c'est toi que j'aime...

Chapitre II: la visite

Je découvrit ma meilleure amie, là, devant moi allonger, des perfusions et une multitude de machine autour d'elle. Elle me regarda rentrer mais elle fixa surtout ses yeux sur ma tenue que j'avais oublier de changer.

/Violetta\ : bonjour Jorge, dit-elle d'une petit voix gêner.

Elle rougis d'un seul coup, ses petites joues devinrent roses et ses yeux se baissèrent tendis qu'elle était entrain de rigoler doucement gênée.

/Jorge\: excuse moi, se n'est pas une tenue mais quand tu m'as appeler j'ai accouru après mon footing.

Je me dirigea et m'assis a son chevet.

/Jorge\: que s'est il passé Violetta ?
/Violetta\ : je...j'ai...

Et elle fonda une nouvelle fois en larmes.

/Violetta\: je suis désolé Jorge..j'ai jamais voulu faire ça...excuse moi, je sais que tu ne pourras jamais me pardonner mais je suis désolé...

Elle posa ses mains sur mes joues et elle les caressa en pleurant, je senti à frissons me parcourir..

/Jorge\ : Violetta dis moi.
/Violetta\ : je veux juste te dire que se n'est pas de ta faute se que j'ai fais...
/Jorge\ : d'accord.
/Violetta\ : je me suis recouverte d'essence et j'ai voulu me brûler vive...

Elle se blottit contre mon torse nu et pleura, encore et encore. Je lui caressa les cheveux en lui chuchotant des choses rassurantes. Ma meilleure amie n'as jamais eu de chance avec les hommes, à chaque fois elle a été violer, par Peter, Tomas, Diego... Les seules hommes avec qui elle l'a fais sans obligation mais par envie on été Leon et Clément. Mais quand l'acte c'est passer avec Clément; c'était parce qu'ils étaient soûls.

/Jorge\ : pourquoi avoir fais ça Violetta ? Pourquoi?
/Violetta\ : parce que...je me sentais seul et inutile...aux yeux de tous...
/Jorge\: même à mes yeux ?

Elle releva la tête et me caressa le visage et les cheveux en lâchant une ou deux larmes.

/Violetta\ : nan...pas à tes yeux...et ça j'en suis sûre...

Elle se blottit à nouveau dans mes bras et me chuchota

/Violetta\ : c'est clément qui m'en a empêcher...

À chaque fois qu'elle prononçais le nom d'un homme cela me fendais le coeur.

/Violetta\ : j'ai frapper chez toi hier...mais tu devais dormir comme un bébé..

Je lui adressa mon plus beau sourire. Et je me retiens de lui dire : «c'est parce que je rêvais de toi.»

/Jorge\ : j'étais très fatigué. J'ai reçu un appel très tard pour mon contrat et je me suis endormi d'un coup. Excuse moi.
/Violetta\ : et dire que tu vas bientôt t'envoler pour les États Unis..j'arrive pas à y croire...je veux pas que tu partes...
/Jorge\ : je ne part que pour deux jours, et après il me laisse un délai pour me décider...ne t'en fais pas je reviendrai je te le promets...
/Violetta\ : tu peux rester avec moi aujourd'hui ?
/Jorge\: oui mais il faudrait mieux que je me change tu crois pas ?

Elle rit doucement et elle me répondit d'un air ironique.

/Violetta\ : non moi je te trouve très bien comme ça! D'ailleurs si je peux me permettre, tu es le premier homme que je vois avec un corps aussi bien dessiner.
/Jorge\ : oh arrête je vais rougir !

Nous rigolions et nous passions la journée ensemble. Je reçu quelque appels mais je les déclina pour pouvoir passer la journée avec elle.

Nous étions allonger tout les deux sur son lit d'hôpital. Nous rigolions, parlions de tout et n'importe quoi. Quand elle commença à caresser mon torse nu et à s'endormir.

/Violetta\: je t'aime Jorge...

Je ne savais pas de quel venait ce "je t'aime" . Mais je lui répondit quand même.

/Jorge\ : je t'aime aussi Violetta...je part demain après midi.

Sur ceux, je l'embrassa sur le front et m'endormi à ses côtés.