DARK KING (En pause)

Chapitre 4 : Connecté

PDV de Christopher ( le prénom du roi)

Je suis enfermé dans ma chambre. La main sur mon entrejambe, pas moyen de faire redescendre ma queue, qui est au garde à vous depuis que je suis entré en contact avec elle.

La vision de son corps dans ce cachot froid et sombre. La vision de ce connard en train de défaire son pantalon pour la prendre.

Seul moi avait un tel droit sur elle.

Pourquoi ? Car j'étais le roi, et que j'avais envie d'elle. Cela me suffisait comme raison.

Je décidais de me lever de mon lit afin de voir ce qui se passait dans la chambre collée à la mienne. Car oui j'avais fait en sorte de faire de cette pièce la chambre d'Alexandra. Je l'avais même fait agrandir afin que certaine pièce telle que sa chambre et sa salle de bain soit en connexion complète avec ma chambre.

Je sais je suis pervers mais je voulais que ce petit jeu entre nous soit à mon avantage.

J'avais fait faire de légers trous dans les façades afin de pouvoir la voir et la suivre à tout ce qu'elle faisait.

Un hurlement me sortit de mes pensées. Lorsque mon yeux se posa sur le mur et vit cette idiote se tenir le poignet. N'en avait-elle pas encore assez d'avoir mal. Je pris mon téléphone personnelle et appela la personne qui serait en charge de garder et de s'occuper de la captive.

Au bout de quelques minutes, elle se leva et commença donc à faire le tour de la chambre.

C'est à ce moment là que je rendit compte qu'elle était loin d'être bête, car elle se sentait observée.

Ce n'était pas une sensation, elle l'était bien, et je pense bien user de se pouvoir encore bien longtemps.

La porte s'ouvrit et je vis Émilie entrer. J'avais mis Émilie a cette tache car je savais qu'elle ferais tout pour ne pas me décevoir. Elle était née dans le château, elle avait été servante dès qu'elle a pu commencer à travailler c'est à dire très jeune.

La fille lui fit un bandage, mais Alexandra ne lui parlait pas, elle restait l'observer comme si elle cherchait un faille. Elle le posa son plateau repas sur la table avant de ce congédier.

Elle devait avoir faim. Elle n'avait pas manger depuis le début de sa détention. Mais je la vis jeter sans état d'âmes la nourriture. A quoi pensait-elle ?

Je commençais à bouillir de rage. Cette fille était une sauvage. Elle ne respectait rien, ni personne, car oui, je savais qu'elle avait tuer l'un de mes hommes de sang froid.

La main toujours poser sur mon sexe, je commençais à penser à comment j'allais éduquer cette petite chienne comme ma l'avait demander son père, sauf que les idées que j'avais en tête n'aurait sûrement pas plu à celui-ci.

La poignée juste à côté de moi se mit à bouger. Une sourire se dessina sur mon visage.

Oui ma chère, cette porte est notre connexion.