Une centaine d'années s'étaient écoulées depuis la bataille de Gundabad, et plus personne ne semblait y penser, sauf Thranduil. En effet, il était encore en peine. Il n'avait pas fait son deuil. Sinny lui manque beaucoup. Durant ce siècle, il s'était renfermé et refroidi. Il ne souriait plus, be dormait plus, ne riait plus. En un mot : il ne vivait plus. Son seul réconfort : le vin. Il avait fait creusé dans son palais une vaste salle souterraine qu'il nommait sa "cave personnelle" et commerçait avec les hommes du Long Lac. Il buvait, chaque soir. Assez pour oublier, mais pas assez pour tomber dans l'ivresse. Un soir, Legolas et Tauriel, qui étaient tout deux de jeunes adolescent d'environ 13 ans en âge humain, vinrent le voir.
"Père, pourquoi buvez vous, chaque soir ?"
Le roi sourit.
"Mes enfants, je bois car le vin est bon. C'est l'un de mes seuls bonheurs, avec vous."
Il posa son verre à pied et prit les petits elfes dans ses bras. Il cala leurs têtes dans le creux de ses épaules. Mais dans leurs dos, il sentit sur sa joue droite couler une larme, mais pas sur sa gauche. Rappelez vous, ce n'est pas sa peau. Ce n'est que de la magie. La larme roula. Thranduil s'essuya et dégagea les enfants de ses bras.
"Vous êtes en âge d'apprendre, maintenant. Suivez moi."
Il conduit les enfants dans une clairière, abritée par des arbres. Au fond, à une trentaine de mètres, des cibles.
"Il se fait tard. Demain, je commencerais à vous entraîner. "
Les deux enfants ne dorent rien, et repartirent silencieusement. Thranduil était resté. Il saisit rapidement un arc, encocha une flèche et la lâcha. Elle se planta en plein milieu de la cible. Il en décocha une seconde que transperça l'autre, la tranchant en deux. Une autre dans le mille. Il en prépara une troisième et la décocha. Cette fois, elle se planta au bord de la cible. Le roi déposa l'arme et partit dans son palais somnoler.
Le lendemain, comme il était convenue, le roi et les enfants allèrent dans la clairière. Le roi leur proposa de choisir une arme, et les deux jeunes elfes choisir tout deux un arc, mais pas le même. Tauriel prit un arc d'éclaireur et Legolas un arc de soldat. Ils se postèrent à une dizaine de mètres de la première cible. Thranduil les accompagnait. Il s'agenouilla, et la petite elfe rousse vint se caler dans ses bras. Il prit son bras, l'aida à rendre la corde, il vérifia tous les angles et les points d'appuis, que la position était bonne, et il la lâcha.
"Maintenant, lui dit-il, tu vas te concentrer sur ta cible. Sur ce que tu veux toucher. Fais confiance à ta flèche. Elle atteindra sa cible si tu lui voue une totale confiance et si tu la laisse libre. "
Tauriel se concentra sur le centre de la cible, sur le jaune. Elle respira un grand coup décocha. Le projectile alla se planter dans le bleu, à quelques centimètres du jaune. Puis ce fut au tour de Legolas. Le jeune prince n'eut même pas besoin de son père pour se positionner, et la flèche piqua vers le centre en le ratant d'un millimètre. La journée, ils s'entraînèrent a l'arc. Legolas se concentra plus sur sa vitesse de décochage. Il ne ratait jamais sa cible ! La jeune Tauriel, plus faible, n'était pas du tout mauvaise, mais devait avoir un arc plus petit et moins dur à tendre, ce que le roi dit faire. Le lendemain, passage au corps à corps.
"Il vous fair une lame, et il fait que vous sachiez que quoi qu'il arrive, elle ne vois trahira pas. Encore une fois, ayez confiance en elles."
Legolas prit longue épée tranchante d'un seul côté.
"Celle ci mon garçon, c'est Orcrist. Sois en digne."
Tauriel, elle, prit une dague. Le roi saisit une épée qu'il y avait là et provoqua les enfants.
"Allez ! Lequel de vous sera le plus apte à vaincre Morgoth ?"
Le père fit un semblant de rugissement ce qui dit rire les enfants. "A l'attaque du Seigneur Noir" ou "sus à Morgoth !" Lâchaient les enfants. Tauriel fut la première à s'engager. Avec sa dague, même le roi Thranduil, qui avait combattu dix milles orques a abattu un troll à la bataille de Gundabad, avait du mal à parer les coups incessants de la petite elfe. Legolas, un peu jaloux, posa Orcrist et saisir une autre dague. Mais au premier coup qu'il envoya, il lâcha l'arme. Le roi s'approcha de lui pour continuer la scène jusqu'au bout, il leva son épée et la, il entendit un sifflement dans l'air. Il attrapa une dague a quelques centimètres de sont visage. C'était Tauriel, qui l'avait lancée pour "sauver" son frère. Voyant une telle agilité dans les domaines de la guerre de la part de si jeunes elfes, Thranduil décida de commencer à leur donner des armes fixes. Il partit quelques minutes dans sa chambre. La il ouvrit un coffre. Il pleura. L'armure de sa femme... Et ses armes. Il les prit. Il retourna dans la clairière et prévalez les petits.
"Seuls les grandes lames on des noms, comme Orcrist. Et seuls les grands guerriers ont des armes fixes, comme moi (il fit un petit clin d'œil à ses enfants qui pouffèrent). Et vous êtes si jeunes ! Imaginez plus tard, après l'entraînement. Alors voici pour vous, mes jeunes elfes."
Il donna les deux dagues de la reine à Tauriel et l'arc à Legolas.
"Elles appartenaient à votre mère. Prenez en soin..."
Les petits examinèrent avec attention les armes. Leur mère ? Étrange. A un moment, les deux se levèrent et, à vingt mètres d'où ils étaient, projetèrent des "missiles" vers les cibles. La dague se planta un plein centre sur la gauche, la flèche, en plein centre sur la droite. Destinée...