Requiem Silencieux

41 4 7
                                    

Seul face à mes pieds, allonger sur un lit marqué du passé, la lumière éclaire ma chambre inhabité, seul devant l'armoire, la fixant telle un miroir. Je suis dans un noir éclairé, sur les marques de l'histoire, le reflet d'une âme, d'un sanctuaire qui me blâme. Le brouillard invisible que je considère visible.

Mes yeux ciblent les murs, j'écris face à moi, j'écris la peine, l'amour, l'espoir, une voie. Ma voix littéraire qui ne fais que se taire, au son d'un disque de fer, l'armoire que je lacère, les poings amer. Je suis placer dans mon sanctuaire en quête de la nouvelle ère.

Je recherche la douceur d'une main, la consolation d'un lendemain, un renouveau au matin, perdre les chaînes du destin. J'aide contre ma haine, je sèche contre ma peine, je gribouille au marqueur rouge l'histoire d'un bonnet de laine. Sors dans la rue et marche, passez sous le piège de l'arche.

Dos contre un mur fissuré, douleur passé, regrettant le démon qui a tous causé, seul mais pourtant serieux, donne moi la clé du changement, la ou tout est mieux, la ou il n' y a pas de sang. Change petit être, ne plus laissez le paraître, plante ton hêtre, la ou j'avais reçu sa lettre.

Je dors dans les songes d'un monde, pas besoin de vaisseaux, je n'ai besoin que d'une ronde, faire le tour de l'eau, rejoindre ce bateaux. Nous devions le réparer, tel Leonardo tu m'a laisser couler. Rendors toi en m'oubliant, ignore et fais semblant.

Le mur me porte, ma tête est lourde, trouvez un moyen de l'alléger, tel une recette de Maïté, je dépose les oeufs, c'est le jeux de celui qui les trouveras dans chacun de mes pas. Je réecris bien bas, mais le seul qui me voit, dors menaçer par le poids.

J'écris mes paragraphes, bercé par la berceuse du silence, ami ou ennemis, je ne sais plus où se tire la balance. Faux ou vrai d'un monde qui transpire le transparent des laids. Le sanctuaire d'une âme, n'ai pas peur de lire, n'est pas peur de ne pas comprendre. J'écris pour me rendre, mes mains se croise sur ma tête, d'un silence qui m'aime, mes neurones s'endettent.

Je fermerais les yeux ce soir, comme chaque être humain, je regarderais le soleil au matin, la normalité me maintiens, la ou l'âme me dit viens.

- Z.O.X - Sanctuaire De Mon ÂmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant