Cependant, Thranduil n'oubliait pas la dette qu'il avait envers l'Istaris Saroumane le blanc. Pour on visage comme pour sa vie. En effet, si le magicien n'avait pas été là, le Balrog aurait certainement détruit l'armée des elfes. Toujours est il qu'un jour, le roi, pour se changer les idées, décida sans plus attendre de rendre visite à ce vieil allié qu'était Saroumane. Une chaude journée de début d'automne. La forêt commençait à dépérir et cela faisait toujours du mal au roi de voir les arbres moururent lentement ainsi. Il fit donc seller son cerf, et, accompagné de ses fidèles épées nommés Fī et Fā après la bataille d'Angmar et d'un arc, il partit. Seulement, aux portes du royaume, il se fit rattraper par deux intrépides elfes à cheval.
"Père !" Cria Tauriel
Le roi fit virer sa monture en direction du cri.
"Père, continua l'elfe rousse, nous avons appris que vous partiez en Isengard voir l'istaris Saroumane. Laissez nous vous accompagnez !"supplia la jeune fille
Le roi eut un léger sourire qui se dessina au coin de la lèvre. Un sourire plutôt malicieux. Il ne savais plus sourire autrement.
"Non, ma fille. Restez ici, entraînez vous. Un jour peut être.
- mais quand !? Protesta Legolas
- quand vous serez prêts",décréta Thranduil
Les deux enfants, du haut de leurs 120 ans, protestèrent. Le roi en avait 5000.
"Ça suffit ! trancha-y-il d'une voie froide et violente, Partez !"
Lui même se surprit. Parler ainsi à ses enfants. Les deux elfes repartirent sans demander leurs restes au palais, tandis que Thranduil, rongé par le remord, partir en Isengard. Il longea Mirkwood, et aux frontière de son territoire, au niveau de la forteresse de Dol Guldur, il aperçu une forme étrange au bout des bois. Flèche encochée, il descendit du cerf et s'approcha a pas feutrés de la masse sombre. Il surgit, et découvrir de mouflons sellés et en armure. Des Nains. Ils n'étaient donc pas loin, ce sont leurs montures. D'Erebor ? Non. Trop loin. De la Moria ? Aux dernières nouvelles, ce royaume souterrains était infesté d'orques. Mais pourquoi alors ? Et surtout, pourquoi aux frontières du royaume de Thranduil ? Il s'aventura un peu plus dans l'obscurité de Vert Bois, et entendit soudains de voies se rapprochants à grands pas. Il se cacha derrière des buissons, et tendit l'oreille. Devant lui, trois Nains passèrent à vive allure. L'un d'eux était gros avec une longue cape de fourrure traînant au sol et une couronne dorée. Une longue barbe blanche descendait de son menton. Les fils états dirigés par deux anneaux d'or qui séparaient la barbe en deux en la laissant s'éparpiller sur l'armure d'or également du nain. Ses deux gardes étaient armés d'un bouclier et d'une hache a double tranchant et d'un bouclier. Également une épée pendait à leur taille.
"Mon Seigneur, nos armées ne sont pas assez puissantes ! Nous parlons du royaume de Mirkwood ! Le roi Thranduil ! "
Le roi Nain marchait rapidement et sans s'arrêter.
"Mon Seigneur !
- Il faut de la place pour mon or ! clama le roi Nain. Je veux faire mon dépôt à long terme. Personne ne se doutera de son emplacement. Et puis cet imbécile d'elfes ne se rendra compte de rien.
- Et si cet imbécile vous tue avant ?!"
Thranduil avait jaillit des fourrées, arc bandé, prêt à tirer. Le roi se retourna et écarquilla les yeux. Leur couleur bleu ressortit. Il jeta un petit regard à ses gardes et ces derniers se mirent à charger Thranduil. L'elfe tira la flèche dans l'épaule du roi, le clouant à terre. Il dégaina ses épées et engagea le combat aussi. Il dégagea un nain et abattit sons sabre sur le bouclier de l'autre. Il évita sa hache et envoya un coup de l'âme dans le côte du nain. Le roi de retourna et tua le second nain qui, avec le poids de son armure, n'avait pas réussi à se lever. L'elfe se retourna, des flammes plein les yeux, et planta sa lame dans le ventre du soldat. Il rangea ses épées et reprit son arc. Il encocha un flèche et se tourna vers le roi nain. Celui ci tentait de se sauver en courant, bien ralentit par la flèche, vers les mouflons. L'elfe le rattrapa sans mal et le poussa par terre.
"Non, Thranduil, je peux vous expliquer.
- assez d'explications. Vous avez voulu envahir les terres, tuer nos enfants, violer nos femmes, décimer notre race, et vous voudriez que je vous accorde la parole ? Comment avez vous été roi... Je vous accorde ma clémence, mais si je vous retrouve ici, sur les terres, Thror d'Erebor, j'exposerais votre tête sur un pieu au bout de Long Lac, et on entendra parles jamais parler des nains. Partez, pendant que je vous l'autorise encore ! "
Le nain partit, clamant qu'ils se retrouveraient et en l'insultant. Le nain partit vers Erebor, toujours sa flèche dans l'épaule. Après son départ, Thranduil remonta en scelle et compris sur le chemin qu'il n'avait pas arrangé la situation. Il n'avait pas empêcher l'invasion, finalement, il l'avait provoquée.