Chapitre 9 : Choquée.

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Je perdis toute notion dutemps. Je n'avais pas bouger depuis des heures. Peut-être même desjours. Toujours dans la même position, mon corps n'avait pas bouger,il était comme paralysé par ce qu'il venait de se passer. Mespensées, elles aussi étaient figées dans le temps. Seules deslarmes coulaient lentement le long de mes joues. Ma respiration étaitcalme, bien trop calme quand on pensait à la situation. Enferméedans ma bulle, le choc que je venais de subir, je ne voyais pas lajeune servante venir et repartir dans la chambre. Sans doute pourvoir si j'étais encore en vie.

La vie. La mienne étaitmaintenant liée à cet homme horrible, qui était roi du royaume queje défendais avec mes amis. Maintenant je suis devenue son jouet, saprisonnière pour le reste de ma vie.

Je ne pouvais même pasfermer les yeux. A chaque fois, je pouvais revoir encore et encore,son corps dans le mien. Son sourire diabolique sur les lèvres. Sesgémissements, et sa jouissance dans mon corps. Des hauts le cœur me prenait quand je le voyais jouir en moi. Je vomissais sur le coté du lit, je me fichais bien de l'odeur que cela donnait à la chambre.Je referais encore rester dans un cachot enchainée au mur. Leslarmes se remettaient à couler de plus bel.

Seigneur, qu'ai je bien pute faire pour mériter un tel châtiment. Chacune de mes pensées merappelaient que je n'étais rien. Mais si je n'était vraiment rienpour lui, alors pourquoi m'avait-il fait une chose pareille.

Je serrais le drap dans mamain, il était d'un satin doux au toucher. Je me m'y à me demandersi la mort ne serait sous doute pas la meilleure solution. Jepourrais me libérer à jamais de cette emprise qu'il avait sur moi.J'avais toujours penser qu'un tel acte, était un synonyme delâcheté, mais maintenant, je pouvais comprendre la détresse desgens qui en arriver à une telle réalité.


Je levais doucement ma tête.Mon visage sec de larmes salées. Ma gorge me faisait terriblementmal à force de vomir. Mon corps lui était tout endolorir par laforce de l'acte sexuel qu'il venait de subir. Je voulus me lever maisdes petits gémissements sortirent des murs juste à coté. Unenausée puissance vint rejoindre les autres. Il était en train debaiser une de ses chiennes alors qu'il venait de me violer. Cet homme était monstrueux. Un animal. Je devais sortir de cet chambre parn'importe quel moyen.


Je fis un nœud ans le drapqui me couvrait, nue dans la pièce, je pris une des chaise de latable où nous avions manger ensemble. Le regard dans le vide, jemontais sur celle-ci. Les larmes reprirent leur chemin vers le bas demon visage. J'aimais la vie avant, j'aimais rire, manger, faire lafête avec les enfants. Maintenant je pouvais rejoindre les pluschanceux d'entre eux dans un dit paradis. Je fis un pas en avant enfermant les yeux une dernière fois.



DARK KING (En pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant