Chapitre 4, "le jour le plus solitaire de ma vie" ♥

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( à lire avec la musique en fond si elle ne vous gêne pas  et même si elle dure plus longtemps que le texte, mais elle est magnifique je vous conseil d'écouter jusqu'au bout  ! ;) )

Iris eu 18 ans 1 mois plus tard, le 8 juin 2015. La date qu'elle attendait tant depuis la nuit du bal s'approcher de jour en jour, l'excitant de plus en plus. Ses parents, bien trop inquiets, lui avait juste fait promettre de "ne plus jamais leur faire une peur pareil !".

Dans sa nouvelle voiture d'occasion mais tout de même décapotable, Iris avait le cœur qui battait à tout rompre. Dans deux heures, elle allait revoir Etan. Mais serait il seulement sur le lieu du rendez-vous ? Et s'il avait oublier ? Et qu'aller-t-elle faire une fois là bas, lui dire la vérité ? Autant de questions qui allaient rester sans réponse avant le moment fatidique et la malmenèrent tout le temps durant.

Et que faisait Luciole ? Iris avait essayer en vain de l'appeler mais son ange n'apparaissait pas. Pourtant, elle devrait être là !

Plus qu'une heure.

Elle pleurait maintenant, les larmes lui embuant les yeux. Elle dut s'arrêter  un moment pour se calmer. Pourquoi pleurer-t-elle ? Tout aller bien et tout irai toujours bien, elle n'avait aucune raison de s'inquiéter ! Et pourtant une petit voix lui soufflait le contraire, lui priant de faire demi-tour, et vite !

Errant dans le parking désert de la station service, âme solitaire, elle se remit en route, revigorer par une force intérieur qui la réchauffer. Tout aller bien se passer, elle n'avait aucune raison d'avoir peur.

 Et alors qu'elle se garait sur le bord de l'autoroute, qui, contrairement a il y a 10 ans, était déserte, elle se sentit extrêmement seule. Elle attendit des heures, peut être une journée entière ? Elle ne savait plus, déboussoler. A chaque voiture qui passait, elle espérait reconnaitre le conducteur, mais aucune ne s'arrêta.

 Regardant son portable toute les 10 minutes pour vérifier qu'elle ne s'était pas tromper de jour ni d'heure, elle était désespérer, sentant le poids de la solitude peser très lourd sur ses maigres épaules . Il n'était pas venu.





LucioleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant