harry était plein de vie. Passant par-dessus son passé, passant par-dessus les choses qu'il avait faites, mais il restait un humain.
Et je l'aimais.
Je m'en foutais de ce qu'il pourrait m'arriver par la suite, tout ce à quoi je pouvais penser était les yeux verts d'Harry complètement dépourvu de leur vie, ne battant plus des paupières, ne regardant plus rien.
Non. S'il vous plait...
Ma respiration se saccada lorsque je vis soudainement un van blanc se garer devant la maison, et mes yeux manquèrent de sortir de leurs orbites lorsque je vis les cheveux roux d'un homme. Ed. Ed Sheeran.
Il faisait partie de l'organisation !
Un fou et désespéré sourire rida mes joues, et je me fis muette lorsque je vis Ed et d'autres personnes courir vers la maison, tenant dans leurs mains. Arrivaient-ils trop tard ? Est-ce qu'Harry et les autres garçons étaient morts, ou allaient-ils être sauvés ?
Je sentis mon cœur arrêter de battre, comme si mon corps entier se mit en mode pause lorsque j'attendis une sorte de signal pour savoir ce qu'il se passait. Tout devint soudainement silencieux, le monde entier se tut pour un moment, attendant hystériquement que la réponse soit finalement dévoilée.
Et j'étais si concentrée sur la porte d'entrée que je ne vis pas les hommes courir vers le van, ils étaient sortis par la porte de derrière.
La portière s'ouvrit brusquement, et la voix de Nathan cria, "Partons vite de ce merdier, maintenant !"
Tous les sons étaient revenus.
Je pouvais entendre les coups de feu dans la maison, et mon corps vacilla contre la fenêtre quand le van démarra furtivement dans un crissement de pneu. Je vis, juste au moment où nous commençâmes à nous éloigner, le corps d'Harry sortir rapidement de la maison. Il tenait une arme, la pointant dans notre direction, et son visage entier fut crispé dans l'horreur quand il vit que le van était trop loin de sa portée.
Il était arrivé trop tard, juste de quelques secondes.
Mais il était vivant, il avait réussi. Et pour moi, c'était tous ce qui comptait.
Comme je l'avais dit, je n'en avais rien à faire de ce qui allait m'arriver. C'était juste un énorme soulagement de savoir qu'Harry était toujours en vie, qu'il allait bien.
"Ils sont vivants," confiai-je à Eleanor doucement, m'éloignant de la fenêtre lorsque nous nous engagions loin de la ville. La réalité m'explosait à la gueule une nouvelle fois, et je réalisais que j'étais toujours dans ce van avec Nathan et ses coéquipiers. Perrie était silencieuse devant nous, nous tournant le dos, regardant droit devant elle, et Nathan était assis sur le siège passager, regardant continuellement par-dessus son épaule.
"Je pense que nous les avons perdu," Marmonna Nathan après quelques minutes de route turbulente. Je ne pris même pas le peine de m'en assurer en regardant par la vitre, j'étais allongée à côté d'Eleanor, qui avait elle aussi arrêté de pleurer lorsque je lui avais dit que les garçons étaient vivants.
"Bien, " murmura-t-elle avec un sourire de soulagement. "Très bien."
Elle était pareille que moi. Elle s'en foutait de ce qui allait lui arriver, tant que Louis allait bien.
Parce que c'était ça, le vrai amour, c'était se rendre aveugle de notre petite personne pour s'inquiéter uniquement de la personne que l'on aime. Tu t'en fous carrément de toi-même, ton monde entier tourne autour d'une seule et unique personne. Et tu stresses plus sur ce qui pourrait lui arriver que ce qu'il pourrait t'arriver à toi-même. Et soudainement, cette personne devient ton monde.
C'est effrayant, mais c'est la vérité.
J'étais tellement englobée dans mes pensées pour je ne réalisai pas que le van s'était arrêté, et que bientôt, j'étais traînée en dehors de ce dernier par un des hommes qui m'attrapa par les cheveux pour me tirer. Celui qui m'arrachait les cheveux avait une peau foncée, des yeux froids et ils me rappelèrent ceux de Zayn.
Zayn.
Alors il n'était pas le traître, après tout. C'était regrettable que je n'aie pas pu lui pardonner.
Je pouvais voir que nous étions dans un centre commercial pour une raison inconnue, je pouvais voir la bijouterie que j'appréciais. Et je me stoppais lorsque je vis le vieil homme assis à l'extérieur sur une chaise, ses yeux nous regardèrent, visiblement confus. Nos yeux se rencontrèrent pendant un moment, et je lui dis silencieusement que c'était vraiment une mauvaise situation, qu'il devait appeler la police, mais l'homme qui me tenait me poussa durement, m'envoyant en un coup à plusieurs mètres en avant, me faisant percuter Eleanor par l'arrière.
"Continue de marcher," m'ordonna-t-il.
Nous marchâmes dans un espèce de magasin, mais je ne pouvais pas me souvenir de son nom, mais les murs derrière nous pouvaient bouger, comme une sorte de cachette secrète ou un truc dans le genre. Je suivais de près Eleanor, entendant Nathan parler à propos de je ne sais quoi à propos de nous. La porte derrière nous se ferma dans un bruit insupportable, me faisant sursauter un peu, arrachant un ricanement au gars qui me suivait.
Bâtard.
"Bienvenues dans mon humble demeure, mesdemoiselles," dit gaiement Nathan lorsque le couloir s'alluma pour dévoiler une pièce faiblement éclairée. Il y avait deux portes en face de nous, le sol était en ciment, comme les murs. Sincèrement, la pièce semblait provenir d'un film d'horreur, même si c'était loin d'être aussi effrayant que l'entrepôt délabré où j'avais rencontré Harry contre ma volonté pour la première fois.
Aurais-tu, par hasard, peur du noir ?
"Qu'est-ce que tu comptes nous faire ?" Parlai-je, ma voix et ma gorge me brûlant à cause de mes cris effrénés quelques instants plus tôt. Eleanor regardait en silence le sol, et je pouvais voir que Perrie était assise sur l'une des chaises. Le connard de derrière coupa nos liens, et je bougeais mes poignets lorsqu'ils furent de nouveau libres.
Perrie ne nous regardait même pas.
"Tu veux vraiment savoir ?" Demanda Nathan avec un sourire lourd de sens, s'approchant de moi avec les mains derrière le dos. "Eh bien, honnêtement, je peux imaginer qu'Harry était plutôt rude avec toi, pas vrai ?"
"Ça ne te regarde en aucun cas." Ma voix bizarrement calme, malgré la terreur qui circulait dans mes veines.
Nathan ricana un peu, "Les rousses, si déterminées. Je trouve ça vraiment sexy, tu sais."
"Je m'en fous." Je me disais que si je devais mourir, je pouvais mourir avec du courage, non ? Du moins, s'il planifiait de nous tuer.
"Oh, eh bien voici le plan." Dit soudainement Nathan, avec un ton plutôt business. Il s'éloigna de moi et fit claquer ses mains ensembles. "Nous allons nous débarrasser d'Harry et ses hommes, et une fois que nous aurons fait ça, Cheshire sera à nous. Cette organisation dans laquelle il est, ne peux pas nous empêcher de faire quoi que ce soit." Ses yeux bleus me fixèrent avec insistance, machiavéliquement. "Et une fois que nous aurons le Cheshire, eh bien, tu connais l'histoire."
Oui, je la connais.
"Ça ne va te mener nulle part." Dis-je rapidement. "Une fois que tu auras pris le pouvoir sur Cheshire, tu feras quoi ensuite ? Tu prévois quoi ?"
Eleanor me lança un regard choqué, me disant silencieusement de fermer ma gueule, mais je ne la regardais pas.
"En fait," continuai-je, "tu fais tout ça juste parce qu'Harry ne t'as pas laissé rejoindre son gang ? C'est un peu pathétique, tu ne trouves pas ?"
"Il m'a brisé le nez." Explosa Nathan, son visage n'étant plus si amusé maintenant. "Tu as déjà eu le nez brisé ? Huh ? Tu l'as eu ?"
Je secouais la tête. Je pouvais imaginer que ça ne faisait pas du bien, évidement.
Nathan souri en coin à ma réponse, faisant un autre pas vers moi. "Hm, peut-être que je devrais te laisser savoir à quel point ça fait mal. T'en pense quoi ? Je pourrais facilement briser ton nez, juste comme ton petit ami l'a fait." Il était soudainement devant moi, son parfum toxique brûlant la surface de mes narines, embaumant tous mes sens, me noyant, et ses doigts attrapèrent fermement mon menton, me forçant à le regarder. "Qu'est-ce que tu en dis ?"
"Ne brise pas mon nez." Murmurai-je rapidement.
"C'est ce que je pensais." Il se moqua et s'éloigna de nouveau, se dirigeant à présent vers Eleanor. Je ne regardais du coin de l'œil, voyant le regard qu'il portait sur Eleanor, comme si elle était un morceau de viande. "Eh bien, One Direction ont à coup sûr la main pour pêcher leurs jouets, hm ? Je prévois de faire bon usage de vous, n'est-ce pas Perrie ?" Il se tourna vers elle pour lui lancer un regard pointu, et elle tressailli sous ce dernier.
"Oui," murmura-t-elle rapidement, soumise.
"Et qu'est-ce que tu lui as fait ?" L'accusai-je.
"Je lui ai fait ce que je vais faire avec toi." Hurla Nathan, ses yeux de retour sur moi. "Comment ça fait, de savoir que tu n'as absolument aucun contrôle de la situation ?" Sa voix se baissa dans un murmure, grave maintenant, et il était de retour devant moi pour planter ses yeux dans les miens. "Comment ça te fait de te sentir vulnérable ?"
J'avais déjà ressenti ça auparavant, ce n'était rien de nouveau pour moi.
Mais je ne répondis pas. Je soutenais simplement son regard, me demandant comment un gars comme lui qui avait l'air si innocent pouvait être si mental.
"Perrie," Appela soudainement Nathan, comme s'il s'adressait à un chien, "viens-là et montre à Claire un accueil approprié." Il fit claquer ses doigts impatiemment, s'éloignant pour laisser la place à Perrie qui faisant son chemin vers moi.
Confuse, je la regardais, voyant sa bouche mimer "je suis désolée" avant que ma vision ne devienne floue pendant un moment à cause du poing qui venait de rentrer en collision avec ma joue.
Bizarrement, je ne tombai pas par terre, malgré la rudesse de son coup, mais je pouvais sentir me joue me lancer et je n'eus pas le temps de me rendre compte de la situation qu'elle me frappa une nouvelle fois, sur l'autre joue.
"Magnifique ! Bravo, Perrie !" Félicita Nathan de derrière, applaudissant la blonde. Ses yeux étaient sombres et ses sourcils froncés lorsqu'elle se recula de moi, son corps tendu et immobile, attendant un autre ordre de la part de Nathan. Dieu, je n'aurais pas pu imaginer que Nathan aurait pu la rendre si obéissante et flexible. Perrie était la fille la plus forte que je n'avais jamais connu, et maintenant elle n'était rien d'autre un jouet vide. Ça me faisait vomir rien que de la regarder.
"Maintenant," Dit Nathan, plus silencieux, intrigué, "embrasse-là."
Quoi ?
Je tentais de regarder par-dessus l'épaule de Perrie pour le regarder de manière ahurissante, mais Perrie attrapa durement mon menton pour me tirer vers elle et avant que je ne puisse réagir, nos bouches se touchèrent et elle m'embrassait sans une once d'émotion ou de passion. C'était littéralement nos lèvres qui étaient collées ensemble, j'étais totalement stupéfaire, les yeux écarquillés, regardant Perrie de cette proximité. Je n'avais jamais embrassé de fille avant, et oh... est-ce que ça se passait sérieusement ?
"Met un peu d'émotion là-dedans !" Commanda Nathan. "Allez, Perrie, touche-là ! Touche son cul, allez."
Je grinçais dans la bouche de Perrie quand ses mains touchèrent mes fesses, mes bras étaient tendus sur mes côtés. Je ne savais même pas quoi répondre à ça, ou même quoi faire. Comme je l'ai dit, est-ce que ça se passait sérieusement ?
"Claire, passe tes mains dans les cheveux de Perrie." Dit Nathan, et lorsque je n'en fis rien, il cracha, "Fais-le putain de merde ou tu vas le regretter."
Mes mains flanchèrent sous son ton, et elles passèrent hésitantes dans ses cheveux. Mes mains tremblaient, et mon corps entier commençait à trembler d'être si près de Perrie. Nous respirions toute les deux fortement, et je savais que mon cœur battait si fort qu'il allait finir par bondir de ma poitrine, et j'étais pratiquement sûre que Perrie pouvait le sentir battre à travers ma cage thoracique.
Mais lorsque je regardais de nouveau ses yeux, j'explosai.
Il m'arracha d'elle, incapable de m'arrêter lorsque je la poussa fermement et m'exclama, "T'es putain de malade ! Qu'est-ce qui ne va pas avec toi ?!" Je fixais avec horreur Nathan, mon cœur prêt à exploser lorsque je vis son visage se déformer et devenir plus sombre, beaucoup plus sombre.
"Perrie," dit lentement Nathan, "tu sais quoi faire."
Et encore une fois, je n'eus pas le temps de me préparer avant que mes cheveux ne soient tirés, m'aveuglant pendant un instant, et je laissai un cri s'échapper quand Perrie me fit me mettre à genoux, mes mains essayant de retirer les siennes de ma tête pour libérer mes cheveux. Elle me regarda comme si elle portait un masque, et je pouvais voir dans ses yeux le remord, et elle commença à me gifler encore et encore. Je flanchais, essayant de m'enfuir de ses coups, mais je ne pouvais pas y échapper.
Et lorsqu'elle finit, elle me poussa en avant et je tombais la tête la première sur le sol, haletant bruyamment. J'étais encore étourdie par les coups que je venais d'endurer, essayant de prendre conscience de la situation.
"Maintenant, chérie, montre à Eleanor un accueil approprié, a elle aussi." Dit Nathan avant que je ne le vois se lever de sa chaise. Il ajouta dans un souffle, "je vais m'occuper de notre fougueuse rouquine."
Okay, ce gars était vraiment taré. Je pouvais immédiatement dire qu'il ne cherchait aucune rédemption quand ses bottes étaient devant moi, et je criais violemment encore une fois lorsqu'il me prit par les cheveux, me forçant à me mettre sur mes pieds.
"Quand je te dis de faire quelque chose," murmura-t-il d'une voix rauque, "je te suggère de le faire, compris ?" Ses bras s'enroulèrent autour de ma taille, et je ne voulais rien d'autre que de le frapper en plein visage, mais mon visage était comme en feu après avoir été frappée ainsi.
"Et si tu fais exactement ce que je dis," continua-t-il, "eh bien tout ira parfaitement bien. Ne pleure pas." Et c'est lorsqu'il dit cela que je réalisais que les larmes coulaient sur mes joues.
Les yeux de Nathan devinrent doux quoique moqueurs et il roucoula, en levant les mains pour essuyer mes larmes dans une tentative impuissante de me calmer.
"Je vais tellement bien prendre soin de toi."
VOUS LISEZ
Twisted 1 et 2
RomanceTome1 Jamais une femme n'avait balancé des objets sur moi." Dit-Harry de l'autre bout de la pièce. Il semblait ne rien ressentir à présent. "Jamais un homme n'avait levé la main sur moi." Répondis-je doucement. "Si tu continues à me défier, ça arri...