Queen of Destiny [Virginity Game]

Chapitre 9

Je suis chez-moi, dans ma chambre, face à dilemme juste horrible : Dois-je aller chez Ryan ou rester chez moi ?

Après, ça ne se fait pas trop de lui mettre un vent, ça se trouve il a préparé un apéro ou un truc...

Comme je suis polie, je décide d'y aller. Je fais juste quelques retouches sur mon maquillage et pars au salon.

- Qu'est-ce que tu fais mon poussin ?

- Je pars chez un ami.

Ma mère ravit que je m'intègre aussi rapidement, ne me pose pas plus de questions et limite me jette dehors en s'exclamant :

"- Passe une bonne après-midi ma chérie ! Rentre à l'heure que tu veux !"

Je soupirais et partais près de l'arrêt de bus.

Arrivée à destination je me rends compte que je suis vraiment débile... Je sais que Ryan habite à côté mais je ne sais pas exactement où ! Et le pire dans tout ça : je n'ai pas son numéro de portable...

Je décide de me balader vers les rues au alentour, peut-être qu'il me verra par une fenêtre...

Après 15 minutes, je commence à me trouver vraiment ridicule et au moment ou je commençais à repartir chez moi, j'entendis des pas dans mon dos.

Surprise et sans le faire exprès, je me retournais subitement en balançant mon poing qui atterrit dans le plexus de Ryan qui tomba à genoux, la respiration coupée court.

Je mis quelques secondes à réaliser ce que j'avais fais avant de m'accroupir rapidement près de lui.

- Oh mon dieu !!!! Ryan ça va ?! Désolé ! J'ai pas fais exprès, j'ai fais du sport de combat alors c'était un réflexe d'auto-défense ! Mais je voulais vraiment pas te faire mal.

Tandis que je le noyais sous des excuses complètement chiantes... Oui c'est le mot. Je l'aidais à se relever.

Il toussa et... éclata de rire ?

- Eh bien ! On peut en dire que t'as de la force ! dit-il de sa voix encore un peu essoufflée et éraillée.

- Euh... T'es sûr que ça va ?

- Ouais ouais, t'inquiète pas. Bon du coup, tu veux toujours venir ?

- Oui bien sûr, répondis-je sans réfléchir.

Il me prit la main ce qui me donna quelques frisons ce qu'il remarqua en me faisant un regard très appuyé.

- Tes parents sont là ?

- Non, il ne sont pas là très souvent... Ils bossent beaucoup, me répondit-il une lueur triste dans ses magnifiques yeux bleus.

- Ouais moi aussi, je sais ce que c'est...

Pendant qu'il ouvrait la porte de chez lui, je l'observais attentivement. Il portais un débardeur gris et un jogging foncé et était super sexy. Pourquoi faut-il qu'il soit toujours attirant ? Parce que là je commençais à en avoir un peu ras-le-bol !

On rentra dans sa maison ou devrais-je dire villa !

Elle faisait un peu près la même taille que la mienne mais la décoration était plus sophistiqué et plus froide. Cela resté tout de même très beau mais ce n'était le genre de déco que je préférais.

- Ça te dit qu'on regarde un film ?

- Avec plaisir !

Nous nous installons sur le canapé en cuir blanc avec un bol de pop-corn sucré au milieu de nous deux.

- J'ai Hunger Games 2, ça te dit !

- Oui ! C'est même un de mes films préférés !

On lança le film et fermâmes quelques volets pour qu'il fasse plus sombre, comme une vrai salle de cinéma.

Après 15 minutes de film, je remarquais que Ryan se massait l'endroit ou je l'avais frappé.

- Ryan t'es sûr que ça va ?

- Mais oui Amalys !

- Nan, je sais que ça va pas, dis-je en le fixant dans les yeux. Viens, on va mettre de la crème.

- Tu ne sais même pas ou est la salle de bain !

- C'est pas grave, je vais te forcer à me dire ! D'ailleurs tu as vu ma force, et encore là je n'avais pas tapé très fort, lui répondis-je en prenant un air supérieur en me levant. Je me retenais de rire mais Ryan l'avais sûrement remarqué. - Aller viens, sans rigoler.

Il finit par accepter et nous partons dans sa salle de bain.

- Ben vas-y, mets-toi de la crème !

- Je peux pas le faire tout seul, ton coup m'a paralysé les deux bras, me répondit-il en souriant.

- Si tu crois que je vais te mettre de la crème, tu te mets le doigt dans l'œil.

Sans prévenir, il enleva son tee-shirt.

Mon dieu ses tablettes de chocolats et avec cette lumière qui donnait une couleur caramel à son torse ! Il me fallut toute la volonté du monde pour ne pas baver.

- Arrête de mater Amalys ! C'est gênant, me dit-il une lueur d'amusement dans ses yeux.

Je cessais bien vite fantasmer, sur son plexus, un énorme bleu qui avait viré à un violet sombre m'inquiétais.

Il regarda à son tour.

- Ouais, finalement je vais me mettre un peu de crème mais t'es toujours sûre de pas vouloir la mettre toi-même ? Tu sais pas ce que tu rates ma belle...

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Pour me faire pardonner de mon absence je poste 2 chapitres en une journée.

Celui-là est un peu plus long et j'espère que vous l'avais aimé !

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Bizzzzzz