Chapitre 8: Violée

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Son corps grand est musclé se dirigeait vers moi pas à un pas je pouvais alors voir la totalité de sa nudité passer à travers mon regard. Il était magnifique, superbe même, il pourrait donner envie à toute les femmes qu'il pourrait croiser. Mais on regard était froid, perfide, presque inhumain. Non, je ne voulais pas. Il me faisait peur, il m'effrayait même.

Je bondis du lit, espérant pouvoir lui échapper, et prendre la porte. Ce denier me regarda faire, avec un sourire pervers et inonde sur son visage, comme un animal en chasse prêt à bondir sur sa proie. J'étais nue, mais rien à faire je devais fuir cet homme, ce monstre qui marchait pas à pas vers moi. Je mis la main sur la poignée de la porte, mais à mon grand désespoir, elle était fermée à clé. Je força sur celle-ci. Je me mis à hurler de toute à force, des larmes coulaient à fond le long de mes joues. Non je ne voulais finir ainsi.

Je sentis une présence dernière moi. Je pouvais sentir ma chaleur de son corps se rapprocher du mien. Je fermais les yeux, me mis à murmurer

« Non s'il vous plaît, je vous en pris, ne faite pas ça, je ne veux pas »

Comment je pouvais croire que de simples paroles comme celle-ci pouvait stopper une situation comme celle-ci. Lorsque je sentis ses bras chauds me saisir au dessous de ma poitrine, je me mis à hurler de toute mes forces, ma gorge avait commencé à me faire mal. J'espérais que quelques allait venir me sauver. Mais non, son souffle était de plus en plus rapide, mon cœur battait à en rompre.

«  Tu ne peux t'échapper petite souris. Et je vais te dire quelque chose, c'est que plus tu vas voir me fuir, plus tu vas crier et hurler, plus je vais être excité. »

A ses paroles, mes yeux s'ouvrirent d'un coup, je me débattis encore plus fort, ignorant ses avertissements.

« Non, non, non, ... Je ne veux pas lâchez moi »

Il finit par me lancer sur le lit, attrapant le drap avec lequel je me cachais il y avait encore quelques minutes. Il se mit à califourchon, au dessus de moi, me prenant les bras, les attachant à la tête de lit en métal, avec le morceau de tissus qu'il avait dans les mains.

« Plus tu tiras, plus la douleur sera marquée sur ta peau... A part si tu aimes ça"

« Vous êtes fou, un monstre sans âme, ni cœur... Relâchez moi, c'est un viol »

« Non tu es mon jouet, je peux faire de toi ce que j'ai envie »

Il parlait comme un enfant pourri gâté. Mais ce n'était pas un enfant que j'avais en face de moi, mais bien un homme, qui allait jouer avec mon corps sans mon accord.

Bien que je bougeais dans tous les sens tout en hurlant, il commença à poser des baisés le long de mon cou, laissant des traînées humides le long de son passage. Il pris mon sein droit dans sa main, le malaxant, pendant qu'il prit le gauche dans sa bouche jouant avec le téton. Il le mordit, me laissant échapper malgré moi un gémissement. Maudit soit mon corps et ses envies primaires. Ma réaction le fit sourire. Mes tétons étaient durs comme de la pierre, ils me faisaient presque mal, mais le roi n'en resta pas là, il continuait sa route vers mes lèvres inférieurs. Je tirais sur mes liens au fur et à mesure qu'il descendait sur mon corps. Je pouvais sentir son érection sur ma cuisse gauche, je bougea donc ma jambe pour le faire bouger. Mais son corps était bien trop lourd. Mes paupières étaient toujours clauses, comme soudées par les larmes qui sortaient encore de mes yeux. Mais il n'en avait rien à faire. Lorsque je sentis son souffle au niveau de mon sexe. Mon corps se cambra par réflexe. Il y donna un coup de langue, un gémissement sortit de ma bouche.

« Tu vois, ton sexe n'attend plus que moi, et je vais lui donner ce qu'il veut, ma petite souris »

«  Non s'il vous plaît, ne faite pas ça... »

Je le suppliait de ne le faire, le viol ne faisait pas partit du contrat, non c'était mal de faire un chose pareil. Il voulait juste lui faire peur, il n'allait pas faire une chose pareille.

Malgré son espoir, elle sentit le gland du sexe du roi, touché le sien. Elle se mit à hurler le plus fort qu'elle pouvait. Mais il s'enfonça en elle, et commença des vas et viens de plus en plus puissant au fur et à mesures des minutes qui pouvaient passer. Des hales de plaisirs sortaient de la bouche du roi. Mais moi je ne disais plus rien. Plus un mot, plus un cri ne sortaient de ma bouche. Je voulais juste que cela se finisse et qu'il parte. Il continua jusqu'au point de non retour, et jouit dans mon corps, se laissant tomber sur moi. Il posa un baiser sur mon front, en détachant les liens qui me tenait au lit. Mes bras tombèrent sur le matelas. Il se leva et quitta la chambre. Un silence absolue s'installa alors dans la pièce.


DARK KING (En pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant