Chapitre II - La cellule

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Je me réveille dans une pièce, toute petite et humide... J'ai très peu d'espace et il y a juste de la paille sur le sol, sur qui d'ailleurs j'étais allongé, il y a quelques minutes.

La personne ouvrit la porte d'un coup sec et me regarde en souriant. La porte, qui était d'ailleurs en métal, pour éviter que je sorte.

-"Salut,Amici Mio !" Dit l'homme qui m'avait assommé.

Je lui saute dessus et tente de le frapper, la rage toujours en moi. Mais il contre tout mes coups et projette ma tête contre le mur. Je tombe au sol, le front en sang par la solidité des murs de ma cellule.

-"On essaye de se sortir de là,hein?" Il rigole et me relève en me prenant par les cheveux et me remet des petits coups contre le mur plusieurs fois.

Quand il me lâche enfin, je tombe de nouveau au sol, mon visage était en sang et mon sang tâche aussi les murs. Ne sachant plus me relever ni bouger, je reste au sol.

Il s'asseoit sur la paille et me regarde avant de me parler :

-"Ton père faisait partie d'une organisation,les Assassins. Ils sont nos ennemis depuis toujours. Ton père était un de ses membres les plus importants. Et maintenant, nous te retenons pour que tu ne puisses pas te venger. Logique,non?"Après la fin de sa phrase, il se moque de moi et ensuite, il se relève et me donne un grand coup de pied dans les côtes avant de quitter la pièce.

Quelques heures plus tard, je me relève et regarde le garde devant ma porte (Voir image au dessus) et vois quelque chose bouger derrière lui. L'ombre est arrivée derrière lui et le garde se stoppe avant de laisser échapper un petit gémissement et s'effondre au sol.

La personne s'avance vers moi, elle crochète la porte et je prends mon temps pour l'observer.

Je ne sais pas de quel sexe elle est, mais la personne porte une tunique blanche et des équipements en fer à ses poignets et sa ceinture, elle a à certains endroits du rouge, ce doit être du sang, car il n'y en a pas partout.

Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir la bouche qu'elle me prend sur son épaule et m'emmène très rapidement. Je vois son visage, c'est une femme. Sûrement mon âge, ou peut-être un peu plus.

Nous sommes tombés dans un cul-de-sac. Les seuls problèmes en plus étant que les gardes nous ont repérés et qu'ils nous poursuivent. Nos poursuivants nous rattrapent petit à petit, mais la fille reste quand même un peu plus rapide.

-"Laissez-moi ici...Vous n'avez aucune chance de survie avec moi." Lui dis-je.

-"Les ordres sont les ordres, vous savez..." Dit-elle avant de sauter par la fenêtre avec moi.

Assassin's Creed Revenge: Tome 1 : Perdu Dans RomeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant