chapitre 7 Tony

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Samira m'a donné une arme pour que je me défende car ce matin , elle travaille à l'agence pour trouver l'identité de nos agresseurs. Ma mère n'est pas bien elle refuse que je travaille donc je suis avec elle dans nôtre maison cabane où j'avais envoiyé Samira.

Jack m'appelle pour connaître ma disponibilité, je lui ment en trouvant de quoi l'embrouillé la tête Dieu merci qu'il m'a cru et puis Samira le soupconne d'être derrière cet attaque. J'appelle deux  collaborateurs puis je vais me faire un sandwich en discutant avec ma mère.

- Avec Samira c'est officielle? Demande t-elle le sourire aux lèvres.

- Oui, mais on veut finir avec tout ce qui passe, je veux savoir ceux qui ont tué papa il ne méritait pas cette mort atroce il me manque terriblement si tu savais maman. Terminais je en serrant les poingts en rage.

- Viens mon bébé je suis la, on trouvera les coupables et il paieront pour nous l'avoir enlevé. Dit ma mère en me caressant les cheveux

Cette proximité me fait du bien  j'aime quand elle me rasure. Elle s'écarte, me regarde avec un sourire plus beau que le précédent.

- Avec un peu de temps je serais grande mère. Cette fille est magnifique et a tout ce que j'attendais, elle n'est pas comme tes coups d'un soir.  Dit-elle en mordant dans mon sandwich.

- Maman ne t'en balle pas vite, pour faire des enfants il faut que Samira sois d'accord en plus avec son boulot tu l'imagines enceinte jusqu'au os surveillé des personnalités.

- Activez vous vite je veux voir mon petit fils rapidement. Dit-elle en partant

- Tu l'auras ce petit enfant parole de Tony carter dis je riant.

Samira fait son entrée sa tenue me prouve qu'elle est d'une simplicité naturelle. Elle porte un tee shirt, un short et des lunettes que je trouve  sexy, j'ai envie de la croquer. Elle m'embrasse chaleureusement que je la fais basculer sur mes genoux.

- Comme tes lèvres m'ont manqué dit-elle en m'embrassant encore.

- Je dérange les amoureux, dit ma mère en entrant.

- Non, Madame Carter. Poursuit Samira en se levant.

- Pour toi c'est Jeanne pas de Carter, tu vas être ma belle fille. Dit-elle en la serrant contre elle.

- Je suis contente de vous avoir comme belle mère. Pour l'heure les nouvelles ne sont pas bonne dit-elle en prenant son air sérieux.

- Explique ma fille commence ma mère.

- Nous avons affaire à un groupe de tueurs ils sont Quatres, hier un a été tué et les autres chercheront à terminer le travail.

- Que nous veulent t-ils? Retorquais je

- Je ne sais pas encore, peut être que vous avez quelque chose que seul ton défunt père avait Tony.

- Je n'ai rien venant de lui Samira, ma mère non plus.

- Alors on vera une autre piste, restons vigilant, je ferais de mon mieux pour vous protégez l'autre soir c'était un avertissement parce que l'agence ne m'avait pas appeler.

- Donc tu penses qu'ils ont truqué lappel pour te faire sortir, te tuer et ensuite mon fils ooh Dieu pourquoi? Rajoute ma mère presqu'en larme.

Samira la rassure en lui tenant la main.

- Déja ici c'est un lieu sûr et dehors les gardes encerclent la maison. Nous sommes à l'abri des médias  pour le moment vous allez rester ici plus de sortie sans m'informer on n'est d'accord?

- Je dois travailler Samira, je peux pas être constament ici.

- Tu ne travailleras pas les jours avenir, le temps que je trouve une solution.

Elle m'embrasse et je la colle un peu plus, heureusement  que ma mère vient de se lever pour sa douche.

- Ça te dit que je m'occupe de toi 10 minutes? Dit-elle contre mes lèvres.

- Oui, j'ai envi de te faire mienne et te manger avec appétit. Dis je en la dévorant de baisers.

Elle gémit comme jamais ce qui me pousse à la mettre sur le bureau, je retourne fermer la porte à clé et sa tête me freine.

- Tu ne veux plus qu'on continu?

- Si, mon chéri mais ta mère peut débarqué à tout moment ça t'enbête qu'on remette ça?

- Oui que ça m'enbête grave, mais on fera comme tu veux à cause de ma mère.

Je l'embrasse une dernière fois et remet au tapis mon envi de continuer à bosser au travail.

- Je dois faire comme si de rien n'était pour ne pas que nos énnemis se doutent de quelque chose? Suis je vraiment obligé de mettre en péril mes affaires?

- Tu es sourd où quoi Tony? Hurle t-elle.

- Calme toi chérie je ne crains rien, je sais me défendre dis je en la prenant dans mes bras.

- Il est hors de question que tu sois leur cible, je me dois de te protéger bordel. Me repousse t-elle.

Cet à cet instant que la porte s'ouvre sur ma mère.

- Pouquoi vous hurlez comme ça, retorque t-elle.

- Va s'y dis lui, aller? M'ordonne Samira.

Elle est vraiment enragée je ne savais pas qu'elle m'aimait à ce point, sans parler de ma mère elles sont prêtes à me dévoré je vous le jure. Ma mère me demande de répondre.

- Je veux continuer à travailler malgré l'interdiction de Samira. Dis je calmement.

- Tu veux ma mort c'est ça? Tu es tout ce qui me reste mon fils ta pauvre mère à encore besoin de toi Dit-elle les larmes aux yeux.

- Maman, ne pleure pas ce que je veux vous faire comprendre c'est que plus je resterais caché plus j'attirerais des regards et ces imbécils nous retrouverons c'est ça que vous voulez cri je fermement.

Elles me fixent longuement sans parler, je poursuis mon idée même si elles me tue du regard.

- Ce n'est pas que je me fiche de ma vie, je veux prévenir d'autres attaques. Je veux pas nous exposés aux dangers, les filles dîtes moi que vous me comprennez je vous en supplie.

- Je te comprends mais j'accepte à condition qu'on te fasse surveiller à distance.

- Tout ce que tu voudras maman.

- Je t'aime mon flis dit-elle en m'enlaçant.

- Je t'aime aussi.

- Samira n'est pas du même avis que moi et elle à raison. Dit ma mère en la regardant.

- Maman tu avais dit que tu me comprenais.

- Samira ma fille, fait comme moi Tony est vraiment dur et très entêté. Je vous laisse les enfants mes copines m'attendent au salon de thé.

- Bye Maman, fais attention.

Jusque là Samira est resté muette, j'ai peur de ce qu'elle va me dire. Elle se lève aussi et se dirige ver la porte.

- Où va tu?

- La sécurité viens d'être renforcé tu es entre de bonne mains bonne fin de soirée.

- Ma chérie sourit moi s'il te plaît.

- Que je souris? Tu m'excuse mais je ne sais pas faire semblant salue Tony.

- Samira chérie attends...

Elle claque violement la porte et part, franchement je suis choqué de son comportement.

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