Chapitre 2 ♥

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Ça c'était horriblement passer. Un désastre. La blague de l'année, la dernière année de lycée, avait été la pire de toute alors qu'elle aurait du être la meilleure, la plus mémorable...

Iris, assise seule sur le trottoir mal éclairer, trempé jusqu'aux pieds, les cheveux ruisselants, les joues baignaient de larmes, se repasser en boucle la catastrophe des derniers événements.

La reine du bal - Une certaine Felicia - était tombée, entrainant dans sa chute le câble des enceintes, provoquant un bruit assourdissant pendant plusieurs minutes avant qu'on remette difficilement tout en place. Déjà ça, sa empêcher une partie de plan d'Iris, qui compter diffuser un enregistrement asser olé olé entre le prof de math et la détestable miss Grippy, la cantinière ahi de tous. Ce n'était pas si grave, il y avait toujours le final, le clou du spectacle, mais elle ne l'avait pas encore trouvé, prévoyant une idée de génie qui lui viendrait sur place, mais elle n'eu même pas le temps d'y réfléchir : on va passer les détails mais Grégoire, un boutonneux "ami" d'Eric, encourager par celui-ci, était persuader qu'Iris était son âme sœur et l'avait poursuivit jusqu'à ce qu'elle le sème dans les couloirs en se cachant dans un casier. Elle avait alors appeler Nouna, qui s'ennuyer à mourir du côté du bar, où, pauvre végétarienne qu'elle était, ne se trouver que des bouchées au pâtée. Mais là, le pire du pire, elles s'étaient disputés dans la voiture, Iris ne se souvient même plus pourquoi, et c'était si peu important : la voilà sur le bord d'une route inconnue, loin de chez elle, abandonné, trempée et surtout terroriser de ce qui pouvait lui arriver !

Vraiment c'était la pire soirée de tout les temps. Elle décidé de trouver un abri en attendant la journée ou elle aurait moins peur et pourrait rentrer chez elle sans trop de difficultés. Assise sous le porche d'une petite maison, elle pensa à ses parents qui aller paniqués en ne la voyant pas dans son lit au matin, et surtout imagina la raclée qu'elle se prendrait quand elle rentrerait et que les émotions seraient passer.

 A moitié endormi,  la tête contre la vitre de la porte de la maison, elle se rappela le nombre de fois où elle avait pris cette position dans la voiture étant petite, rêvant à des pays imaginaires pour passer le temps. Et puis elle se rappela, comme un flash. Ça lui était complétement sortit de la tête. Comment avait elle put l'oublier ?

La fille, celle qui courait aussi vite que la voiture, plus vite que le vent, a qui on aurait dit qu'elle avait des ailes quand elle sautait d'arbres en arbres. Une amie imaginaire ? Pourtant elle ne m'a jamais adressé la parole...

Et alors, tout lui revint, et se fut pour elle une évidence. Il fallait qu'elle rentre le plus vite possible.

 On l'attendait, le long d'une route lointaine. Bientôt, elle aurait 18 ans, elle avait rendez-vous.






LucioleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant