DARK KING (En pause)

Chapitre 3: Observée

Je n'en croyais pas mes oreilles, l'homme qui m'avait détacher et sauvée par la même occasion était le roi lui même. Je ne l'avais pas bien vue. Il faisait très sombre dans le cachot ou je me trouvait, mais une chose était sur. Il était immense, pas loin d'une tête de plus que moi, mais aussi très musclé. Seuls ses yeux bruns sombres avaient marquée mon esprit.

Entourée de gardes dont un qui me tenait fermement l'épaule afin que je prenne pas mes jambes à mon cou, je marchait le long des couloirs du château.

Ce la n'avait rien à voir avec les château de l'histoire, finalement il était comme une maison mais en dix fois même vingt fois plus grand.

Une fois notre marathon de couloir et d'assesseurs fini, le garde me poussa dans une immense pièce. Immense car l'on pouvait mettre facilement trois fois mon appartement. Sans que je m'en rend compte, les gardes avaient fermés la porte et bien-sur, elle était verrouillée. Ne pouvant donc pas sortir, je donna un grand coup de point dans la porte. Seulement voilà une chose, j'avais oublier que mon poignet était blessé. Un cri aiguë sorti de la bouche. Je tomba à genoux devant la porte, le poignet entre mes cuisses en essayant de stopper cette horrible douleur.

Au bout de quelques minutes, la douleur était un peu plus faible, mais toujours présente, je décida donc de me lever et je commença donc à faire le tour de la chambre en question. Il y avait un large lit à baldaquin dans la pièce principale ainsi que des meuble blanc moderne. Dans la pièce juste à côté, il y avait une immense garde robe, pleine bien-sur, qui menait directement à une salle de bain en marbre blanc, avec des miroirs sur chacun de ces murs et au plafond. Je fis des grands yeux, comment je pourrais rester dans une pièce pareille.

Mais autre chose me perturbait. J'avais cette impression être suivie dans chacun de mes mouvements que ce soit dans la chambre ou dans la salle de bain. Pourtant j'étais bien seule ici. Encore seule, je vais finir par devenir folle.De plus, je ne savais toujours pourquoi j'étais ici, encore en vie, et dans une chambre dont le luxe dépassait tout entendement.

Soudain, j'entendis un bruit dans la chambre et courut pour voir, et je vis une jeune fille. Oui une fille car elle ne devait pas avoir plus de 17 ans.

Elle leva la tête, me souria et me dit

« Bonjour madame, je suis Émilie et je suis chargée de votre confort. Je vous ai apporter votre plateau avec de quoi manger à votre faim, mais aussi de quoi vous soigner. »

Sans dire un mot, je regarda le plateau repas, qui contenait de la nourriture pour au moins trois personnes. Elle s'approcha de moi, je fis quelques pas en arrière, je ne savais pas ce qu'elle allait me faire. Mais en reculant mes fesses tombèrent directement sur une chaise, elle se mit à genoux juste en face de moi et saisie mon poignet. Elle mis de la pommade dessus ainsi qu'un bandage. Au bout de quelques minutes, elle eut fini, et me dit

« Je vous laisse manger en paie, si vous avez besoin, vous appelez avec le téléphone, vous tomberez sur ma ligne directe. »

Elle me salua et quitta la pièce. Mon poignet allait déjà mieux, j'eus un sourire en coin. Mais il était hors de question de manger ce plateau, je ne savais pas ce qu'ils avaient mis dedans. Je me saisie de celui-ci et le jeta directement dans la poubelle. Je mourrais de faim, mais je ne voulais pas mourir empoisonnée.

D'ailleurs, comment elle avait sus que je fourrais du poignet ou encore que j'avais faim. Je me retournais, mais pas de camera en vue, rien qui pouvait avoir connaissance de se qui passait dans la pièce.

Je vis un peu plus loin dans l'entrée de la pièce, une porte close avec un rideau rouge vif. Je pris la poignée mais elle ne s'ouvrit pas. Je forçais un peu, pour voir, mais elle était bien résistance cette foutue. Est ce la porte de la sortie, car oui, je ne pensais pas rester ici le reste de ma vie. Je devais trouver un moyen de fuir.