Un vent froid glissa sur ma peau et me fit ouvrit doucement les yeux. Mais malgré moi, je n'y arrivait pas, j'étais à bout de force. Mais le pire dans tout cela c'est que je ne me souvenais pas de ce qui c'était passé pour me retrouver avec un mal de tête aussi fort. Aucuns souvenirs ne me revenaient, je commençais donc à paniquer. Dans cette panique, mes yeux se rouvrirent et me laissèrent voir l'endroit ou je me trouvais.
J'étais dans une pièce noire, humide, je ne voyais pas de fenêtre non plus. Mais le surprise fut quand je voulus me lever. Impossible. Des chaînes me tenaient les pieds mais aussi les poignets. Mon pou commença à accélérer, je me doutais ou j'étais mais comment j'y étais arriver, voilà la question que je me posais. Malheureusement pour moi je n'avais pas la réponse.
Je me mis à tirer le plus fort que je pouvais mais pas moyen, mes forces étaient bien trop faible face à des chaînes de cette taille. Je me stoppa net quand j'étendis des bruits de clés juste derrière la porte. Mes yeux furent surprise par la lumière que dégager du couloir. Je levais la tête pour voir sur le haut du garde la marque du royaume. Mes craintes étaient donc réelles, j'étais prisonnière dans le château royal.
Le garde s'approcha de moi, et posa un plateau sans dire un mot et ressentit par là ou il était entrer. Je mourais de fin, mais ne sachant pas ce qu'il y avait dans ce plateau, je décida donc de ne pas y toucher.
Je fis de même pour le deuxième plateau. Le garde avait l'air agacé par mon abstinence à la nourriture, et commençait à perdre patience.
Le pauvre, il n'avait pas remarquer que j'avais repéré l'ensemble de ces armes sur lui, ainsi que les clés laissées sur la porte. Lorsque il eut le dos tourné, je me leva, me saisie de son couteau et l'égorgea, laissant son sang chaud gicler sur moi.
Je me leva, mais le bras étant trop court et bloqué par mes liens, je me pouvais pas atteindre cette maudite clé.
Je tirais donc de toutes mes forces quitte à casser mon poignet dans cette histoire, mais je voulais ces clés. La douleur m'envahit. Mon poignet droit saignait, mais le doux bruit des clés sur le sol, me fit oublier la douleur.
Une fois détachée, je me mis à courir le lus vite possible dans le couloir sans même savoir ou aller. J'étais comme un animal dans un labyrinthe. Soudain des voix s'exclamèrent derrière moi, je me mis à courir plus vite, mais mon manque de force ne me faisait pas prendre de vitesse, cela était même le contraire. Une main se posa sur mon épaule et me fit valser en arrière, mon regard était flou, je finis par retomber dans les vapes.
Un seau d'eau froide me réveilla. Je voulus bouger, mais pas moyen, des menottes me tenaient les poignets ainsi que les coudes.
Je vis trois hommes face à moi. Ils avaient l'air de trois porc. Ils me regardaient avec des yeux pervers et salaces. L'un d'eux s'approcha et posa sa main sur mon visage, puis la fis descendre sur mes seins , avant de déchirer le tissu qui les protégeait. Je me mis bouger dans tous les sens et à crier, mais sa main vain alors giflé mon visage, laissant une coulée de sang prendre forme sur mes lèvres. Ces copains juste derrière ricanaient. J'entendis le bruit d'une fermeture éclair, je fermais les yeux me disant que j'allais y passer.
Mais des coups de feu se firent raisonner dans le cachot. Trois pour être exacts. J'ouvris les yeux. Un homme tenait une arme. Et comme si de rien était, il la redonna à l'homme qui était juste derrière lui.
Quand il s'approcha de moi, je ne le quittais pas des yeux. Comme prête à me faire tuer, je ne bougeais pas. Il prit les clés, et se plaqua sur moi, mes seins se plaquèrent sur son torse. J'avais envie de vomir. J'entendis le petit clic des menottes qui me lâchaient me laissant tomber sur le sol.
Mais le déclic vint quand il parla à l'homme avec lui
« Amenez la dans ses appartements »
« Bien votre majesté »
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DARK KING (En pause)
RomanceIl venait de mourir, cet homme qui avait fait en sorte que je devienne roi. Il m'avait donner toute sa confiance. Maintenant c'est à moi de tenir ma promesse. Je dois trouver sa fille, lui faire changer de vie,d'attitude, la dompter quand on sai...